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dimanche 20 avril 2025 - 19:16

L’échec de l’Etat-providence: le cas de l’Argentine et du Brésil

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Le débat est-il clos sur l’efficacité de l’Etat-providence ? Retour sur le cas de deux pays qui l’ont appliqué de longue date…

L’idée d’une « troisième voie » en matière de politique économique a toujours fasciné les politiciens, les intellectuels, les artistes et les électeurs du monde entier. L’Etat-providence s’est rapidement propagé au cours des dernières décennies en surfant sur cette vague.

Certains affirment même que les pays d’Europe du nord représentent la preuve irréfutable qu’il est possible d’établir une société à la fois prospère et égalitaire par le biais de l’intervention de l’Etat, en associant un système économique reposant sur le marché libre avec de forts taux d’imposition afin de garantir un niveau de vie élevé tout en réduisant les inégalités.

Le débat est-il véritablement clos sur ce sujet ?

Eh bien, la situation dans la plupart des pays d’Amérique latine nous enseigne une leçon différente ; c’est une histoire plutôt triste dans laquelle l’Etat-providence est à l’origine d’un affaiblissement structurel et durable de l’économie (avec des cycles apparemment sans fin de récessions et de stagflation), maintenant des millions d’individus dans la pauvreté.

Un bilan médiocre  

On nous martèle dans les pays occidentaux que la réduction de la pauvreté et des inégalités sociales implique un élargissement du rôle de l’Etat dans l’économie au travers du développement des services publics et de programmes de grands travaux.

En Amérique latine, ce mode de pensée a complètement submergé ses opposants.

D’après les recherches universitaires, depuis le début des années 1970, l’Etat-Providence s’est rependu à travers les pays d’Amérique latine sous deux formes différentes : 1) un système public et universel de couverture sociale, dans lequel l’Etat garantit des droits sociaux étendus à toute la population (de façon similaire au modèle des pays d’Europe du Nord)…

… Et 2) un système mixte qui permet aux plus pauvres d’être pris en charge par le secteur public (par exemple sous la forme de soins médicaux et d’un minimum vieillesse) alors que les individus disposant de revenus plus élevés sont encouragés par les politiques publiques à se tourner vers le secteur privé (de façon similaire au modèle allemand).

Quels ont été les résultats ?

Il est difficile de dire du bien de la performance de ces pays en termes de croissance économique. Le PIB par habitant des pays d’Amérique latine n’a progressé que modestement entre 1950 et 2006. Par comparaison, au cours de la même période, le PIB par habitant en Asie de l’est et au niveau mondial a explosé.

En d’autres termes, plus particulièrement (et curieusement) à partir du début des années 1970, l’Amérique latine a commencé à voir sa part relative dans les revenus mondiaux décliner de façon régulière (autrement dit, à sous-performer continuellement) par rapport aux autres économies (en moyenne). Vous pouvez le constater sur le graphique ci-dessous :

Dettes et dépenses, l’envol

D’autre part, nous pourrions également faire une série de constats (négatifs) au sujet du niveau des dépenses publiques dans ces pays, qui se sont envolés. Ce n’est pas très surprenant, étant donné que pour les partisans d’un Etat-providence étendu, la réponse à quasiment tous les problèmes imaginables (que ce soit la réduction de la pauvreté ou la relance de l’économie en cas de récession) réside dans l’augmentation des dépenses publiques.

Les dépenses ont sans aucun doute augmenté, ce qui s’est également accompagné d’un accroissement gigantesque de la dette pour les financer.

La dette publique du Brésil est passée de 30,6% du PIB en 1995 à 87,87% en 2018. L’Argentine et le Chili ont suivi la même trajectoire. En Argentine, la dette a explosé, passant de 25,74% du PIB en 1992 à 86,26% en 2018 (le maximum a été atteint en 2002, à 152,24%). Au Chili, alors que le ratio d’endettement ne s’établissait qu’à 11,08% en 2011, il a atteint 27,16% en 2019.

