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lundi 21 avril 2025 - 09:31

Nous devons admettre que l’euro était une erreur ! La déclaration fracassante du gouverneur de la banque centrale hongroise !! L’édito de Charles Sannat

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Je vais, avant de laisser la parole à ce gouverneur de banque centrale qui s’est fendu d’une tribune officielle dans le Financial Times, partager avec vous quelques considérations importantes.

Le monde compte 197 pays.

L’Union Européenne compte 28 pays. Sur ces 28, seulement 19 sont membres de la zone euro.

Enfin il existe à ce jour 180 devises.

L’euro n’est pas la règle.

L’euro est une exception.

L’euro est une construction politique.

Pire. L’euro est volontairement conçu comme une prison politique

L’euro n’est pas et n’a jamais été une construction économique, mais une volonté politique d’emprisonnement mutuel par deux hommes. Helmut Kohl et François Mitterrand.

Ayant désormais quelques cheveux gris, outrage du temps et années qui passent, je peux dire que je me souviens de cette époque. Je me souviens de la chute du Mur de Berlin et de la réunification allemande.

Je me souviens également de la peur profonde, viscérale du président de la République de l’époque François Mitterrand, homme de la Seconde guerre mondiale à l’image de l’ambiguïté de cette époque et de notre pays, décoré de la francisque pétainiste, mais également résistant, ami de résistants, comme de collabo à l’Allemagne nazi.

L’euro est la réponse de Mitterrand à la réunification allemande par la création d’une unité de destin économique. L’euro dans l’esprit de Mitterrand est une corde qui attachera l’Allemagne à la France et qui empêchera l’Allemagne de penser seule sa toute-puissance. Mieux, si la France chute, alors l’Allemagne chutera aussi. Tel est le prix d’une cordée que l’on ne peut couper. Si l’un tombe, tous meurent.

Pour le chancelier allemand Helmut Kohl, l’euro est le prix à payer pour se réunifier facilement et avec l’accord de tous ce qui facilitera sa tâche. L’Euro sera aussi géré à l’allemande, et finalement le pari de Kohl sera de faire confiance à son industrie. L’euro sera allemand, taillé pour l’Allemagne, et servira l’Allemagne.

Qui a gagné ?

Qui avait raison. Le président français ? Le Chancelier allemand ?

Avec le recul, avec le temps les choses apparaissent plus clairement.

A mon sens, les deux ont eu raison, mais à des moments différents.

L’allemand Kohl avait raison dans un premier temps. L’euro serait une arme monétaire de domination massive de l’Allemagne sur le reste de l’Europe. C’est ce qui s’est passé globalement depuis 20 ans.

Mais Mitterrand avait raison pour la fin de partie. Quand l’Allemagne aura « abusé » de sa puissance, ce qu’elle a fait, cela conduira à faire chuter l’ensemble de la cordée et de la zone euro. Aujourd’hui, les dettes à l’égard de l’Allemagne dans le système de compensation commercial et monétaire européen appelé TARGET, est de 1 000 milliards d’euros en faveur de l’Allemagne. 1 000 milliards qui ne seront jamais payés.

Pour résumer, nous avons tous roulés en BMW et en Audi pendant 20 ans, et nous ne paieront pas les bagnoles à son fabricant allemand !

L’euro ne peut pas être viable économiquement, car il n’ a jamais été conçu ni pensé pour l’être ! Il devait être juste une prison. Mais les mauvaises intentions font rarement les belles réalisations et nous arrivons au bout de la fiction imaginaire de l’union monétaire. Aujourd’hui c’est Gyorgy Matolcsy, gouverneur de la Banque Centrale de Hongrie, qui met violemment les pieds dans le plat. Il a raison. Son analyse est juste.

