La capitalisation boursière mondiale a repris 1150 milliards $ cette semaine mais reste toujours coincée sous son support oblique récemment cassé à la baisse. Cette hausse est complètement absurde car parallèlement, Donald Trump a sorti le bazooka face à la Chine en matière de guerre commerciale, a eu un coup de sang au sommet de l’OTAN et a jeté un pavé dans le Brexit.
Jim Rogers: « Nous sommes à la veille du pire krach boursier qu’on n’ait jamais connu » Egon Von Greyerz: « Croyez moi si vous le voulez, mais un krach gigantesque est imminent. »
Source: Holger Zschaepitz
A l’intention des lecteurs du site BusinessBourse
Nous sommes à la veille d’un tournant majeur dans l’économie mondiale. Pour les très rares personnes qui ont des actifs à protéger, le moment est venu de sortir des bulles d’actifs, comme je le recommande depuis longtemps. Il est également temps de détenir de l’or et de l’argent physique comme assurance pour son patrimoine. Les métaux précieux atteindront des niveaux sans précédents, voire non envisageables aujourd’hui avec l’hyperinflation.
Pour ceux qui pensent avoir peu de moyens, rappelez-vous que vous pourriez acheter 1 gramme d’or par mois, ou plus, ce qui coûte aujourd’hui 43 $. Au fil du temps, cela vous permettra d’accumuler un important pécule.
Goldbroker propose une solution simple et sûre pour acheter de l’or physique et parer à la crise
GoldBroker, pour un stockage sécurisé en nom propre hors du système bancaire de vos métaux précieux.
Ca s’appelle un « pull back » en cas de retournement durable. Juste pour ne pas oublier les retardata… https://t.co/vTW6J77v6A
Pas si absurde si on se dit que tout ceci n’est que du spectacle pour aveugles.
Derrière les taxes, y’a une formidable opportunité, comme l’a souligné béchade, pour la Chine et les US, de booster leurs exportations avant et peu être même pendant ces sanctions douanières, la peur de lendemains pires qu’aujourd’hui poussera les achats à la hausse pour créer des stocks de réserve.
Ceux qui au final souffrirons réellement de tout ça, c’est nous, les Européens, mais n’était-ce pas le but enfin de compte ?