Cette politique a-t-elle fonctionné ? Les dépenses publiques ont-elles permis de stimuler la croissance de ces économies ? Certainement pas.

Dans de nombreux cas, le seul résultat n’aura été que de provoquer de nouvelles crises.

Brésil, Argentine, même combat (de crise)

Après avoir réussi à stabiliser pendant un certain temps son économie (au cours du milieu des années 1990) en suivant les mesures recommandées par le Consensus de Washington, le Brésil a subi de violentes secousses économiques dans les années 2000 et a plongé dans une sévère récession en 2015, avec une contraction du PIB de 3,8%. Il s’agissait de la pire récession depuis 1990.

Le réal brésilien (la devise nationale) a souffert d’une dévaluation massive. Le taux de change du réal face au dollar américain est passé de 1 829 en 2000 à 3 327 en 2015. L’inflation, qui s’établissait à seulement 1,65% en 1998, a atteint 10,67% en 2015.

Brésil: la fin du miracle économique Sylvain Pablo Rotelli: “L’Argentine est à deux doigts du défaut du paiement !”

La situation n’était pas très différente en Argentine : le taux de croissance du PIB (qui s’établissait à 6% en 2011) a subi des hauts et des bas, avant de s’effondrer avec une contraction du PIB de 2,51% en 2018. (Même le Chili a dû faire face à un ralentissement, avec une croissance du PIB de seulement 1,25% en 2017, contre 6,11% en 2011.)

Mais alors pourquoi les politiciens continuent de se tourner vers l’Etat-providence – et donc plus de dépenses publiques – comme s’il s’agissait de la solution aux difficultés économiques de l’Amérique latine ?

Tout simplement parce que les partisans de l’Etat-providence sont parvenus avec beaucoup de succès à faire porter la responsabilité de ces difficultés sur les marchés, ainsi que d’autres raisons imaginaires.

L’importance de la liberté économique

Lorsqu’on les confronte à la réalité de la faiblesse de la croissance économique constatée sous un système d’Etat-providence de plus en plus étendu, les politiciens répondent généralement que « de telles statistiques ne prouvent absolument rien ! Les marchés sont encore pires… le véritable problème réside dans l’impérialisme nord-américain… les capitalistes trouvent toujours un moyen d’exploiter les travailleurs… » et ainsi de suite.

Cependant, en réalité, le maigre succès rencontré par ces pays s’explique par le peu de liberté économique qui existe.

Après tout, comme nous le rappel l’historien et sociologue Rainer Zitelmann, la faim et la pauvreté ne peuvent pas être durablement éradiquées par le biais de l’assistanat, mais par l’entrepreneuriat et le capitalisme. Il cite à ce sujet l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade, qui a déclaré :

« Les pays qui sont parvenus à se développer – en Europe, en Amérique (les Etats-Unis), au Japon, différents pays asiatiques tels que Taïwan, la Corée (du Sud) ou encore Singapour – ont absolument tous adopté une économie de marché libre. Il n’y a aucun secret en la matière. »

Si l’Amérique latine veut à tout prix un Etat-providence, elle devra d’abord permettre l’émergence d’une économie de marché solide, comme cela fut le cas dans les autres parties du monde qui, hélas, ont aujourd’hui oublié la véritable origine de leur prospérité et voient en l’Etat-providence la raison de leur succès.

Pour plus d’informations et de conseils de ce genre, c’est ici et c’est gratuit


Article traduit avec l’autorisation du Mises Institute. Original en anglais ici.

JEAN VILBERT

Jean Vilbert est diplômé d’une licence ainsi que d’un master de droit. Il occupe actuellement les fonctions de professeur et juge dans la ville de São Paulo, au Brésil.