Si l’euro n’est pas responsable de tous nos maux, l’euro empêche les ajustements et l’utilisation de marges de manœuvre pour les pays européens les plus en difficulté. Laissons la parole à Gyorgy Matolcsy gouverneur de la banque centrale hongroise qui appelle à un mécanisme de sortie

Nous devons admettre que l’euro était une erreur

« La plupart des pays de la zone euro s’en sont mieux sortis avant l’introduction de l’euro qu’ils ne l’avaient prévu

Le moment est venu de chercher une issue au piège de l’euro. Il existe un dogme néfaste selon lequel l’euro était la prochaine étape « normale » vers l’unification de l’Europe occidentale. Mais la monnaie européenne commune n’était pas du tout normale, car presque aucune des conditions préalables n’était remplie.

Deux décennies après le lancement de l’euro, la plupart des piliers nécessaires au succès d’une monnaie mondiale – un État commun, un budget couvrant au moins 15 à 20 % du produit intérieur brut total de la zone euro, un ministre des finances de la zone euro et un ministère chargé de ce poste – font toujours défaut.

Nous admettons rarement les véritables racines de la décision malavisée de créer la monnaie commune : c’était un piège français. Alors que l’Allemagne s’unifiait, François Mitterrand, alors président français, craignait la montée en puissance de l’Allemagne et croyait qu’il suffirait de convaincre le pays d’abandonner son deutschemark pour éviter une Europe allemande. Le chancelier de l’époque, Helmut Kohl, a cédé et a considéré l’euro comme le prix ultime pour une Allemagne unifiée.

Ils avaient tous les deux tort. Nous avons maintenant une Allemagne européenne, et non une Europe allemande, et l’euro n’a pas pu empêcher l’émergence d’une autre puissance allemande forte.

Mais les Allemands sont également tombés dans le piège de l’euro « trop beau pour être vrai ». L’intégration des économies du sud de l’Europe dans la zone euro a conduit à un taux de change suffisamment faible pour permettre aux Allemands de devenir la machine d’exportation mondiale la plus puissante de l’UE. Cette occasion inattendue les a rendus complaisants. Ils ont négligé de moderniser leur infrastructure ou d’investir suffisamment dans les industries futures. Ils ont raté la révolution numérique, ont mal calculé l’émergence de la Chine et n’ont pas réussi à créer des entreprises mondiales paneuropéennes. Dans le même temps, des entreprises comme Allianz, Deutsche Bank et Bayer ont lancé des efforts infructueux pour conquérir Wall Street et les Etats-Unis.

La plupart des pays de la zone euro s’en sont mieux sortis avant l’introduction de l’euro qu’ils ne l’ont fait avec. Selon l’analyse du Centre for European Policy, il y a eu peu de gagnants et beaucoup de perdants au cours des deux premières décennies de l’euro.

La monnaie commune n’était pas nécessaire pour les succès européens avant 1999 et la majorité des Etats membres de la zone euro n’en ont pas bénéficié par la suite. Lors de la crise financière de 2008 et de la crise économique de la zone euro de 2011-2012, la plupart des membres ont été durement touchés, ayant accumulé d’énormes dettes publiques. Il n’y a pas de repas gratuit et les prêts bon marché coûtent souvent beaucoup plus cher.

Alexandre Lamfalussy, l’économiste d’origine hongroise, a eu raison de nous dire qu’une monnaie commune était nécessaire pour renforcer le lien entre les puissances européennes et défendre l’UE contre les Soviets. Un seul hic : la décision finale de créer l’euro a été prise à Maastricht en 1992, lorsque l’Union soviétique s’est effondrée. La raison d’être de la monnaie a pris fin précisément au moment de sa naissance.

Le temps est venu de se réveiller de ce rêve néfaste et infructueux. Un bon point de départ serait de reconnaître que la monnaie unique est un piège pour pratiquement tous ses membres – pour différentes raisons – et non une mine d’or. Les États membres de l’UE, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la zone euro, devraient admettre que l’euro a été une erreur stratégique. L’objectif de construire une monnaie occidentale mondiale qui rivalise avec le dollar était un défi pour les États-Unis. La vision européenne des États-Unis d’Europe s’est traduite par une guerre américaine ouverte et cachée contre l’UE et la zone euro au cours des deux dernières décennies.

