Fitch vient à son tour de déclarer le Venezuela en défaut partiel sur sa dette et ce juste 24h après l’agence S&P. Selon lefigaro, le pays n’arrive plus à honorer les paiements qu’il doit à ses créanciers étrangers.
L’agence Fitch explique que des paiements d’intérêts n’ont pas été reçus par les détenteurs d’obligations à l’issue d’une période de grâce de 30 jours.
Planche à billets à gogo, inflation record: les Vénézuéliens peinent à remplir leur panier d’épicerie Le Venezuela aux abois financièrement émet un billet de 100 000 bolivar: les hausses des salaires ne suffisent plus
Le résultat d’années d’insouciances dévastatrices, de certitudes révolutionnaires aussi hautaines que contestables, de nationalisations économiques à tout crin ayant conduit au désordre et à l’inefficacité, de mauvais traitement et de dédain a l’égard du secteur privé, de création monétaire comme sésame imparable, de rhétorique agressive au niveau international aussi préjudiciable qu’inutile, de partenariat uniquement idéologique et non stratégique pour le bien du pays, de manque d’investissement dans un secteur pétrolier à présent complètement dévasté, de socialisme bolivarien pour résumer qui a cru aux contes de fée en balayant complétement les fondamentaux amers qui seuls amènent de la prospérité…
Le Venezuela est maintenant dans un comas presque dépassé, avec des dirigeants qui ne savent plus quoi inventer pour sauver leur peau, et non le pays.
Les résultats des dernières élections ?! Une vaste blague que même mister bean n’aurait pas osé inventer ! Tout n’est plus ici que combines, menaces, manipulation, désordre, désolation, anarchie dans un pays laminé par la corruption et l’injustice…
Ce n’est pas compliqué : Plus aucun pilier démocratique digne de ce nom n’est encore debout !
Et Maduro, Nicolas pour les intimes, ce cauchemar intellectuel vivant là par hasard !!! Ce type est à la politique ce que Chantal Goya est à la littérature, c’est-à-dire rien, sinon du ridicule.
Et dire qu’il passe son temps à se faire filmer ou photographier avec une peinture du grand Simon bolivar en arrière-plan. Grotesque ! Heureusement que l’histoire et le temps font un tri implacable…
Donner des fusils aux grands-mères, membres émérites des glorieuses milices socialistes. On en est là !
Si réveil il y a dans ce pays, il ne se fera que grâce à un changement de paradigme radical : Le pragmatisme constructif (Rassemblement des forces vives dans une projet d’union nationale) en remplacement de cette idéologie aveuglante et déconcertante (Parasitisme étatique).
Mais ce changement sera de toutes les façons long et douloureux. Le mal est tellement profond !!!…