L’ancien Premier ministre défend une ligne économique très libérale. Voici ses effets concrets dans votre quotidien.
Arrivé loin en tête, François Fillon a fait sensation, dimanche 21 novembre, lors du premier tour de la primaire à droite. Mais que changerait vraiment son élection dans votre quotidien ?
Franceinfo a fait le tour de ses propositions pour vous en proposer un résumé. Celles-ci se distinguent par leur caractère libéral assumé, qui vaut parfois à l’ancien Premier ministre le surnom de « Thatcher de la Sarthe ».
1 – Si vous êtes chômeur
François Fillon compte durcir quelques règles. Vos allocations, par exemple, pourraient devenir dégressives et ainsi diminuer au fil des mois. Mis en place en France en 1986, un dispositif similaire avait été supprimé par le PS en 2001. Six pays européens ont adopté cette mesure, signale Le Monde, bien que son efficacité soit encore discutée.
Par ailleurs, en cas de victoire de l’ancien Premier ministre, vous seriez indemnisé moins longtemps. Aujourd’hui, les allocations sont versées aussi longtemps que vous avez travaillé, avec un maximum de deux ans, ou trois ans si vous êtes âgé de plus de 50 ans. Mais cette règle est en effet dénoncée par François Fillon. Enfin, les allocations seraient plafonnées à 75%.
L’idée est d’encourager les demandeurs d’emploi à retrouver un emploi, même précaire. « La pauvreté s’accroît à cause du chômage, donc la clé de tout est le redressement de la France, le plein-emploi », a indiqué François Fillon lors du troisième débat. Et tant pis si le poste occupé est précaire. « C’est toujours mieux de travailler que d’être au chômage ou au RSA », a-t-il résumé, lors d’une rencontre à New York avec des Français de l’étranger, rapporte Le Figaro. Pour encourager les embauches, les créateurs d’entreprise bénéficieraient d’une exonération de charges quand ils recrutent des demandeurs d’emploi.
2 – Si vous bénéficiez d’un emploi aidé
Mauvaise pioche. François Fillon envisage de « supprimer les emplois aidés », dont il dénonce le coût et la faible efficacité. « Lesdits contrats d’avenir ou de génération coûtent aujourd’hui 1,4 milliard d’euros. Pour quels résultats ? », dénonce l’ancien Premier ministre. Ils n’assurent pas l’insertion professionnelle et créent des effets d’aubaine concurrençant les dispositifs d’alternance ».
Cette mesure, toutefois, est jugée « totalement irréaliste » par Christine Erhel, directrice du Centre d’études de l’emploi. Citée par Challenges, la chercheuse assure qu’une telle décision « reviendrait à laisser sur le carreau des centaines de milliers de jeunes ». Créés en octobre 2012, les emplois d’avenir ont bénéficié à 300 000 personnes, selon la Direction générale à l’emploi et à la formation professionnelle, dont un quart dans les collectivités territoriales.
Avec la fin des emplois aidés, l’ancien Premier ministre espère doper la formation en alternance. En effet, l’économie réalisée permettra de supprimer les charges sociales sur l’apprentissage, qualifié de « voie privilégiée à l’emploi ». La France ne compte que 400 000 apprentis, contre 800 000 au Royaume-Uni et 1,5 million en Allemagne, déplore le candidat.
3 – Si vous êtes au Smic
Lors du premier débat, François Fillon a été interrogé sur le montant d’un « smic correct et décent ». Le candidat a évoqué un salaire « qui permet de vivre, mais cela dépend de l’augmentation des prix », sans toutefois livrer de montant. L’ancien Premier ministre n’est guère enthousiaste à l’idée d’augmenter le smic, aujourd’hui fixé à 1466,67 euros brut par mois, soit 1143,73 euros net. « Le smic actuel est ce que la société française peut faire de mieux. En France, il est d’ailleurs plus élevé que dans la plupart des pays européens ».
