Sur le plateau du journal de 20 heures journaliste François Lenglet revient sur le déclin de l’industrie française, en baisse vertigineuse depuis plus de quarante ans.
Pierre Larrouturou: Le discours sur: « la croissance revient » est un mensonge ! France: Nouveau record du chômage toutes catégories confondues au mois de Juillet 2017 – Source INSEE
Source: francetvinfo
Menteur ! Notre perte massive de l industrie est directement liée a notre appartenance à l UE qui organise les délocalisations et à l euro trop chère qui plombe nos exportations https://www.youtube.com/watch?v=4kKk0jrlX44
Mr Lenglet est a l’économie ce que la musique militaire est a la musique
La désindustrialisation ne serait pas si grave si elle n’entraînait pas le déficit de la balance commerciale. Mais pour Lenglet, bon européiste libéral, c’est hors sujet.
Pourtant M.Lenglet est une personne instruite, mais concernant l’industrie française il a quelques lacunes.
La délocalisation n’a pas débuté à partir des années 80 mais bien dans les années 20 avec le textile produit discrètement en Inde. On va nous sortir qu’à cette époque là les salaires étaient déjà trop élevées??charges sociales trop élevées??aides sociales trop nombreuses??et trop de migrants à supporter??
Pauvres ultra riches devant verser quelques miettes de salaire « aux sans dents »..ça fait une bouteille de champagne en moins dans la cave…si nous étions tous gratos…il n’y aurait pas de crise..on le sait bien
Même si c’est vrai, ce n’est pas impossible… Déjà à l’époque l’argument était le même https://fr.wikipedia.org/wiki/Grève_générale_de_1926_au_Royaume-Uni Alors qu’une commission d’enquête avait prouvé que le matériel était désuet et que de grand gain de productivité était possible avec de l’investissement à la place de baisse de salaires.
Pourquoi toujours vouloir comparer l’économie française avec les allemands ou les anglais?Là vous parlez de l’industrie anglo saxonne, rien à avoir avec la France qui se portait très bien et avait du très bon matériel qu’elle revendait aux pays étrangers notamment chine et inde..(début de la mondialisation). Les faux arguments envers les « esclaves » ou termes actuels « salariés »ont toujours été les mêmes depuis la nuit des temps,nous coûtons trop chers peu importe la somme car l’argent nous donne accès à « la connaissance » et donc à une certaine liberté, à la révolte. Nous subissons simplement les conséquences des décisions prises par l’élite un siècle avant afin d’optimiser leur insatiable soif de profits.
C’était juste pour illustrer que ce genre de conflit ne date pas d’hier.
Avec le retour de la droite en Amérique Latine, j’ai entendu parler d’assouplissement des code du travail locaux…
Mince, on ne parle pas des immigrés qui plombent le système parce que plusieurs millions d’assistés ça a forcément un impact indirect sur l’appareil de production à travers les taxes et les impots… enfin je dis ça comme cela et sans aucunes arrières pensées… vraiment aucune …mais parfois je me dis toutes ces embarcations en Méditerranéens si elles coulaient plus souvent … enfin bref… à plus tard …
Lenglet….pfff sans intérêt aucun, c est pour une question de parité quelconque qu’on le mentionne ici?
ahhhhhh la propagande télévisuelle, bah ça me manque pas d’entendre de telles conneries proférées par les commissaires politiques de l’U.E.R.S.S
Depuis 1973, on est passé de 5,7 à 3,1 millions d’emplois industriels mais dans une population générale passée de 53 à 65 millions d’habitants. En proportion de la population, on aboutit à une division par 2 des emplois industriels.
Si on espère créer à nouveau des emplois dans ce secteur, étant donné que le coût du travail n’a jamais été aussi élevé, les usines nouvelles sont contraintes de se concentrer sur la partie à forte valeur ajoutée des productions. Le travail manuel est devenu en quelque sorte un produit de luxe.
Mais le coût élevé du travail ne signifie pas salaire plus élevé, car ce sont les impôts et les charges sociales qui ont le plus progressé ces dernières décennies. Ce n’est pas prêt de s’arrêter, puisque :
– le système des retraites par répartition est prévu en déficit jusqu’en 2040 au moins, selon les estimations les plus optimistes.
– le nombre de fonctionnaires semble quasiment impossible à réduire pour les gouvernements successifs.
– les taux vont tôt ou tard progresser à nouveau et il faudra bien financer avec des impôts supplémentaires la hausse de la charge de la dette.
Avec un travail devenu produit de luxe mais des salaires largement amputés par les impôts et les charges, l’équation est impossible à tenir.
Si l’industrie a déjà souffert, ne rêvons pas : les services sont placés dans la même impasse, à devoir résoudre la même équation qui amène la France vers la faillite et le sous-développement, conséquence de plusieurs décennies de collectivisation socialiste.
Ha la religion économique est vraiment la plus conne et la plus dangereuse de toute … Mais comme il ne faut jamais parler de protectionisme ou de droits de douane …on peut lire des trucs pareils .
Rejoindre la discussion Evidemment pour le sieur Garofula, les politiques conservarices du patronat et notamment sa répulsion face aux investissements sont les graves fautes d’une collectivisation socialiste.Le patronat qui sent le rance reproduit presque l’avant-guerre, périodes pendant lesquelles ses penchants pour le système économique instauré en Allemagne par Tonton Hitler lui était séduisant…Ah chère Germany quand tu suscites notre admiration sans fin…Malgré une démographie défaillante ! Il est largement temps de récupérer notre souveraineté, de renoncer à ce magnifique projet qu’était l’Europe mais qui s’est enlisé dans les sables d’un système de totalitarisme administratif d’où la démocratie est absente bien qu’elle soit hypocritement proclamée sur n’importe quel toit.