Jacques Cheminade affirme que l’on a payé 1.400 milliards d’intérêts sur la dette depuis 1979. Le Vrai Faux de l’info avec l’affolement de Jacques Cheminade quand il regarde la dette. Le candidat de Solidarité et progrès dénonce l’occupation de la France par la grande finance, responsable pour lui de la majeure partie de la dette abyssale de la France.
Philippe Herlin: Le danger mortel de la remontée des taux d’intérêt France: La dette publique a augmenté de 62,3 milliards d’euros au 1er trimestre 2017 et atteint 2 209,6 milliards
La France n’a pas fini de voir sa dette enfler puisque selon Olivier Delamarche, si la France ne fait pas 4,2% de croissance, elle ne rembourse pas les intérêts de la dette. Pour compléter ce sujet, sachez que la dette publique française n’est pas de 98% comme le relate régulièrement mais se situe entre 140 et 150% si l’on prend en compte l’endettement des régions.
Source: europe1
Remarque si on ne parle que de dette et seulement de dette, on ne peut pas décemment dire que la Belgique soit un exemple non plus …
On nous mazoute à longueur de journées médiatiques avec l’Allemagne en oubliant qu’il y a des endroits où ce n’est mieux qu’en France, mais là c’est motus et bouche cousue.
On a beau savoir que ce genre de discours fait partie de la manipulation du troupeau, il faut de temps en temps comme avec Brunet, rétablir un semblant d’équilibre dans les propos, car comme le dit une humoriste « on ne nous dit pas tout ! »
Ce qui ne résout pas le souci de la France (et de bien d’autres d’ailleurs) à ce niveau je te l’accorde …
Maintenant cette histoire de se financer uniquement auprès des banques privés, c’est une de premières pierres de la prise de pouvoir de la finance sur les états.
Et maintenant ça commence sérieusement à se voir que c’est elle qui commande.
There is no alternative.
Nous payons les erreurs et magouilles de nos dirigeants.Que le début du naufrage
C’est les banques qui impose les finances françaises par leur lobby ou en mettant désormais directement leurs employés au pouvoir, mêmes comme président de la république !!! Ainsi il s’assurent de toujours s’en mettre plus dans les poches et de faire absolument payer TOUT LES FRANÇAIS TOUTE LEURS VIES !!!! La plus grosse arnaque imaginé par Rothschild and Co avec la participation de nos élus !
Il ne faudrait quand même pas faire comme si les intérêts n’étaient pas légitimes mais la dette publique, si. Or, c’est précisément l’inverse qui est vrai. Les intérêts sont légitimes mais l’Etat n’est pas légitime à s’endetter puisqu’il ne crée aucune richesse nette. Tout ce que l’Etat crée mal, au prix de la pauvreté économique pour le plus grand nombre, aurait pu être créé ailleurs en beaucoup mieux, et beaucoup plus encore, si les impôts n’avaient pas été prélevés et si tout cet argent spolié avait été laissé à ses propriétaires légitimes, c’est-à-dire ceux qui savent faire, ceux qui sont compétents pour faire, au lieu d’être redistribué en pure perte. Une Bettencourt est 10000 fois plus compétente pour produire du bien commun au service de tous que 10000 fonctionnaires qui vivent grassement sur le dos des moutontribuables, au nom d’un bien commun dont ils n’ont jamais eu le moindre commencement d’une idée sensée à son propos.
Que l’Etat rembourse sa dette, paye les intérêts qu’il doit, cesse définitivement de s’endetter, cesse de vampiriser la vitalité des Français en les épuisant de taxes et de normes, et la France ira mieux, instantanément.
Des intérêts sur du papier crée qui ne vaut rien vous dîtes que c’est légitime ?
Franchement, qu’est-ce qui tourne pas rond chez vous ?
Les capitaux prêtés ont de la valeur pour leurs propriétaires. Ils doivent être remboursés, y compris les intérêts, jusqu’au dernier centime.
Si la banque centrale prête à taux nul à l’Etat, la monnaie est affaiblie d’autant, dévaluant les revenus et l’épargne de tous, sauf des fonctionnaires qui en tirent leurs richesses aux dépens de la population. C’est inacceptable et illégitime.
Ni dettes ni impôts au delà des fonctions régaliennes : l’Etat doit être strictement limité à ce pourquoi il est compétent et utile au bien commun.
« Si la banque centrale prête à taux nul à l’Etat, la monnaie est affaiblie d’autant, dévaluant les revenus et l’épargne de tous, sauf des fonctionnaires qui en tirent leurs richesses aux dépens de la population. »
Encore une totale contre-vérité. Pourquoi une dévaluation des revenus ne toucherait pas les fonctionnaires ?
Quand aux capitaux prêtés là encore il faudrait peut-être se renseigner un minimum sur la monnaie scriptural et la création monétaire par la dette.
L’argent prêté est créé ex-nihilo (à partir de rien, en latin).
Donc les intérêts de ce type de dette ne peuvent être justifier que comme une rétribution pour la gestion des dossiers. Ce n’est plus du tout la même chose qu’un capital déjà existant qui serait prêté et dont les intérêt servirait à couvrir le risque de non remboursement.