François Fillon estime que le smic renchérit « notre coût du travail car il augmente mécaniquement chaque année », au 1er janvier. Il n’a pas évoqué sa suppression, mais souhaite maîtriser sa revalorisation annuelle, indexée sur l’évolution des prix à la consommation. En 2011, déjà, il avait qualifié ces coups de pouce de « faute politique ».
4 – Si vous êtes fonctionnaire
Vous devrez travailler davantage, puisqu’il prévoit de relever la durée du travail hebdomadaire minimum à 39 heures dans le public. Ces quatre heures supplémentaires permettraient de gagner un « temps de travail d’environ 10%, soit l’équivalent de 600 000 postes”, indiquait le candidat dans son manifeste de l’été 2015. « Je n’imagine pas un seul instant qu’on puisse demander aux fonctionnaires de travailler 39 heures payées 35, a -t-il déclaré sur RTL. Cela veut dire qu’il y aura des négociations ».
Par ailleurs, « le statut de la fonction publique sera passé à la paille de fer pour en gommer tous les avantages injustifiés », a-t-il indiqué lors de l’université d’été des Républicains, comme « les mises en disponibilité sans justification » ou « les réintégrations dans leur corps d’origine des fonctionnaires ayant commis des fautes ». François Fillon veut également rétablir le jour de carence, supprimé en 2014. Ainsi, le premier jour de congé maladie ne serait plus rémunéré.
Enfin, les fonctionnaires seront de moins en moins nombreux, puisque François Fillon prévoit de supprimer 500 000 postes sur 5,5 millions, soit près de 10%. Comme il y a 120 000 départs à la retraite par an, rappelle Le Monde, il faudrait presque geler les embauches pendant cinq ans. Un effort sans précédent pour les administrations et les services publics.
5 – Si vous travaillez dans le privé
Là encore, vous devrez travailler davantage. François Fillon veut en effet « supprimer la durée légale du temps de travail ». La loi se contenterait de fixer le maximum autorisé par les normes européennes, soit 48 heures, indique Challenges, et la durée légale serait donc fixée par des accords d’entreprises. Son programme prévoit également de supprimer un jour férié.
Par ailleurs, l’ancien Premier ministre veut mettre en place « un contrat de travail avec des modalités de rupture prédéfinies et progressives ». Il prend exemple sur le cas d’une PME, qui « respire en fonction de ses commandes et doit faire face aux turbulences de son marché ». Vous pourrez également être licencié pour un nouveau motif – encore flou – de « réorganisation de l’entreprise », lors de procédures de licenciement collectif. Celles-ci sont censées aider les sociétés dans « un contexte concurrentiel », explique le candidat.
6 – Si vous attendez la retraite avec impatience
Comme Alain Juppé, François Fillon veut faire travailler les Français plus longtemps. L’âge légal du départ à la retraite serait fixé à 65 ans, contre 62 aujourd’hui. Les régimes privés, publics et spéciaux seront harmonisés, « dans un souci de justice et d’équité entre les Français », assure le candidat.
7 – Si vous payez l’ISF
Bonne nouvelle pour vos finances. François Fillon juge que l’impôt sur la fortune « fait fuir les capitaux » de France. Il envisage donc de le supprimer. « Ce n’est peut-être pas une mesure populaire, mais il est choquant que les Français aient du mal à payer les retraites alors que nos plus beaux actifs rachetés par des fonds de pension étrangers financent celles des Texans », expliquait-il dans Les Echos, en septembre. En échange, il évoque une « taxe forfaitaire modérée sur tous les revenus du capital et en supprimant l’ISF ».
Quid d’une baisse de l’impôt sur le revenu ? Cela « ne me paraît pas être une priorité absolue pour faire redémarrer l’économie », balayait le candidat, interrogé sur France 5, en début d’année. A moins, toutefois, d’investir. François Fillon propose de « réduire l’impôt sur le revenu de 30% à 50% du montant investi dans une PME, jusqu’à hauteur de 1 million », indique en effet le programme.
