Martin Prescott: « Je peux vous assurer que j’ai rarement vu ça, j’ai rarement vu ce que je suis en train de voir de mes yeux actuellement. Alors que les marchés rebondissent, on aurait du aujourd’hui avoir une dépréciation assez forte de l’Or et de l’Argent et ce n’est même pas le cas ! Lorsque l’on a les marchés de l’Or et de l’argent qui montent en même temps que les marchés actions et que ceux des matières premières, y a vraiment un phénomène qui se produit en ce moment ! Ca sent vraiment la soupe chaude et je n’ai jamais vu ça !«
Source: moneymakeredge.ca
depuis quand martin connait quelque chose au marché ?
pyramide de d’Exter à étudier.
https://www.google.fr/search?q=pyramide+de+dexter&biw=1381&bih=742&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ved=0ahUKEwjW-f6UhtDNAhUKXRoKHZqMDCUQsAQIOA
Ce que j’ai pu remarquer avec mon portefeuille virtuel de sélection en sociétés productrice, extraction et de développement sur l’or et argent aucunes d’elles n’ont bougés lors du Brexit alors même que depuis le 1er janvier elle ont toutes superformées d’au moins 200%, dont l’une d’elle montant le mois dernier a 214 000% depuis janvier.
il n’y eut aucun volume …
Merci Martin pour ta video
Plaisir !
Oui, pour le moment mais pour encore combien de temps? Ça dure depuis maintenant huit ans alors bien malin celui qui peut prédire la date de la fin. Si j’avais à miser je miserais sur les hauts dirigeants de la Deutsch Bank pour être les premiers à savoir car cela pourrait bien venir de chez eux.
Ce texte ci-dessus était une réponse à Patatrac
La BNP est beaucoup plus puissante de la DB 😉 .
On a inventé l’argent perpétuel, grâce aux algo, quand ça baisse on gagne quand ça montre on fait du bénéf.
La vie est belle, les Cassandre en seront pour leurs frais.
Pourquoi diable ça devrait s’effondrer, puisque rien n’y fait, bonnes ou mauvaise nouvelles, la bourse poursuit son bonhomme de chemin bien tranquille, l’or est somme toute une valeur comme une autre.
« L’argent ne disparait pas au ciel… » Oui, quand les marchés chutent l’argent disparait au ciel sauf pour ceux qui ont vendu et touché leur prix de vente. Tous ceux qui n’ont pas vendu, quand un titre a baissé, ils ont perdu. Par contre parfois l’argent apparait aussi du ciel. C’est présentement le cas tous les jours quand c’est de l’impression monétaire qui vient propulser les marchés à la hausse. Avant l’impression, cet argent n’existait pas et maintenant il apparait dans les bilans de tous ceux qui l’ont utilisé pour acheter des actions ou des obligations. Il est vrai que dans un marché normal, il y a une forte relation entre les actions d’une part et les obligations et les valeurs refuges d’autre part. Normalement quand les intervenants se retirent du marché des actions ils se réfugient le plus souvent dans le marché des obligations en attente de jours meilleurs ou vers les valeurs refuges comme l’or si ça chauffe trop. Il y a donc comme dit M. Prescot une certaine relation. Les actions baissent et les obligations montent ou vice-versa. Mais quand les marchés sont dans une période de volatilité extrême comme c’est le cas présentement, bien des vendeurs demeurent liquides ou se retirent carrément et dans ces cas, la vente d’actions n’entraîne pas une aussi grande montée du prix des obligations. Quand une banque centrale injecte des milliards sur les marchés par le biais de pions qui lui servent de couverture, dans le but de limiter la baisse et la panique, les marchés montent artificiellement sans entraîner la baisse normale du prix des obligations mais normalement l’impression monétaire devrait provoquer une baisse de la valeur de la devise imprimée et rétablir l’équilibre mais on sait tous que l’on ne vit pas une période normale et que les marchés sont tous surévalués et que les monnaies, principalement le US$ n’a pas baissé comme il aurait dû. Cela viendra un jour mais aujourd’hui, les marchés sont surévalués ou la monnaie est surévaluée, l’un ou l’autre ou probablement une combinaison des deux. Alors ce discours de M. Prescot ne tient pas la route. Cela ne veut pas dire qu’il n’a pas raison même si son raisonnement est faux. Il y aura peut-être un KRASH bientôt mais pas pour les raison qu’il dit. Nous sommes tous de toute façon en état d’alerte permanente mais les marchés boursiers ne sont pas un système fermé. Il y entre en permanence des sommes considérables et il en sort aussi et il n’y a pas de relation mesurable entre ces deux sommes et encore moins depuis que les banques centrales inondent les marchés. Finalement, indépendamment des volumes de vente et d’achats qui soit dit en passant sont plutôt faibles ces jours-ci dû au fait que bien des acteurs se sont retirés du jeu, quand le prix d’une action monte ou baisse, mêmes les actions non vendues de ce titre, ce qui est toujours de beaucoup le plus fort pourcentage des actions émises, ces titres montent ou baissent de la même manière. Il ne faut pas confondre sauf pour fin fiscale la valeur d’un titre avec la vente d’un titre. Une perte même si elle n’est pas réalisée est tout de même une perte tout comme un gain non réalisé est tout de même un gain. Il y a donc eu effectivement comme le disent presque tous les spécialistes une perte de richesse importante ces derniers jours et ces sommes sont effectivement disparues. Ça n’est pas du tout le principe des vases communicants. C’est actuellement bien plus une passoire qui coule de partout bien que les banques centrales s’évertues et réussissent encore à colmater les brèches mais jusqu’à quand?
