Dix ans après le début de la crise des subprimes, si certains des ex-patrons des banques ont dû s’acquitter d’amendes colossales, seul Bernard Madoff purge une peine de prison de 150 ans
La faillite de la banque américaine Lehman Brothers, en septembre 2008, a plongé l’économie mondiale dans une crise financière comparable à celle de 1920. Passage en revue de ce que sont devenus les principaux acteurs de ce scandale financier.
Dick Fuld (Lehman Brothers)
« Salut, je suis Dick Fuld, l’homme le plus haï d’Amérique. » Peu après la faillite de Lehman Brothers, c’est ainsi que son ex-PDG s’était présenté lors d’un cocktail mondain. Il persistait à faire du second degré, alors qu’il est à l’origine de l’étincelle qui a embrasé la finance mondiale, le 15 septembre 2008. Malgré les risques qu’il a fait prendre à la banque, après avoir empoché un demi-milliard de dollars de bonus, il a réussi à échapper à des poursuites pénales. Agé de 70 ans, il a lancé, fin 2016, une société de gestion de fortune pour les dirigeants de PME, Matrix Wealth Partners.
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Angelo Mozilo (Countrywide)
Ce fils de boucher du Bronx s’était promis de faire de chaque Américain un propriétaire grâce sa société, Countrywide, un prêteur hypothécaire créé en 1978. Pionnier des subprimes, il a finalement fait du rêve américain un véritable cauchemar. Alors que les défauts de paiement se multiplient début 2007, il est contraint de vendre à Bank of America l’année suivante. Il évite la prison en versant une amende de 67,5 millions de dollars (59,08 millions d’euros), assortie d’une interdiction à vie de diriger une société cotée. A 79 ans, il s’est aujourd’hui retiré dans sa résidence de Santa Barbara (Californie).
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Kathleen Corbet (Standard & Poor’s)
Elle a dirigé de 2004 à 2007 la plus grande agence de notation financière, Standard&Poor’s, qui a consciencieusement continué à distribuer des triples « A » à des obligations pourtant gorgées de produits financiers toxiques. Accusée d’avoir « conçu et mis en œuvre un système destiné à tromper les investisseurs », l’agence a…
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Ah ? Ils y ont droit ? Et a quel age ?
Quand on enterre les morts et que l’on place au-dessus de leur corps une grosse dalle de béton (pour être certain qu’ils ne s’échappent pas), on peut dire aussi qu’ils coulent une retraite (« heureuse »).
Jésus, on l’avait mis dans un tombeau avec une énooorme pierre devant l’entrée/sortie mais ça ne l’a pas empêché de sortir.
Et alors qu’il est sorti depuis déjà plus de 2 milles ans, ça n’empêche pas des idiots d’aller encore lui rendre visite dans son tombeau et même de déposer des offrandes.
Celui qui coule une retraite (heureuse) c’est quelqu’un qui est en faillite car s’il était toujours VIVANT il serait toujours ACTIF.
On vit vraiment dans un monde de débiles profonds….
ta réponse transpire fortement la jalousie, une retraite heureuse c’est faire CE qu’on veut AVEC qui on veut QUAND on veut. Beaucoup de retraités sont plus actifs que les dits actifs car il sont heureux de faire ce qui leur plait. PREPARE TA PLACE ET ATTENDS TON TOUR!
et tout ça grâce à Éric Holder https://fr.wikipedia.org/wiki/Eric_Holder#Suites_judiciaires_de_la_crise_financi.C3.A8re_de_2008 le choix qu il a fait et ses motivations a été copié en modèle par bcp d autre pays.
Surtout pas d enquêtes contre le DNC. de toute façon les conflits d intérêts sont légaux là bas, il n y a pas tant que ça à cacher.
Le monde est aux mains des pourris
Un pourri c’est quelqu’un qui est en phase de décomposition (un mort) et donc cela signifie que le monde des VIVANTS lui échappe.
En clair, les pourris sont dans la tombe et croient toucher ce qui n’est pas (ils « vivent » dans un monde virtuel).
Pourquoi donner de l’importance à ce qui est mort? Oublions-les et poursuivons notre route sans eux.
Il faut retrouver le chemin de la nature et oublier le monde virtuel.