Petit ou gros patrimoine, tout le monde devra pourtant aussi s’acquitter d’une TVA relevée de deux points, afin de financer la baisse de charges des entreprises. « Il faut que ce soit la consommation qui finance notre système social, pas le travail ».
© Fournis par Francetv info
Source : MSN Actualité
Le programme de Fillon n’est pas « de droite » mais est la simple transposition du rapprochement GOPÉ du 18 mai 2016 de la Commission européenne sur la France pour les années 2016-2017. le démantèlement des services publics est prévu par l’article 106 du TFUE. Notre politique économique et sociale et régie par l’article 121 du même TFUE. la loi « Macron » et la loi « El Khomri » qui démantèle le droit du travail et précarie lnotre société sont tout simplement dictées par Bruxelles. Nos dirigeants passés, actuels et FUTURS sont tout bonnement des éxécutants zélés des politiques imposées par l’UE. les candidats à la présidence de la République seront contraints d’appliquer ce programme imposé à la France en vertu de l’article 121 du TFUE.
La seule et unique façon de sortir la France de ce piège est de sortir la France de l’Union européenne: FREXIT par l’Article 50 du TUE. Seule l’UPR le propose…
Tous ces tordus – vendus veulent redresser le pays , le sortir de la soi-disant crise qu’ils ont générée avec leurs maîtres .
Et sous ce prétexte , continuer à raser le peuple , à le presser comme un citron
comme le veulent les minables du haut .
Comment les minables du bas veulent-ils créer des richesses dans un pays aux 1001 allocs ?
Selon le rapport transmis par le gouvernement à la Commission des finances de l’Assemblée nationale, environ 30.000 contribuables aisés quittent chaque année la France …
En faisant fuir d’autres milliers de cervaux ?…
Le programme de ce monsieur part d’un bon sentiment de droite à savoir remettre les gens au travail dans un pays réputé comme étant le fief des assistés… Le problème est juste qu’il n’y a pas de travail car il n’y a pas suffisamment de croissance pour générer des emplois (sans parler de la désindustrialisation liée aux délocalisations, de la concurrence migratoire liée à l’ouverture des frontières et du développement des nouvelles technologies afin d’augmenter la productivité) . Et ce n’est pas avec un programme comme celui-lá que les français seront heureux, loin de là. Ce programme, s’il est appliqué, c’est l’austérité géméralisée et le développement de l’ubérisation de la société (seule possibilité que les gens auront pour s’en sortir). Peut-être que le seul point positif serait la mise en place d’un statut très favorable (ça reste à déterminer) pour les auto-entrepreneurs. En résumé, faire du neuf avec du vieux ou encore s’attaquer aux conséquences mais pas aux causes. Bref, rien de neuf sous le soleil mais avec ce personnage austère et conventionnel bien du système, il ne faut pas s’attendre à autre chose.
Si certains votent encore socialo après un tel programme, on ne peut plus rien pour vous.
Quand vous voyez le nombre de cervaux qui quittent votre enfer fiscal et la mentalité d’assistés , il est grand temps de changer de cap si vous voulez devenir un peu moins pauvres…
http://www.actu-maroc.com/la-jalousie/
Là-bas, on bosse dur, on se plaint peu et on est heureux.
En france, on a tout et on râle toujours..0
Triste vie.
Rien que du vent !!!! Et bien heureusement !! Je souhaite a ce « monsieur » de ne jamais être « demandeur d’emploi » , ni d’être président, surtout quand on y connais strictement rien de la vraie réalité……
UPR si renseigne toi
30 000 pas 23 000 🙂
Vous avez le programme made in Européen 🙂 devant vous. Votez UPR
Je ne voterais jamais pour un Ancien 1er Ministre…..
Depuis des décennies, nous subissons toujours les mêmes politiciens qui ont tout raté et qui ont menti et qui ont ruinée notre Pays…..
