C’est un article du quotidien La Croix qui a toujours l’art de pointer du doigt les sujets qui mettent l’humain au coeur.Cet article parle des livreurs.De ces gens qui livrent des pizzas ou des fraises tagada et rarement finalement des produits de « première nécessité ».Cet article a l’immense mérite de pointer du doigt les applications de livraison comme Uber Eats ou Deliveroo… Ces services o6u même lorsque tout va bien les livreurs sont payés à la tâche et à la livraison, comme les forçats d’autrefois.
Pourtant, dans le contexte actuel on ajoute à la précarité salariale, à l’absence de couverture, et à la dangerosité intrinsèque à ce métier (les accidents de la route et spécifiquement de deux roues), le risque sanitaire.Le tout, pour quelques euros pour chaque livraison.C’est le précariat, dans toute sa laideur… c’est aussi le salaire de la peur.Triste monde que celui qui est devenu le nôtre.Triste monde.Charles SANNAT
Source: insolentiae – Voir les précédentes interventions de Charles Sannat
Faut arrêter la connerie de dire qu’un bonhomme de 30 ans risque sa vie en livrant et regarder les chiffres combien ont moins de 60ans?
Combien n’avait pas déjà de maladie auparavant?
La première cause de mortalité du livreur est l’accident de la route et ajd avec la baisse de trafic je suis persuadé qu’il y’en a moins qui meurent qu’avant le confinement même en étant contaminé.
???
Pourquoi ???
Pas assez néolibéral ???
Trop gaucho !!!