Suisse: Les faillites d’entreprises ont progressé de 4,3% au 1er semestre 2017

ce que ne traduisent pas non plus les chiffres suisses du chômage c’est qu’il y a une vague de licenciements massifs depuis 2014. Pourquoi cela n’apparait-il pas dans les statistiques de l’office du travail de la confédération ? Tout simplement car ce sont principalement les frontaliers qui en premier lieu font fusibles (ce qui est logique dans un pays sain, priorité aux confédérés et aux résidents) et que, de part les accords bilatéraux européens, les frontaliers ne s’inscrivent pas au chômage suisse mais au chômage de leur pays de résidence. Si vous reprenez les cartes de france de répartition des nouveaux inscrits à Pôle emploi 2015-2016, toute la zone rhône-alpes et en rouge foncé chaque mois, c’est à dire la région la plus frappée en terme d’augmentation de chômeurs car elle récupère l’épuration helvétique. Donc il a fallut attendre 2016 pour que le phénomène de récession soit suffisamment virulent pour toucher une autre catégorie d’actifs qui sont les employés Suisses eux-mêmes, puis le tissu économique d’entreprises qui ont tenté de se sauver depuis 2012 en licenciant les salaries d’abord non-résidents, puis résidents, puis exterminés à leur tours, ce qui se traduit par ses chiffres de faillites suisses aujourd’hui. Quelle est l’origine de ces licenciements puis de ces faillites ? Fin du secret bancaire 2014, fin du secret fiscal 2017, dumping salariale depuis 2003, accords bilatéraux avec l’Europe qui a flingué le contrôle aux frontières des masses salariales et des salaires, planche à billet mondiale, règne de l’ultra-libéralisme promu par le deep state USA via l’union européenne, mise sous tutelle des organismes financiers suisses par la FINMA, lobbying de masse au parlement fédéral, hausse de la TVA, fusion des caisses de retraites en perdition depuis 2008, législation sur les futures conditions de retraites (loi AVS), gèle des attributions des invalidités, votation sur l’or biaisée, votation contre la libre circulation des personnes mis au rebus depuis 2014, propagande en faveur d’une société sans cash par de l’affichage urbain, propagande d’assistance aux clandestins, absence de mesure réelle contre le travail au black, paiement des universités par les étudiants autochtones et gratuit pour les étrangers, manque de soutien efficace envers son agriculture, rachat de milliards d’euros chaque jours par la BNS pour soutenir l’€… Autant dire que les pressions, autant de l’intérieur que de l’extérieur sont énormes contre une nation qui détient une des valeurs monétaires les plus sûre du monde. Néanmoins et malgré toutes ces attaques, la Suisse s’en sortira par la qualité de son enseignement, le solidité de son activité économique réelle et ses produits haut de gammes, son endettement sous contrôle SI les Suisses font preuves d’un retour au pragmatisme et de radicalité par rapport aux traitres qui se sont glissés dans leurs rangs. Dans tous les cas la réalité rattrapera la confédération tôt ou tard comme cela c’est produit dans les autres pays du continent avant, reste à savoir si sans réaction immédiate il restera suffisamment de ressource pour faire volte-face plus tard…