Ce n’est pas juste un problème allemand et de diesel gate, c’est un problème général de mutation d’un modèle économique vers un autre.La voiture est carbonée et elle doit se décarboner ce qui est globalement impossible en offrant le même service et le même niveau de performance.La liste des absents de l’édition 2019 fait frémir… Renault-Nissan-Mitsubishi, Toyota et l’américain General Motors (GM) ainsi que le groupe Fiat-Chrysler (+ Alfa Romeo et Jeep) sans oublier PSA, qui n’exposera ni Peugeot, ni Citroën ni DS mais uniquement sa marque allemande Opel.
Même les marques de luxe ne seront pas présentes au Salon allemand de l’auto puisque Aston Martin, Ferrari, Maserati, Bentley, Rolls-Royce, Tesla, Volvo, Suzuki, Mazda ne seront pas là non plus…Je pense que Lada devrait exposer !!! Je suis taquin…Cela montre les énormes difficultés des constructeurs automobiles à qui l’on demande une impossible et improbable mutation. Ce n’est plus un salon international mais une foire municipale.Personne ne veut de la voiture électrique qui s’avérera probablement un four technologique, un bide commercial et un terrible échec environnemental, mais les gouvernements demandent d’y aller en chantant la fleur au fusil.Charles SANNAT
Source: insolentiae – Voir les précédentes interventions de Charles Sannat
Les salons coûtent cher alors qu’une consultation sur internet est commercialement plus économique et performante. Rien d’autre à en dire.
Peu importe les gouvernements et les écolos, ce n’est pas demain qu’on abandonnera le carbone comme énergie principale.
Pour les amateurs, la voiture qui est sur la photo doit être une Borgward Hansa 1500 de 1950… La première voiture entièrement nouvelle construite après-guerre en Allemagne. Celle-ci est immatriculée au Brésil… Il y a eu une usine Borgward au Mexique mais il me semble que c’était un peu plus tard, vers la fin des années 50. Celle-ci est donc vraisemblablement importée d’Allemagne.
Ce ne sont pas les solutions qui manques pour « décarboner » les moteurs thermiques:
– émulsions eau-carburant (20% d’ eau) ;
– moteur quasiturbine (excellent rendement) ;
– moteurs thermiques type Shmueli (70% eau 30% alcool).
De très nombreux brevets existent sur les émulsions eau-carburant, notamment celui de l’ industriel Volvo, avec un injecteur eau en direct dans chaque cylindre (20% sans pertes des caractéristiques moteur).
Réduire le CO² de 20% ? Facile !
Permettez-moi en guise de réponse, de vous donner quelques liens d’ Espacenet (Office Européen des Brevets) relativement aux inventions de mon précédent commentaires:
– celui des frères Shmueli (70% eau et 30% alcool) ;
– celui de la société AB Volvo SE (20% eau injectée) ;
– celui de Boamfa Eugen d’ un moteur thermique eau-coke ;
– enfin, la trouvaille de John Kanzius, avec l’ eau de mer qui brûle avec une fréquence radio de 15,56MHz (celle industrielle employée pour les puces RFID).
Est-ce que l’on nous tromperait! encore un complotiste…. Plus sérieusement l’injection d’eau est autorisé en France uniquement pour les agriculteurs……
Oui mais on utiliserait moins de pétrole, faut pas que ça flingue notre économie basé sur l’extraction des matières premières et tout le cash que ça engendre.
Ça fait 40 ans que les constructeurs nous vendent très cher de la technologie antipollution alors que dès les années 60, certaines motorisations avaient déjà atteint un niveau de rendement très satisfaisant, sans aucune électronique embarquée… Ma Norton 650 ss de 1960 marche toujours le feu de Dieu pour 3,5 litres à 4 litres/100 en duo… Ma Merco 300D de 1978 est sur les routes depuis 41 ans et n’a jamais eu de grosses réparations…, juste l’entretient normal, les pièces d’usure… Je ne suis pas certain que les 9 litres de gazole/100 qu’elle a consommés aient davantage pollué que la construction et l’entretient de toutes les voitures soit disant ”propres” qu’il aurait fallu pour la remplacer…
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Trop de gens ont profité de ce commerce frauduleux et de la mode très rentable de l’obsolescence programmée… Maintenant que l’on prend doucement conscience de la finitude des ressources, on peut comprendre que tout ce beau monde – qui c’est gavé sur notre crédulité – se retrouve dans l’impossibilité de continuer ainsi mais également, dans l’impossibilite de fournir des véhicules individuels performants, simples et durables.
La voiture individuelle réparable et modernisable à l’infini pourrait exister depuis très longtemps si l’automobile avait été considérée autrement que comme une vache à lait par les acteurs de la filière et si tout le monde n’avait pas succombé au consumérisme addictif…
Bien fait !!!
Ces cons d’ecolo ont un message fort