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17 Commentaires

  1. « Depuis 2013, le montant des avoirs détenus dans les paradis fiscaux a continué de croître au même rythme que le patrimoine financier mondial.
    Il atteint désormais les 7.900.000.000.000 € (7900 Md€)
    40 % des profits des sociétés multinationales sont enregistrés dans des paradis fiscaux dont certains intra U€ (notamment l’Irlande et le Luxembourg), soit une base taxable de 600.000.000.000 $ (600 Md$).
    Enfin les avoirs des seuls ménages français dans les paradis fiscaux s’élèvent à quelque 300.000.000.000 € (300 Md€), soit environ 15% du PIB de la France. »
    (La richesse cachée des nations – Gabriel Zucman)

    Alors moi je veux bien qu’on parle du socialisme et de l’État providence comme d’une calamité économique, mais il faudrait quand même garder à l’esprit et en toute impartialité les sommes citées plus haut qui elles, sont une calamité sociale du néolibéralisme effréné.

  2. Très tendance ce genre de discours, l’Etat providence est en train de disparaître qu’on le veuille ou non.
    Réformes réformes ne sont rien d’autres que des régressions sociales.
    On peut réformer jusqu’au ciel, rien ne pourra sauver ce système.
    La réalité de la crise structurelle fait qu’on a de moins en moins de moyens.
    On peut supprimer, immigration et tout ce qu’on veut il n’y en aura pas plus à la sortie, c’est comme le chômage au début ça touchait les sans qualification, puis ça a fini par toucher tout le monde.
    Le capitalisme est dans une impasse, La base de la crise provient surtout parce qu’il détruit sa marchandise sur laquelle repose toute la structure, LE TRAVAIL HUMAIN, remplacé par la robotique.
    Ensuite il faudra vivre la violence sociale.
    Tout ce qu’a pu concéder le capitalisme au travers de la structure Etatique, n’a pu se faire qu’en phase de croissance et de création de richesse.
    aujourd’hui la réalité de la croissance se fait sur le fictif, quand on voit des sociétés racheter leurs propres actions,les stocks qui s’amoncellent, des sociétés de transports quasiment au bord de la faillite, des banques en difficultés, le reste suit, nul besoin d’un surdiplômé pour le comprendre, tout cela tombe sous le sens.
    Si tout ce monde est allé vers la spéculation, c’est que le mouvement réel de la structure les a obligés.
    Je suis personnellement très pessimiste, j’aimerais bien voir le bout du tunnel.

    • On avait atteint un point d’équilibre, avec le Taylorisme ou Fordisme, le plein emploi, les salaires élevés.
      Cette fenêtre s’est refermée (30 glorieuses).
      La concurrence et ce qui lui est subséquent l’innovation technologique éjecte une masse croissante de travailleurs du système, même le travailleur sous-payé est encore trop cher, de là débute nos déboires économiques.

  3. L’echec de l’etat -providence, c’est la republique francaise le meilleur exemple. La France a semble-t-il 10 millions d’habitants en plus si on compte les affiliés a la secu.
    Dans les dom-tom de merde de la republique francaise, la motié de la population vit d’allocs et de la CAF
    De plus il existe certaines populations pour diverses raisons (culturelles entre autres) qui seront toujours incapables de se prendre en charge et la culture de l’excuse doit cesser.

  4. Il ne faut pas oublier que nous sommes passés sur ce sous-continent de gouvernements militaires à la botte de Washington à une société civile démocratique et de progrès social.

    En Amérique du sud régnait une injustice (A tous les niveaux) inacceptable que certains gouvernements élus ont tentés de réduire ces dernières années. La plus voyante se situait au Brésil…

    Je suis d’accord que le marché crée l’opulence ; il en est le moteur ! Mais il faut impérativement lubrifier la machine avec une politique redistributive qui évite une telle pauvreté de la grande majorité due à la mauvaise répartition des richesses…

    On ne demande pas à un état providence d’être en premier lieu efficace, mais régulateur…

    Je pense que les échecs économiques viennent principalement de la gestion du pouvoir politique qui ne vit que de mauvaise administration des affaires publiques et de corruption, et non d’une idéologie…
    Il faut rajouter à cela l’autoritarisme inefficace des élus et un manque de maturité certain qui pousse à prendre des décisions électoralistes ciblées pour demain et non intelligentes et de bien commun pour après-demain.