Les régimes privés, publics et spéciaux seront harmonisés,
» dans un souci de justice et d’équité entre les Français « … ah ah ah
Depuis le temps qu’il est injuste ce système et pour cause : les syndicats fonctionnaires veillent au grain pour conserver mordicus leur équité égalitariste !
Vous saviez que Juppé avait vidé les caisses retraites du privé pour alimenter celles des fonctionnaires ? non, et bien maintenant vous savez, vous pouvez même trouver l’info.
Ouais sur !!!
En Belgique, la police a gazé des militaires parce qu’ils ne voulaient pas voir leur age de retraite à 63 ans…
Qu’est ce tu veux quand on est régit par des politiciens élus par un peuple qui ont tous fait leur culture en regardant « The Expendables »… il faut pas trop s’étonner du résultat…
où du manque de réflexion de certains commentaires…
Mais oui encore un qui a tout compris du monde, faire bosser toujours plus les pauvres alors qu’il y a de moins en moins de boulot mais Fillon n’a pas l’air de le voir. Ensuite être de moins en moins payé et travailler et bien jusqu’a la mort ! logique pour lui.
Allez que tout ça explose et que ces nantis soient dehors, ras le bol !
Conclusion très pertinente +1
Mais, ce qui me fait chier avec les nantis, c’est qu’ils ont l’art, quelques soient les situations de toujours retomber sur leurs pattes…
Salut camarade syndiqué, pour 1 fois, je suis totalement d’accord avec toi.
Forme-toi, étudie ta langue maternelle ?… et comme moi, tu gagneras bien ta vie.
Assistanat : voyage au pays des 1001 allocs (1/2)
Par Christian Balboa
Quelle peut être la motivation d’une personne sans activité à prendre un emploi payé au Smic quand son revenu va seulement augmenter de … 193 € par mois, soit … 10,4 % ? Et le tableau suivant ne tient pas compte des frais de transport pour aller travailler et d’autres frais associés. Si un petit travail au noir vient compléter les allocations alors les jeux sont faits et la personne ne cherche plus de travail !
Voyage au pays des 1 001 allocs
L’État encourage une partie de la population à gagner plus en travaillant moins. La France est devenue la patrie mondiale de l’assistanat.
5 millions de personnes décrochent la timbale sociale
La couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) concerne plus de 5 millions de personnes. Et les assistés sont toujours plus nombreux. Lancé par Martine Aubry début 2000, modifié en 2016 avec le remplacement de la CMU de base par la protection universelle maladie (Puma), ce système est alléchant : gratuité totale des médicaments, des soins et des frais non remboursés par la Sécu chez un généraliste ou à l’hôpital, accès éventuel aux tarifs sociaux de gaz, d’électricité et de transports : obtenir la CMU-C, c’est un peu décrocher la timbale sociale. Elle est accessible à condition d’être sous un plafond de revenus (8 653 euros pour une personne seule et 21 633 euros pour une famille de 5 personnes.
Emplois rustines et garantie jeunes
Outre les emplois d’avenir qui aplatissent artificiellement les chiffres du chômage, la « garantie jeunes » est une enclume suspendue au-dessus de la tête des contribuables. Principe: avec ce système, l’État verse 461 euros par mois, (sous conditions de ressource) durant deux ans (maximum) aux jeunes sans emploi et ne suivant aucune formation. D’abord réservée aux zones « sensibles », cette garantie va être étendue à l’ensemble du territoire en 2017: « Nous devons créer un droit universel à la garantie jeunes », a indiqué Manuel Valls.
D’après une estimation de Matignon, 500 000 jeunes sont éligibles au système. Le coût de cette garantie atteint déjà 450 millions en 2016 . Il dépassera bientôt le milliard d’euros (annuel). Outre le versement d’une prime, la garantie jeunes est associée à un « accompagnement » des bénéficiaires.
Au final, les contribuables versent plus ou moins 1600 euros au titre de ce suivi et 4 000 euros de bonus. L’efficacité de la garantie engendre un fort scepticisme : connus des services sociaux, la majorité des bénéficiaires profitent déjà de nombreuses allocations.