Comment ? Parce qu’ils les touchent, ces fameux revenus fictifs issu de l’impression monétaire qui dilue les revenus réels des non-fonctionnaires. L’inflation ne touche pas tout le monde uniformément. Ceux qui sont directement sous le robinet étatique, les premiers servis, ne souffrent pas de l’inflation.
Les intérêts n’ont jamais eu pour but de couvrir les risques mais d’assurer un revenu légitime à celui qui renonce à une consommation immédiate en prêtant son argent.
La théorie de l’argent-dette qui impliquerait qu’il pourrait exister de l’argent « non-dette » est débile. Toute monnaie est par définition la contrepartie d’une dette. La création monétaire se produit forcément ex-nihilo. Si ce n’était pas le cas, tout capital existant étant déjà investi, le prêter signifierait désinvestir ailleurs, notamment pour son propre compte. Sans création monétaire ex-nihilo, aucune croissance n’est possible. Mais la création ex-nihilo ne pose pas de problème tant que la monnaie créée est finalement détruite lors du remboursement des prêts. Les intérêts sont ici aussi légitimes car la création ex-nihilo n’est jamais qu’un levier sur le capital existant qui permet de réduire les taux moyens au grand bénéfice des emprunteurs. Prêter dans ces conditions sans tomber en faillite est un travail comme un autre qui justifie une rémunération, les intérêts.
Mais comment peut-on écrire autant de betises, et de contre verites . C est janvier 73 que la loi pompidou Giscard a ete vote. Loi qui interdit l état de se financer auprès de sa banque centrale, mais qui l oblige a ce financer auprès des marches financiers pour beaucoup plus cher, d ou l explosion de la dette… Pas dur a voir d ailleurs il suffit de savoir lire une courbe . c est aussi durant la périodepériode Gaullienne que les meilleurs investissements d infrastructures ont été fait en France et que des nouveaux grand groupes ont émergé malgré un contrôle des prix très sévère par le général. Mais c est vrai la dérégulation et les intérêts privés ça fonctionnent tellement bien y a qua regarder wall street… Bulle des crédits immobiliers avec les subprimes, bulle des prêts étudiants, idem sur les crédits auto… Fabuleux dans un pays ou la moitié des infrastructures de distribution d eau date de la guerre de sécession. Quand a Bettencourt un parasite qui n a jamais bossé de sa vie et dont le fait notable était sa proximité avec la cagoule, et la collaboration avec leur grand ami Mitterrand …
« c est aussi durant la périodepériode Gaullienne que les meilleurs investissements d infrastructures ont été fait en France et que des nouveaux grand groupes ont émergé malgré un contrôle des prix très sévère par le général. »
Grâce au conseil national du crédit en lien avec la datar (que Pompidou a considérablement affaibli en autorisant les banques à emprunter auprès de la banque de France sans contrepartie pour l’orientation des prêts https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006072686&#LEGISCTA000006103745. C’est d’ailleurs ce que veux faire Jacques Cheminade par rapport au autres. C’est à dire plus que simplement nationaliser la dette. Mais prendre le contrôle du crédit tout cour (mieux vaux être maître du crédit qu’esclave du budget) en restaurant le conseil national du crédit en lien avec le commissariat au plan dans ses fonctions.
Incroyable de pondre autant d’ineptie…
« Une Bettencourt est 10000 fois plus compétente pour produire du bien commun au service de tous que 10000 fonctionnaires »
La blague de l’année ou comment une rentière qui n’a jamais bossé de sa vie et touche des montants astronomiques de placements financiers serait plus utile au bien commun que les fonctionnaires qui donnent du sens à notre service publique.
Les fonctionnaires et autres énarques qui n’ont jamais créé le moindre centime de richesse par eux-mêmes sont infiniment moins compétents que les véritables propriétaires des capitaux spoliés lors de leur taxation.
Bosser comme un fou ne sert à rien si cela ne crée aucune richesse. Creuser un trou dans son jardin et le reboucher le lendemain est un travail harassant qui ne crée absolument aucune richesse. Une pure agitation stérile.
Gérer son patrimoine pour son intérêt personnel, donc pour le bien commun, est un travail extrêmement précieux, utile pour le plus grand nombre.
Tout le contraire des agitations purement stériles des hauts fonctionnaires parasites qui vivent de la spoliation de leurs contemporains, totalement incapables de créer la moindre richesse par eux-mêmes. Ils sont l’antithèse du bien commun qu’ils insultent quotidiennement quand ils osent s’en réclamer.
« Gérer son patrimoine pour son intérêt personnel, donc pour le bien commun. » T es vraiment aussi con que ça… c est juste antinomique, les deux concepts ne peuvent se confondre … c’est l équivalent du tout, c est le rien … même les plus ardents libéraux comme Charles Gave qui réduise la liberté au droit que donne le pognon ne débite par ce genre de connerie monumentale.
Rien d’antinomique au contraire. C’est la seule définition possible du bien commun, sauf à sombrer dans les crimes les plus abjects au nom de toutes les perversions illuminées qui se cachent derrière les fausses définitions du bien commun.