    Le Général Pinochet a sorti son pays du sous-développement (Un tigre d’Amérique Latine) tandis que toute cette bande de Salauds au pouvoir au Venezuela ont fait retourner le leur pays à l’âge de pierre… C’est un constat ! (Je laisserai aux doux rêveurs le conte de fée Allende politiquement correct qui est beaucoup plus compliquée depuis Santiago que Paris !!!)

    S’approcher des faits, c’est souvent s’éloigner des interprétations glorifiantes. Et c’est valable pour tout !

    Que dire de la famille Castro qui se croit propriétaire de Cuba avec le petit fils jet-setteur qui s’affiche en compagnie de certains membres de la famille de Rod Stewart pendant que dans son pays, le salaire ouvrier moyen est l’équivalent de 20 dollars US dans un environnement de totale pénurie !!!…
    Cuba si, nous chantait le confortablement installé Jean Ferrat devant une Isabelle Aubret béate de bêtise.

    Le grand défi de l’Amérique latine dans les prochaines décennies : Installation de vrais démocraties participatives (Et non populistes) efficaces qui éloigneront définitivement de cette tentation d’abuser du pouvoir en permanence.

    Je terminerai en soulignant que le Pérou devient un exemple en matière de rébellion civile, en faisant régulièrement le ménage dans la porcherie que constitue cette caste de décideurs incapables et malhonnêtes : Un ex-président qui se suicide pendant que d’autres sont emprisonnés….

    Saludos

    • Bigmac29

      Quelques idées intéressantes dans ton analyse mais une idée stupide á laquelle tu t accroches mordicus quand tu repettes que la comprehension d un systeme ne vaut que si on vit dans le pays…
      ton analyse est partagée par 100% des venezueliens vivant sur place ?

      quand je vois le nombre de conneries que les français vivant en france peuvent dire sur ce qui se trame en coulisse dans leur pays ça en dit long sur la pertinence de ton argument

      • « – Quand je vois le nombre de conneries que les français vivant en France peuvent dire sur ce qui se trame en coulisse dans leur pays ça en dit long sur la pertinence de ton argument ». Tu parles à un convaincu !!!

        Ce que tu affirmes tient debout…

        Pas 100 % des Vénézuéliens, mais plus de 80 %. C’est déjà un nombre considérable !

        Je ne dis pas que seuls les gens qui vivent sur place peuvent se faire une idée. Je souligne simplement que l’éloignement et les tendances politiques laissent trop de place à l’interprétation….

        Vivre, ressentir les choses me semble important.

        Merci pour cet échange Laurent. 😉

        Saludos

        • Ta réponse se tient á peu pres
          Apres crois moi, j ai bossé pour me faire une idée du Venezuela au dela de mes convictions
          c est pourquoi je n ai jamais exonere les responsabilité
          de la révolution bolivarienne ( un pays qui importe 80% de ses produits de première nécessite a merdé qq part ) méme si il y de bonnes choses qui ont été faites.
          Apres..la ou nous resterons en grand désaccord , c est ta minimisation du role des USA dans cette histoire
          Je le répéte mais aucun dirigeant , si mauvais qu il soit ne peut conduire son pays á une telle misére… en si peu de temps ..il y a forcement des forces obscures derrière et je t ai donné , pour cela . la liste des actions datées , qui ont été faites par les USA pour étrangler le pays

          • Bien sûr que les USA passent le plus clair de leur temps à nous savonner la planche !!! Tu as raison… Et cela nous affecte maintenant vertigineusement !

            Le Venezuela riche en matières premières est l’épicentre d’un combat mondial de titans ! Et aucune des 2 parties n’est là pour les droits de l’homme !

            La situation est plus que complexe…

            Tu crois sincèrement que Chavez à un moment donné était si ennemi des USA que cela lorsque la majorité du pétrole partait là-bas, et que de hauts fonctionnaires d’état faisaient le bonheur de l’immobilier Floridien (Et des magasins de produits de luxe en même temps) ?!!!

            Il faut être réaliste, pas idéaliste !!! Les médias ne t’offrent que des combats de boxe à la Mickey Rourke !