Minima sociaux et maxifraudes
Dans le concert du misérabilisme universel, la France fait office de chef d’orchestre, mais en matière d’assistanat, les Français sont lucides : pour 53 % de la population, le fait de toucher le RSA incite ses bénéficiaires à ne pas rechercher du boulot. C’est ce qui ressort d’un sondage du Credo cité dans le rapport 2015 de l’inspection générale des Affaires sociales (Igas). Ce n’est pas le plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté lancé début 2013 qui va améliorer la donne : il prévoit d’augmenter ce revenu plancher de 10 % sur cinq ans (en plus de l’inflation).
Au moins 2 millions de Français s’en félicitent. Ces assistés touchent de 524 euros mensuels pour une personne seule à 1100 euros pour un couple avec 2 enfants (sans aide au logement dans les deux cas). Chaque enfant supplémentaire rapporte 209 euros par mois. Dans certains cas, l’aide peut être majorée. Elle atteint, par exemple, 1121 euros pour un parent isolé avec 2 enfants. Évidemment, le RSA est cumulable avec les aides au logement, les tarifs sociaux (gaz, électricité, internet, transport), etc.
Christian Balboa
Coucou Wallon, excuse moi mais j’ai plus le temps de lire tes conneries.
Cela dit, je te fais un gros poutou.
Plus de temps ? Tu m’étonnes; qu’as-tu de SOCIALEMENT intéressant à faire ?…
La France, patrie des mille et une allocs!
Un sujet qui fâche en pleine crise. Les français soumis à toujours plus de sacrifices, connaissent sans trop mettre de chiffres, la générosité de l’état. Notre pays, connu de part le vaste monde, pour sa propension à l’aide inconditionnelle à tous, est de ce fait une destination prisée. Le site contribuables.org est riche d’information sur l’utilisation de l’argent public, de même que l’observatoire des subventions qui pique, là où ça fait mal sur l’argent public distribué. Au lieu de pédaler dans la gélatine en cherchant 50 milliards d’économies, il serait peut être souhaitable que les services de l’état concernés, révisent eux aussi leurs copies, concernant ce tsunami d’aides en tous genres. Il n’est pas question de laisser les gens dans la détresse, mais il est quelque part impensable, que nous soyons les mougeonstruches du gouvernement, qui nous demande de mettre la main à la poche sans arrêt, sans que nous voyons, ou même espérons voir, le bout du tunnel. Deux articles qui en disent long sur l’utilisation de l’argent public, par ceux qui ne connaissent pas la crise, ni les fins de mois difficiles……
Img/contribuables.org
Geneviève Frixon**** vous recommande une saine lecture que nous ne pouvons qu’approuver : le dernier numéro des Enquêtes du contribuable, qui se penche sur un sujet difficile mais ô combien crucial pour notre pays aujourd’hui : le drame de l’assistanat.
Appuyer là où ça fait mal !
Ce titre résume à lui seul la dernière Enquête du contribuable intitulée « L’assistanat ruine la France, décourage le travail, avilit les Français » Pour les plus sensibles exposés à la cinétose, nous préconisons deux cachets de Nausicalm afin de pouvoir voyager sans encombre sur les eaux tumultueuses des 1001 allocations…
N’en déplaise à Nicolas Domenach qui s’obstine à mettre la tête dans le sable en claironnant face à un Eric Zemmour survolté que « la jeunesse immigrée est une richesse pour notre pays ! » Aucun doute possible, nous évoluons effectivement au pays des bisounours pour ce journaliste qui applique d’une façon remarquable le déni des réalités si cher à nos édiles de tous bords.
Nausicalm ayant sans doute fait de l’effet, nous espérons que vous pourrez passer les rapides suivants sans trop de nausées.
Les allocations françaises attirent des centaines de milliers de migrants chaque année : et pour cause !