Nous devons trouver comment nous libérer de ce piège. Les Européens doivent renoncer à leurs fantasmes risqués de créer une puissance qui rivalise avec les Etats-Unis. Les membres de la zone euro devraient être autorisés à quitter la zone monétaire dans les décennies à venir et ceux qui restent devraient construire une monnaie mondiale plus durable. Célébrons le 30e anniversaire en 2022 du traité de Maastricht qui a donné naissance à l’euro en réécrivant le pacte ».

Gyorgy Matolcsy

L’Europe a été la paix, et sera la guerre si nous n’y prenons garde. 

Voilà qui est clair. N’oubliez jamais que dès le départ, l’euro n’a jamais été conçu pour fonctionner, mais pour emprisonner. Dans les faits, il fonctionne parfaitement bien et c’est une immense réussite puisque c’est une immense prison économique, sociale et politique.

Il ne faut pas sauver le soldat euro. Il faut l’achever. Il faut achever l’euro, avant qu’il ne tue les pays européens.

Nous ne pourrons affronter aucun de nos maux, économiques, sociaux, ethniques, politiques, religieux sans souveraineté et liberté de nous penser collectivement pour faire nation ensemble. Si nous ne pouvons penser la nation ensemble, alors nous nous affronterons exactement comme l’a prophétisé l’ancien ministre de l’intérieur Gérard Collomb en disant que si pour « le moment nous vivions côte à côte, nous pourrions rapidement vivre face à face ».

L’euro est un échec et menace la démocratie : il doit être aboli Jacques Sapir: “La Zone euro apparaît aujourd’hui comme une condamnée en sursis qui ne fait qu’attendre la prochaine crise financière qui probablement l’emportera !”

Si nous n’y prenons pas garde, alors c’est un destin funeste qui attend notre pays en particulier et l’Europe en général.

Il est convenu de rappeler cette vérité absolue que l’Europe c’est la paix.  L’Europe a été la paix tant qu’elle n’a eu pour objectif que d’apporter la paix. Quand l’Europe a voulu exister par elle-même, en combattant les nations et les fragiles équilibres sociaux, pour faire émerger le rêve fou du citoyen européen et post-national, l’Europe a commencé à créer les conditions de la discorde. Au départ,  l’idée européenne était mue par le concept de subsidiarité. Une belle idée où l’Europe ne pouvait pas, parce qu’elle ne voulait pas,  se substituer aux rôles des Etats mais aidait les Etats là où ils n’étaient plus assez forts pour le faire. Avec l’Euro, l’Europe s’est substituée aux Etats. Pour exister l’Europe combat toutes les souverainetés. L’Europe, au bout du compte, devient un monstre froid, anti-démocratique et totalitaire.

Dans quelques années, il est possible que les historiens disent que l’Europe fut la guerre.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT

Source: insolentiaeVoir les précédentes interventions de Charles Sannat

26 Commentaires

  1. J’en suis tombé de mon relax! Avoir du cash est vital lors des catastrophes. Et des catastrophes, il va y en avoir.
    Grâce aux taxes, tu t’appauvris, décroches sûrement, le chômage refuse de baisser, le nombre de SDF explose. La classe moyenne qui permet de vivre est de moins en moins riche ; cela se voit dans le coefficient de Gini de plus en plus bas: tous égaux mais via un nivellement par le bas. Chômage, casse-tête des inemployables, le marché du travail a fermé ses portes aux sans-diplômes. Emmanuel Macron propose une solution efficace : devenir entrepreneur et se libérer de la fatalité; le secret de son succès.

    • Et si Poutine offrait un voilier à Greta Thunberg ? esclave à vie du système.
      Travaillez, prenez de la peine plutôt que d’attendre les subsides de l’état.
      Ne comptez pas vos heures plutôt que de gratter votre smartphone.
      Vivez de ce dont vous avez besoin plutôt que de courir après les nouveautés. Il y en a assez des pleurnichards de tout poil, les pseudo victimes d’un système, les conspirationnistes et autres dérangés du ciboulot.