            Par ailleurs, les Américains ne sont pas responsables de tous les maux !!! Ils sont d’ailleurs de moins en moins écoutés, influents et suivis car pas crédibles…

            Les Chinois sont quant à eux souvent de véritables enfoirés, et les Russes des gens sournois, froids et calculateurs.

            Voilà le panorama.

            Je souhaite pour ici une troisième voie qui pour l’instant ne se dessine pas entre un Maduro grotesque car tristement risible, et un Guaidó aux ordres qui voudra tout privatiser (Un Macron à la sauce latine !) …

            Permets-moi donc de ne pas m’enfermer…

            Saludos 😉

    • Bigmac29 ,Idiot ,le venezuela actuel est sous embargo. Comment peux tu courir si on t attache les pieds? Supprimons l embargo ensuite on comparera le venezuela et la colombie qui elle est libre de tout exporter meme les friandises. Lol

      • Salut Africanus,

        « -Bigmac29, idiot, le Venezuela actuel est sous embargo. » Purée, je ne le savais pas ! Merci pour l’info.

        Je suis déjà intervenu à propos de l’embargo Américain qui n’est pas la cause directe de nos problèmes, mais nous enfonce un peu plus !

        Le début des embêtements, ce fut la baisse du prix du barril pétrole qui a asséché la manne distributive (95 % des recettes de l’état), clef de voûte de la politique d’assistanat du Chavisme avec les nationalisations sans queue ni tête !

        Depuis des années, nous avons vécu le lent accaparement du pouvoir par le socialisme bolivarien à tous les étages : Armée, justice, système électoral, distribution de postes dans l’administration etc… La capacité d’une personne ne sera plus le critère d’embauche principal, mais plutôt son degré de soumission au régime… Du béton pour avancer !!!

        L’armée est véritablement au pouvoir, pas ce rigolo de kermesse pétochard de Maduro .

        Une feuille ne peut pas tomber d’un arbre sans que cette bande de narco-communistes ne le sache.

        Diosdado Cabello : Retiens bien ce nom.

        Répression des opposants, victimisation pour masquer sa nullité crasse, propagande insupportable à tous les étages qui rendrait jaloux le très sinistre et insupportable Goebbels, système électrique totalement obsolète aux investissements inexistants ou fait en dépit du bon sens ! Mais ça ne fait rien, c’est de la faute à Goldorak et Pompeo !

        Et que dire de la fuite des cerveaux qui ne veulent plus être payés en torche-cul ?!! Mon voisin est justement ingénieur électrique : Et bien direction la Colombie chère à ton anus tout comme l’Afrique…

        On ne produit plus rien, tout le monde fout le camp, les gens se meurent dans les hôpitaux, le Venezuela n’a jamais été aussi endetté, et tu me traites d’idiot affalé dans ton canapé pendant qu’ici on fait mumuse avec la collectivisation de l’agriculture qui n’arrive plus à nourrir personne !!!

        Tu connaissais le Venezuela d’avant Chavez : Il n’était pas parfait, loin s’en faut, mais les Américains du Sud immigraient dans ce pays par millions sans compter les syriens et les libanais !!!

        Les Chinois, notre premier partenaire économique surpuissant et qui détruit toute la nature dans l’indifférence totale pour se rembourser ; pourquoi ne nous aide-t-il pas plus ?!!! Les Américains, on pourrait s’en passer en fin de compte !

        Economique les Chinois, et défense les Russes ! Et bye les yankees…

        Tu vois, les choses sont compliquées…

        Je t’ai suffisamment consacré de temps, car tu ne débats pas mais insulte.

        Saludos

      • J’oubliais :

        « -Supprimons l’embargo ensuite on comparera le Venezuela et la Colombie qui elle est libre de tout exporter même les friandises. Lol ».

        Il fallait oser cette remarque. Bravo ! 😮

        Une question : Tu étais, je l’espère, d’humeur joyeuse hier soir après avoir ouvert un paquet de bonbons ; et tu voulais donc faire un peu l’humour ? 🙂 😕

        Saludos

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