Bill Murphy: « D’ici peu, Les marchés de l’or et de l’argent vont exploser comme jamais ! »

Il semble que Dieu soit le mouvement et le repos.

Il exerce déjà, ici et maintenant, sa Justice et sa Miséricorde par les bienfaits non mérités, et les épreuves que chacun reçoit ici bas.

Le corps humain n’est pas la quintessence ou 5e élément. Il en est issu. Il est la terre, voir le sel de la terre. Et c’est la semence qui est notre quintessence; c’est d’elle dont nous sommes tous issus, et c’est par elle que nous transmettons la vie, car en elle est la vie, le souffle de Dieu. En elle sont de même les 4 autres éléments dans ce qu’ils sont de plus pur, matière première (éléments) de la première matière (quintessence).

Dieu est Acte Pur, il est le Premier Moteur Immobile (incréée)qui enclenche le mouvement du mobile (la créature ou l’être mobile) vers le moteur, cette Force, synthèse de la Puissance (matière)vers l’acte (sa forme) vient de l’âme , principe vital possédant ses trois facultés ou puissance qui sont la mémoire, l’intelligence et la volonté.

Alain, serais tu un « moniste évolutionniste », expression de Mgr d’Hulst (il considère qu’au final la Vérité éclatera grâce au choc « Philosophie perennis/Monisme évolutionniste » qui bien avant que Saint Pie X dans son encyclique Pascendi n’emploie cette expression concernant le « Modernisme » qui vise à vider les dogmes de la Grâce, domaine du « surnaturel » ou métaphysique (qui vient après Phusis ou physique), c’est-à-dire « Comme l’égout collecteur de toutes les hérésies »

Le monisme est l’unité de toute substance (l’exemple de Bergson, la table, le verre d’eau, l’eau, le sucre et le processus de dissolution du sucre dans l’eau sont des abstractions. Seul le grand « Tout », dans lequel ces objets ont été découpés par nos sens, existe et dure réellement), Spinoza, Bergson, le Bouddhisme sont monistes. Quelle est donc cette substance que tu définis comme « matière première »

Voici ce que dit Aristote : « Sous les phénomènes qui changent et qui passent, il y a donc une réalité stable qui demeure ; sous le mouvement, une chose qui se meut ou se laisse mouvoir, et c’est cette réalité sous-jacente que tous appellent du nom de substance…(…)par opposition aux modes d’êtres changeants et accidentels…(…)ou si l’on veut des entités dérivés , ens-entis »

Quelles sont les opinions de Saint Thomas et de Suarez sur la question :la substance -joue t’-elle le rôle de cause efficiente principale ou seulement instrumentale ?

Par exemple, lors de la production d’une substance, se trouve-t’-on en présence de deux actes, dont l’un serait la production de la substance, l’autre la génération des accidents par cette même substance (Suarez).

Formulation du principe de substance :

« Tout être est un et le même, sous ses manières d’être multiples et diverses ». Il faut donc les opposer l’être de soi, per se, qui est un et le même à l’être dérivé, per accidens qui est multiple et divers, et la seconde formule ne fait que confirmer cette opinion. La philosophie du devenir et du non-être, qui est une sophistiqué, suivant le mot sévère de Platon qu’Aristote a fait sien en le déclarant « parfaitement juste » : « La sophistique roule sur le non-être ».

Distinguo entre « matière première et matière seconde » :

Une même molécule qui devient successivement grain de blé, farine, pain, chair et sang de l’homme, nous imaginons naturellement sous ces diverses formes ou qualités spécifiquement diverses un substratum qui a été le sujet de ces transformations, et nous l’appelons matière première, par analogie avec la matière seconde, c’est-à-dire avec la substance complète, qui dans nos œuvres d’art reçoit mille façons et arrangements. Nous concevons, en même temps, les différences profondes qui distinguent les œuvres de la nature des œuvres de l’art, les transformations naturelles des modifications artificielles ; la nature fait varier les formes substantielles ou spécifiques, l’art ne change directement que les formes accidentelles.

La guérison aristotélicienne contre ceux qui disent que :2+2=5 :

En d’autres termes, il faut pour les guérir, leur montrer comme un fait inéluctable cette loi de l’esprit humain, contre laquelle aucun mortel ne saurait s’insurger, Aristote : « Nous ne connaissons jamais quoi que ce soit qu’à cette double condition qu’il y ait quelque chose qui subsiste d’un et l’identique , et aussi des (principes) universels (c’est-à-dire l’être et les principes nécessaires qui nous l’expliquent)… c’est bien là une nécessité incontestable… à moins de soutenir cette énormité que la science se réduit à la sensation ».

« Alain, serais tu un « moniste évolutionniste » »

Je suis chrétien, mystique et gnostique (au sens jungien du terme). Je mène par ailleurs des recherches opératives dans le domaine de l’Alchimie que je trouve compatible avec la gnose chrétienne.

« Quelle est donc cette substance que tu définis comme « matière première » »

Les éléments sont la matière première de l’œuvre alchimique (voir Bernard le Trévisan et sa Philosophie naturelle des métaux).
Les éléments produisent les semences qui sont la première matière ou quintessence. Cette quintessence contient les deux natures, masculine et féminine, céleste et chtonienne, les deux dragons (aptère et ailé) ou les deux lions (rouge et verd).

Partie I
Certains auteurs modernes confondent étrangement puissance purement passive de la matière avec puissance active des causes efficientes affirmant que la matière première des thomistes n’est qu’un vaste devenir panthéistique qui se développe tout seul, et revêt successivement toutes les formes de l’univers. L’évolution panthéistique suppose un germe unique qui par sa seule activité se développe et devient Tout, de Rien absolu ou de presque rien qu’il était à l’origine, négation invraisemblable du principe de causalité, conception anti-scientifique et anti-philosophique.
Selon la doctrine d’Aristote et de Saint Thomas, la matière est par elle-même indifférente à toutes les formes, et dans ce sens on peut dire théoriquement qu’elle pourrait les recevoir toutes. Enfin d’après Saint Thomas toutes les évolutions d’énergie potentielles, qui se développent en énergies actuelles, sont produites et coordonnées , dans l’unité merveilleuse d’un même plan, par une cause première souverainement intelligente. Ainsi nous dit le Docteur Angélique, la matière première a besoin d’une forme élémentaire, l’élément a besoin de la forme supérieure des corps composés, le composé désire participer à la vie végétative, le végétal veut jouir de la vie animale, l’animal veut être élevé à la vie raisonnable, et l’homme veut participer à la vie divine.

Partie IIL’âme humaine tend à s’élever à une divine similitude, c’est-à-dire à la perfection souveraine. En sorte, que c’est l’Etre divin lui-même qui provoque cette sublime ascension de tout être créé vers le meilleur ; c’est ce Divin Soleil, centre de la gravitation universelle, qui tient toute créature suspendue à ses rayons et attirée puissamment au foyer de son amour.

Einstein ne savait rien il a plagier la relativité à Henri Poincaré. L effet photoélectrique pour lequel il a eu sont seul prix Nobel tous le monde était déjà au courant. Est tous ce qui vient de lui c est des conneries. Il n est même pas scientifique de base il était ingénieur qui délivrer les brevets. Ils l ont mis au devant de la scène pour promouvoir le nucléaire qui est dévastateur.

L’Etre en question et le Dieu qui manque. Par delà les machines de capture
À méditer dans l’ouverture du Tchuang Tseu. Sagesse de l’ours