Juste un petit complément. Ce que le raisonnement de M. prescot démontre bien c’est que les marchés sont manipulés. Mais ça on le sait depuis 2008 alors rien de nouveau. Il y aura KRASH. Ça aussi on le sait depuis 2008 mais on l’attend encore.
Si les marchés sont de plus en plus faussés alors le pire est déjà là, mais le pire est inversé, c’est-à-dire quelque chose qui ne peut se voir normalement par les continuelles fausses hausses alimentées par les algos, c’est l’inquiétude générale.
Par ailleurs, si les marchés sont mensongers à combien s’élève le nombre de manipulateurs et donc à partir de cela comment la confiance pourrait-elle revenir ? Autre chose, si les marchés sont truqués depuis le début de la crise, alors à quel niveau devrait être normalement les marchés, + ou – sous le plancher, surtout lorsque nous apprenons à travers untel ou untel, que même Untel en finit par vouloir « entreprendre » une lourde restructuration mondiale.
Tout est foutu depuis 2008. Les vrais initiés le savent très bien et depuis le début. On est en sursis depuis maintenant huit ans. Il n’y a pas de solution. Il n’y a que du temps qui peut être gagné et les requins qui le savent s’en mettent plein les poches et vont continuer jusqu’à la dernière minute. Aujourd’hui Soros s’est tourné vers l’or. Ça sent la fin de plus en plus et le BREXIT est une occasion inespérée (peut-être pas si imprévisible que ça finalement) pour trouver le bouc émissaire parfait. Le peuple anglais. Tout sera de leur faute. LaFontaine avait déjà tout compris quand il a écrit « Les animaux malades de la peste ».
Vous m’avez fait beaucoup rire merci.
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Ce que Martin t’explique l’ami, c’est qu’il est impossible d’avoir tout à la hausse en même temps. Et que lorsque cela se produit, c’est uniquement parce que les entreprises elles mêmes rachètent ce qu’elles ont mis sur le marché, ce qui va les assécher inévitablement au niveau de la trésorerie, et donc les priver de levier, et donc à terme d’investissements. Or, elle ont toutes aussi leurs résultats qui baissent. Donc, et lorsque leurs résultats baissent, les dividendes baissent, les investissements baissent, la consommation cale, c’est un 4 Death.
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Que ceci est également et probablement lié à l’assainissement des bilans des banques centrales qui sont en train de liquider littéralement leurs positions, ce qui a poussé les entreprises émettrices à ses racheter elles mêmes. Or, et tout le monde l’a bien compris, en situation de marché de bulle, elles ont beaucoup trop d’actions en circulation pour leurs capacités à distribuer effectivement des dividendes. Et comme les taux sont négatifs, le rendement obligataire et les commissions interbancaires ne permettront plus de prêts entre les banques, car les risques ne peuvent être assurés qu’avec des volumes plus importants. Si les volumes se réduisent, les taux remontent, et les bulles obligataires vont forcément exploser, puisque les dettes négatives ou à taux zéro ne vaudront plus rien sur les marchés dérivés. On a donc un potentiel d’effondrement double des produits dérivés et des supports, et là, effectivement, et comme Martin l’analyse très finement, c’est l’inconnu, et au delà, avec des corrections pouvant aller jusqu’à plus de 50% !