  2. Il n’y a pas 1 seul et unique Euro mais 19 euros liés par 1 tx. de change ARTIFICIEL et FORCé = 1 ; c’est la seule justification de ce vous écrivez :  » les dettes à l’égard de l’Allemagne dans le système de compensation commercial et monétaire européen appelé TARGET, est de 1 000 milliards d’euros en faveur de l’Allemagne. »
    C’est pour cela qu’il y a tjs. 19 banques centrales et que la BCE de Frankfurt-a-m. n’a pas le droit de  » tirer monnaie  » .
    D’ailleurs, jusqu’au figaro Mario, chaque billet portait l’initiale de la banque centrale NATIONALE qui l’avait imprimé .
    Pour en sortir, changeons la parité forcée par 1 tx négocié

    • Non, il ne s’agit nullement d’une erreur, mais la volonté manifeste de détruire nos nations et économies, pour construire à partir
      des cendres de nos nations et peuples, une Europe Forte !!!
      Ce qui est très clairement CRIMINEL envers tout
      les peuples et pays composant l’Europe !

      Et la preuve, c’est que les référendums Français gagnés contre l’Europe non pas été respecté par nos présidents et dirigeants,
      c’est et ce fut le VIOL de la Démocratie Française !!!

      L’Euro n’aurait jamais du exister, on aurait du rester à l’ECU, European Currency Unit, qui avait beaucoup plus de sens pour le respect et bon fonctionnement de nos nations et de l’Europe !
      La valeur de l’ECU était déterminée par un panier de monnaie, comprenant tout ou partie des monnaies des pays membres de l’Union européenne. Chaque monnaie avait un poids différent.

      Avec l’ECU, on aurait pu continué à utiliser le Franc Français
      et chaque pays sa monnaie, afin de pouvoir réguler finement l’ensemble de nos économies, dans le respect de nos différences !

      Alors que l’Euro, lui a surtout permis de détruire volontairement
      une grande partie de nos économies et de nos pays !
      Nous sommes face à une Criminalité organisée et mafieuse…

        • Excuse-moi, mais il était tard, l’heure d’aller au lit,
          mais comme le sujet est et était intéressant…

          Je pensais plutôt:
          « En effet, il ne s’agit nullement d’une erreur… »,
          mais de détruire l’ensemble des Nations et Peuples
          composant l’Europe, pour nous « esclavagiser » TOUS !!!
          Selon la Bible, l’Anti-Christ sera le Chef de l’Europe…
          et cet homme viendra comme un sauveur !

          Tout à été mis en place pour préparer sa venue,
          son règne et sa dictature…
          « Même si on savait qui sait, nous ne pourrions changer
          les choses, qui sont liées aux prophéties Bibliques »,
          nous allons seulement les voir s’accomplir !
          Cet homme sera bien pire qu’Hitler, Staline, Mao…
          mais tout les Moutons Européens l’accueilleront avec
          joie comme Un sauveur, Le sauveur, et il nous mènera tous
          à l’abattoir !!!

          Les hommes ne font et ne feront que récolter, ceux
          qu’ils ont semer, avec leurs rebellions et désobéissance
          volontaire contre Dieu, la Bible dit :
          « Que les hommes se sont et vont s’adorer eux-même. »,
          malheureusement, Nous sommes cette génération perverse…

            • L’antijaphétisme prend corps environ un siècle après l’apparition de l’antisémitisme moderne, au sein d’un même système politique républicain, avec la complicité des mêmes élites républicaines, et dans une société qui ne parvient pas à fonctionner harmonieusement selon le modèle républicain.

              L’antijaphétisme comme l’antisémitisme, désigne fort opportunément un peuple bouc émissaire qui endossera à bon compte la responsabilité des revers rencontrés par ce modèle, innocentant ainsi ce modèle Républicain et les préjugés et la « mafia » sur lesquels il repose !

              Nous sommes dans une Ripoublique Franc-Maçonne anti-Dieu, c’est donc aussi clairement une Religion d’État!

