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samedi 19 avril 2025 - 11:01

Thami kabbaj: « Les prix de l’immobilier vont-ils s’effondrer ? »

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Thami Kabbaj: « J’ai reçu une question d’un abonné. Avec la montée en puissance de la nouvelle technologie, notamment les imprimantes 3D, est-ce que les prix de l’immobilier vont connaître une chute vertigineuse dans les prochaines années. Est-ce que c’est le bon moment pour investir dans l’immobilier? Est-ce encore rentable de s’intéresser à ce domaine. »

Greyerz: Les prix dans l’immobilier vont s’effondrer de 75% voire jusqu’à 90% d’ici quelques années Ce qui pourrait provoquer un krach immobilier… Avec Alexandre Mirlicourtois

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A l’intention des lecteurs du site BusinessBourse

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11 Commentaires

  1. C’est exact que la crise est finie.
    Le plein emploi pour les gens de BONNE VOLONTÉ… et pour les futurs jeunes esclaves rentables (les enfants des nantis, ceux qui ont fait mai 68 et qui ont bouffé comme des porcs).
    La misère pour les nantis orgueilleux et paresseux.
    En fait, tout dépend dans quel camp on se situe.
    Certain(e)s vivent la crise depuis plus de 40 ans alors que la croissance économique fut ô combien florissante pour la majorité.

  2. Avec la fin de l’extraction du pétrole, les grosses cylindrées c’est MORT aussi :silly:
    Avec la fin de l’industrie, les actions et les obligations cotées en bourse c’est MORT aussi.
    Et essayez de sortir massivement, avec les cours tirés artificiellement vers des sommets vous n’y parviendriez même pas.

    • Exact si l’on ne vous prend pas au pied de la lettre. Tout n’est pas « mort » ni ne s’arrêtera demain, mais la mécanique est bien celle que vous décrivez.
      Pour capter les flux d’argents, notamment les biens sous quelques formes qu’ils soient, du petit peuple (dont certains vont découvrir qu’ils en font partie !), les solutions sont multiples, notamment : baisse artificielle des cours ou maintient élevés des cours, c’est selon les besoins et le but visé…

  3. A la question posée, absolument personne ne saurait répondre.
    L’immobilier est victime de son succès et pas de l’inverse, dès lors, hors de question de laisser le quidam moyen profiter de la manne.
    Dans un premier temps on diabolise les propriétaires, les libéraux ou prétendus tels (ceux qui pensent, mal en plus, comme des classeurs Excel), ânonnent que les « vieux » seraient privilégiés et qu’ils placeraient l’argent dans la pierre. Pourtant, au même titre que n’importe quelle épargne, ce type de placement n’est qu’un ressort qui se tend et se détendra brutalement au jour de la vente qui est inéluctable. L’argent ainsi libéré alimentera divers circuits, voir même se réinvestira dans la pierre. Au passage, l’état se sucre largement en prélevant des taxes diverses et variées.
    Dans un autre temps, et concomitamment, des instances financières ramassent tout ce qu’elles peuvent ramasser. Nous en sommes au point de bascule, l’immobilier d’investissement n’intéresse plus le citoyen lambda car tout est mis en oeuvre pour le décourager à investir dans ce secteur. Des normes locatives aberrantes en passant par la quasi interdiction de louer son bien via des plateformes telles que AIRBNB, sans oublier les annonces gouvernementales au sujet des prélèvements à venir, les gens anticipent et ne font plus de la pierre le placement privilégié.
    La question véritable est : « ou est la surprise ? ».
    Quant à l’immobilier comme résidence principale, il souffre des mêmes aberrations précités mais à cela se rajoute le fait que les jeunes générations entrent dans la vie active beaucoup plus tardivement, leurs revenus diminuent régulièrement (un master 2 paye autant qu’un poste de garçon de café…) et qu’en plus ils entendent depuis qu’ils sont nés que pour réussir ils leur faut être mobile.
    Eu égard à ce qui précède, on repose la question : « ou est la surprise ? ».
    Dans une société financiarisée à outrance et dont le phénomène s’accélère chaque jour, la propriété, celle qui pourtant définie la liberté, est ainsi battue en brèche. Elle disparaît progressivement et à l’instar de milliers d’autres produits, est remplacée par un système locatif qui… alimente les circuits financiers.
    Tout y passe : les automobiles dont les achats sont des crédits bail tout inclus, les smartphones avec la fidélisation par point qui en font des objets loués, les logiciels dont la plupart sont maintenant proposés à la location, etc.
    Ce qu’il faut observer, avant d’investir dans la pierre, ce ne sont pas les prix de l’immobilier qui ont toujours été fluctuants, mais les mesures qui s’imposent à ce secteur… et celles qui arrivent sont particulièrement confiscatoires. Rien de plus normal et logique puisque les états se sont rendus dépendants des marchés financiers, et sont engagés dans une fuite en avant de la cession de leurs actifs. Il y a ce qui se voit : la SNCF au seul exemple, et ce qui est moins visible : les règles et lois circonstancielles qui sont adoptées, chaque jour, sous la pression de lobbys financiers.

  4. Dans l’immobilier aujourd’hui, les offres dépassent la demande, ce qui a pour tendance de tirer les prix vers le bas, de manière considérable. Dans certaines régions c’est plus frappant que d’autres.
    A mon avis les prix devraient encore chuter.

  5. L’investissement immobilier est loin d’être simple.

    L’un des seuils de résistance à la baisse des prix de l’immobilier est selon moi la valeur locative du bien. Déterminer la valeur locative d’un bien (même s’il n’est pas destiné à la location), est un outil d’estimation fiable selon moi. Cette valeur est la valeur plancher qui ne sera que peu franchie à la baisse, même en cas de crise. Crise veut dire moins de boulot, mais ne veut pas dire forcément moins de personnes recherchant à se loger… Boulot ou pas, il te faut un logement. Sauf à voir le bassin d’emplois local fondre comme neige au soleil (ce qui peut arriver dans certaines localités ou régions en cas d’accident industriel ou de catastrophe naturelle etc.).

    Pour déterminer cette valeur locative, il suffit de fixer le seuil de rentabilité… celui que l’investisseur est en droit d’attendre vu toutes les emmerdes à gérer dans le cadre d’un investissement locatif. En ce qui me concerne il est de 5% net de charges lorsque le bien est acheté sans emprunt (mais c’est anecdotique dans mon explication).

    Le coût de la construction en est un autre aussi : un bien ne pourra pas être vendu en deçà de la somme d’argent qu’il faudrait réunir pour le construire de nouveau. Cela paraît évident.

    Il existerait un autre seuil de résistance (à la hausse), du moins il est toujours présenté comme tel, mais auquel on croit moins, c’est le pouvoir d’achat d’un ménage face à l’achat immobilier. On y croit moins, car la baisse des taux, l’allongement considérable de la durée de l’emprunt etc. ont permis que ce seuil n’en soit finalement pas un, il a jamais cesser d’être enfoncé.

    Donc non l’immobilier ne va pas s’effondrer comme une m… évidement si l’on est dans une bulle et largement au delà de la valeur locative, au delà de la valeur à la construction, le prix va dégonfler en direction de ces seuils. Il restera par ailleurs toujours une prime sur les biens d’exception, comme cette prime existe sur les pièces d’or…

    Pour que le prix de l’immobilier s’effondre véritablement (et encore) il faudrait une rupture technologique… un procédé permettant de fabriquer des logements de (très) haute qualité à des prix faibles. Cela fait partie du futur.

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