Le pognon ne donne pas de droits, il donne éventuellement le pouvoir limité de consommer la production des autres, et seulement s’ils sont d’accord. T’es tellement obsédé par le pognon, le pognon, le pognon, que tu ne parviens même plus à réfléchir et la vulgarité haineuse sert de refuge à ta profonde vacuité. Tu dois avoir une vie fantastique, dis donc. On te la laisse.
Rien d’antinomique … Tu ne sais même pas lire une définition dans le dictionnaire ?Réduire la prospérité collective à la prospérité individuelle, soit le dogme libérale bien crétin, en traitant de criminel ceux qui devient de cette idée, relève d’une formidable inculture historique et à de la bêtise crasse. C’est justement ce superbe modèle qui tu aimes tant qui a produit, les systèmes les plus brutaux et meurtriers de l’histoire ne t’en déplaise. CF les livres, du pourtant très libéral, Anthony Sutton qui démontrent comment les investisseurs forcément efficaces, selon tes dires, ont financés le nazisme et la révolution bolchévique… Entre autres . Quand à me traiter de fasciner par le pognon, toi qui éructes des que l’on parle de taxes, c’est l hôpital qui se fout de la charité. Mais le top du top, c’est d’oser de parler de l’autre en le traitant de haineux, vu le mépris de classe et la haine affichée que tu as des fonctionnaires, à tel point que tu arrives à voir dans un idiote collaborationniste (Bettencourt), plus d’utilité, que 1000 fonctionnaires qui sont je te rappelle des médecins, infirmière, prof, policier, ou de chauffeur de bus métro. C’est fabuleux de conneries. D’ailleurs la prochaine fois, que tu finies aux urgences expliquent leur bien à quelle point se sont des parasites improductifs ….
Antony Sutton, libéral ? T’es un grand malade, en fait.
Médecins, infirmiers, profs, chauffeurs de bus ou de métro : secteur privé, en concurrence.
Policiers : secteur public.
A partager.
https://youtu.be/Y_Kr54pebg4
La France ou les français ou personne ?
Si le traitre Giscard n’avait pas signer la loi du 3 janvier 1973 d’un coté et de l’autre ouvrir nos frontières (et organiser le regroupement familial) c’est à dire permettre l’invasion imaginez tous un peu le niveau de vie que nous aurions aujourd’hui.
Sans Giscard la France serait Byzance … du miel et du vin pour tous et par un barbare dans nos murs la paix civile une paix royale!
Le vrai traitre c’était pampidou, le 1er des valets de Rothschild à devenir president de la France (MACRON c’est le 2ème), il était le DG de la banque Rothschild, il renter à l’élysé le 15 juin 1969, et c’est lui à l’origine sur le réforme des status de la banque de france. Notamment l’article 25 dela loi 73-7 du 3 janvier 1973, qui condamme la France à se tourner vers les banques privées et à payer des interest, avant cette loi l’état emprunter à la banque de France sans intérêt.
Autrement dit, Avant cette loi l’état Français avait le droit de batter la monnaie, avec cette loi, il l’a perd, ce droit est légué aux banques privées, qui en profitent pour s’en richir.
Cette decision correspond à une privatisation de l’argent et ramène l’état francais au meme rang que n’importe lequel de ses citoyens :-).
Mais les français aiment ça, ou devrais je dire que les français sont des ignares de leur proper histoire, le vote MACRON le prouve bien
LOL
Méme chose au Canada avec l’enfoiré de Pierre Éliot trudeau en 1974 il a vendu le Canada aux banques privées maintenant ça coute aux canadien 40 millions de dollars par jours pour seulement payer les intérêts
les politicards ne sont rien de plus que des vendus.
vous n’êtes rien de plus que de la merchandise qu’ils vendent au plus offrant, c’est la vie 🙂
Désolé TOTO mais il semblerait que ce soit faux, Un livre est sorti sur le sujet : enquête sur la loi du 3 janvier 1973 de Pierre Yves Rougeyron. Il pensait initialement la même chose, mais après enquête auprès de Gisardiens notamment, il s’avère que, même si Pompidou a été directeur de la banque Rotschild, le papa de cette loi c’est Giscard.
En 73, Pompidou, qui n’était pas un fnancié (il était agrégé de lettre) était rongé par la maladie, il meurt en 74 . C’est Giscard qui a pondu le truc, il a recommencé en 2008 d’ailleurs puisque c’est lui qui a pondu l’article 123 du traité de Lisbonne qui oblige les états membres à se financer sur les marchés privés.
Giscard c’était un enfant de Coeur, alors que Pampidou c’ était un gros partouzeur, l’affaire Markovic en 1968 l’impliquait dans des soirées échangistes, il avait de l’entrainement pour baiser tout un pays 🙂 !!!
Les français aiment voter pour ceux leur promettant une jouissance immediate en prenant sur le bien futur (y compris l’avenir de leurs enfants) ce n’est pas prêt de changer les banquiers peuvent dormir tranquille