              Toute l’opération consiste à alimenter une rhétorique qui diabolise les Autochtones et Peuples Européens.

              La République, la Ripoublique est devenu un monstre froid dénué de tête, au fonctionnement mécanique basé sur la délation réciproque et l’exécution sociale et politique de celui qui doute du modèle républicain de société.

              On constate énormément de dysfonctionnements et d’anomalies dans notre République, mais bizarrement,
              nos élites ne font rien pour les corriger, bien au contraire, à croire qu’ils prennent plaisir à diviser, vendre et détruire les Nations Européennes et la France, pour des intérêts soi-disant supérieurs !!!

          • Perverse et fastidieuse…c’est pour cette raison que nous aurons un avertissement…par la suite chacun suivra de sa propre volonté la voie qu’il aura choisie…

      • « -Et la preuve, c’est que les référendums Français gagnés contre l’Europe non pas été respecté par nos présidents et dirigeants,
        c’est et ce fut le VIOL de la Démocratie Française !!! ».

        Non JeanD, tu te trompes. Si l’on ne voulait pas de l’Europe telle qu’on l’a aujourd’hui, il ne fallait pas installer la droite et la gauche classique à l’Assemblée durant cette époque…

        En plus, en donnant les clefs présidentielles à Sarkozy le siphonneur en chef des voix nationales (Marketing de nouveau impeccable pour convaincre les imbéciles crédules), que pouvait-il arriver de bien à notre souveraineté !!!

        Je ne nous donne pas d’excuses…

        Saludos

        • Oui, mais un Mouton, c’est Con,
          alors un troupeau de Mouton, c’est Super-Con,
          et ils ne connaissent qu’une direction,
          la direction de l’abattoir !
          Que voudrais-Tu demander de plus à des Moutons ?
          D’être intelligents ?
          Mais ce n’est pas possible, c’est Contre-Nature,
          c’est pourquoi, cela n’existe pas…
          T’es pas végétarien ?!

          • N’insultez pas les ovins, le mouton est un animal non doué de raison, à l’inverse selon Aristote « l’homme est un animal doué de raison », mais le bon sens ayant complétement disparu de notre espèce, on peut dire que l’homo-sapiens (sagesse) qui donna l' »homo-faber » d’hier à fait place à « l’homo-festivus », hédoniste, loisirs, et acceptant cet esclavage inconscient cet « homme raisonnable » est devenu non un mouton mais un « Mougeon », c’est à dire un animal hybride ayant une tête de pigeon et un corps de mouton, particularité de cet animal: ON PEUT LE PLUMER DE LA TÊTE ET LE TONDRE JUSQU’AU TROGNON…

        • Pastichons Léo Ferré: » Dans une France monarchiste, je foutrai tous ces fumiers debout à fumer le scrutin de liste. Jusqu’au mégot de mon dégoût, ils ont voté et puis après… »

          • La profondeur authentique et talentueuse d’un artiste écorché…
            De la poésie, des textes bien ciselés et un mal-être existentiel fécond. Voilà Leo Ferré…

            Pour ce qui est de retirer une logique fonctionnelle dans son intolérance anarchiste libertaire d’extrême gauche, vous repasserez !

            Il a quand même eu l’intérêt d’être authentique, mais en aucun cas éclaireur ! Une sorte de lanceur d’alerte rêveur au final… 🙂

            Je suis moi-même un peu anarchiste mais national, et avec mes variantes…

            Pour ceux que cela intéresse :

            http://national-anarchisme.hautetfort.com/

            Saludos

            • Étant moi-même un ancien anar de la mouvance « situationniste » mais lorgnant toujours sur des Blondin, Boudard, j’ai gardé le sens du « détournement », et concernant Léo je suis bien conscient qu’on ne peut en tirer une « logique fonctionnelle » mais l’exemple d’une façon « si française » de jouer avec les mots, se servant même, comme d’un boomerang du talent de l’adversaire pour lui retourner sa propre subversion.

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