La France passe pour la patrie de l’assistanat pour les 300 000 ou 400 000 immigrés clandestins qui sont pris en charge dès leur arrivée par des associations multiples subventionnées qui font tout pour rendre leur expulsion impossible avec le soutien inconditionnel des médias.
Centre Primo Levi, Cimade, Coallia, Comede, Croix-Rouge française, Dom’asile, Fnars, France terre d’asile, Groupe Accueil et Solidarité, JRS France, Ligue des droits de l’Homme, Médecins du Monde, Secours Catholique sans oublier le Groupement d’Information et de Soutien des Immigrés (GISTI). Les « sans-papiers » bénéficient même d’avocats spécialisés pour leur défense.
Quant aux aides et bien elles sont légion.
La très populaire « AME » qui, sous le gouvernement Sarkozy, demandait une franchise de 30 € acquittée par les clandestins, est tout simplement revenue à son point de départ en 2012 avec une franchise supprimée. Les soins couverts par cette aide médicale d’Etat sont pris en charge à 100%.
Le demandeur d’asile a droit à la CMU de base ainsi qu’à la complémentaire (que nous payions par le biais de notre mutuelle) pour lui, son conjoint et ses enfants dès le dépôt de sa demande.
L’allocation temporaire d’attente (ATA) pour en bénéficier le demandeur doit être titulaire d’un récépissé de 3 mois. Au 1er janvier 2014 son montant est de 11,35 €/jour.
L’allocation mensuelle de subsistance (AMS) versée une fois le demandeur d’asile hébergé. Son montant est compris entre 91 et 718 €/mois elle est versée par la CADA ( Centre d’Accueil des Demandeurs d’Asile)
Vieillesse : il n’est pas nécessaire de résider en France pour obtenir une pension de retraite.
Réductions dans les transports en commun : aucune condition de régularité de séjour n’est exigible. La loi prévoit seulement une condition de revenu. Nos étudiants ainsi que leurs parents qui financent sans aucune aide apprécieront.
Pauvre? SI tu bosses, tu n’es plus pauvre, non? J’ai loupé un épisode ?
Assisté : individu qui compte sur la générosité publique pour un soutien que vous-même n’êtes pas en position de pouvoir obtenir. Ambrose Bierce
Wallon moi aussi je t’aime…
Tiens une bonne fois pour toute. Tire en même des copiés collés de citations si tu veux…
https://www.youtube.com/watch?v=Q4FamibkUH4
Wallon à raison marre d’alimenter toute la misère du monde quand les notres galères et ne peuvent à peine subsister à leur besoin ou se faire un petit plaisir de temps en temps.
T’as raison Captain Planet, marre d’alimenter toute la misère du monde…
C’est pour ça que je prends la décision solennel de ne plus jamais alimenter ses commentaires…
1 soutien sur ce site fait plaisir ; bon vent à toi si tu es resté au front…
7 sont restés; qué courage !
Ou inconscience ?…
Un brin de réponse ;
http://www.insolentiae.com/vous-rendez-vos-enfants-betes-mediocres-et-idiots-mais-vous-pouvez-changer-ledito-de-charles-sannat/
Avant cette surprise, j’aurais bien misé un petit $2. sur Marine comme prochaine présidente mais maintenant, je vais me limiter à $1. car je crois que Fillon est peut-être un des rares encore capable de susciter un dernier sursaut de résistance au changement en France. Ce sont les résultats des régionales où le FN avait d’excellents résultats aux primaires mais où aucun de ses représentants n’a été élu qui me font penser que les Français ont encore les pieds sur le frein et vont attendre d’être carrément en enfer pour se rendre à l’évidence.
son programme est là , page 160 la colonede gauche nous dit en resumé suivez les gopes http://www.economie.gouv.fr/files/programme_national_reforme_2015.pdf
» Ce que va vouloir »
Les promesses n’engagent que ceux y croit !
En 15 ans ( Chirac « 2 eme mandat », Sarkozy, Hollande ) des tonnes et des tonnes de promesses mais pour quel résultat ?