Même si les travailleurs québécois s’en tirent légèrement mieux que ceux des autres provinces, pas moins du tiers d’entre eux (37 %) continuent de vivre d’un chèque de paie à l’autre, constate un sondage de l’Association canadienne de la paie rendu public mercredi. À l’échelle nationale, 48 % des répondants affirment qu’il leur serait difficile de respecter leurs obligations financières si leur chèque de paie était en retard d’une seule semaine.
Plus concrètement, 24 % des employés canadiens et 22 % des employés québécois déclarent qu’ils n’arriveraient pas à débourser 2 000 $ si une urgence survenait au cours du prochain mois.