La minute éco avec vous Charles Gave. L’économie, la politique, l’ubérisation ne fait aucune exception aujourd’hui dans la société. Porteur de changements pour certains, réels dangers pour d’autres. Rien ne semble pourtant arrêter ce phénomène. L’ubérisation est-elle une chance pour l’économie ?
Asselineau: La mise en pièces de toutes les professions réglementées par l’ubérisation L’ubérisation du travail: la solution pour lutter contre le chômage ? Avec Philippe Béchade
Source: planetes360.fr – Voir les précédentes interventions de Charles Gave
A l’intention des lecteurs du site BusinessBourse
Nous sommes à la veille d’un tournant majeur dans l’économie mondiale. Pour les très rares personnes qui ont des actifs à protéger, le moment est venu de sortir des bulles d’actifs, comme je le recommande depuis longtemps. Il est également temps de détenir de l’or et de l’argent physique comme assurance pour son patrimoine. Les métaux précieux atteindront des niveaux sans précédents, voire non envisageables aujourd’hui avec l’hyperinflation.
Pour ceux qui pensent avoir peu de moyens, rappelez-vous que vous pourriez acheter 1 gramme d’or par mois, ou plus, ce qui coûte aujourd’hui 43 $. Au fil du temps, cela vous permettra d’accumuler un important pécule.
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Hors sujet
J’ai étudié les coûts asymptotes et le contrôle économique !
Qui restera-t-il ? La Chine…
Alors que deviendront les autres ?!
L’économie est basée sur des règles simples…
qu’on ne peut pas violer longtemps…
sans conséquences !!!
N’oublions jamais que la Chine joue au jeux de Go,
la Chine prends le temps de vaincre par KO !
Certains métiers de demain n’existent pas encore, et certains d’aujourd’hui vont mourir.
De toute façon à cette cadence un bon tiers des emplois vont disparaitre, et pour certains s’ils arrivent à réellement travailler plus de 25 ans dans leur vie ce sera très beau ; et si en plus on rallonge l’âge de la retraite, ça va ajouter des complications au monde du travail ; seul ceux qui ont des emplois en tension et indispensables à la société, pourront s’en sortir ; d’ailleurs un économiste espagnol très réputé car il a prédit dans ses livres les crises précédentes (Santiago Niño Becerra), est très alarmiste et encourage la migration des espagnols. N’oublions pas que l’Espagne va mal contrairement à ce que l’on peut nous faire croire ; et s’il n’y avait qu’elle.
Il y a une aberration, car d’un côté on veut rallonger l’âge de la retraite, alors que certains en pleine force de l’âge ne pourront pas travailler faute d’emploi ; sans oublier la concurrence avec les migrants, qui eux aussi veulent manger, et il ne faut pas voir en eux que les gens à problèmes, un grand nombre sont courageux capables de faire de doubles journées de travail à des salaires défiant toute concurrence, sans oublier que certains ont du bagage intellectuel, (certains ont des diplômes d’ingénieur et viennent faire les saisonniers dans l’agriculture).
Pour tous ceux qui ont un trop faible niveau qui les empêchera de s’adapter rapidement à des changements brutaux ce sera la galère.
Il est temps de percer la bubulle obligataire.
Cela c’est la poche des eaux qui est percée et qui mène droit à la (re)naissance.
Poussez le raisonnement Mr Gave SVP.
Pour les actionnaires des diligences, ils n’ont cas sortir et investir dans le rail. Pour les ouvriers qui les fabriquent et sont au SMIC et n’ont pas eu les moyens d’épargner, ils prennent cette transformation en pleine poire et n’ont pas les ressources pour faire preuve de résilience et pouvoir s’adapter à ces transformations.
Le vrai problème n’est pas tant la transformation, mais la précarité extrême pour une grande majorité de la population. Des études ont été faites à ce sujet, lorsqu’un individu est dans un état de stress vital, il n’est pas en mesure de faire fonctionner son néo-cortex correctement, c’est son reptilien qui est constamment stimulé, donc, exit les facultés intellectuelles… Ne serait-ce que cet aspect du problème, il va donc être compliquer de potasser de la documentation technique…
Pour d’autres, plus nantis, la crainte de la transformation sera pour eux, la peur de perdre une rente et/où une hégémonie. Comme ces 60 dernières années, où les lobbies du pétrole et ceux du pétrodollars nuisaient constamment à des ingénieurs créateurs d’innovations faisant baisser significativement la consommation d’essence.