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lundi 21 avril 2025 - 07:13

L’échec lamentable de l’Education Nationale.

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Je vous rappelle le classement publié hier, à savoir que notre pays est l’avant dernier pays dits « développés ». Dernier, avant-dernier peu importe. Nous ne sommes plus que l’ombre de nous-même.

La faute à qui ?

Pas au budget de l’Education Nationale qui nous coûte un pognon de dingue et qui n’est tout juste plus bonne qu’à garder nos gosses et à les endoctriner à l’égalitarisme crétin et à les faire progresser en sexualité appliquée.

Coût annuel de l’enfilage de capotes ? 53 milliards d’euros et presque 7 % du PIB !

A ce prix là, transférons tout le budget à l’armée… même à la Légion Etrangère, surtout à la la Légion Etrangère, on sait faire parler français à n’importe quel nouveau venu en 3 mois.

La faute à qui ?

A nos « pédagogues » de salon, aux méthodes stupides, à l’idéologie gauchiste contre-productive où l’on confond tout. La juste et nécessaire solidarité se transforme en l’interdiction d’être meilleur que le voisin pour ne pas le pauvre… lui donner de complexe !

Grâce à cette mentalité, nous nous préparons à notre effondrement collectif.

Ces gamins incultes d’aujourd’hui sont la France et les professionnels de demain !

Dans le siècle de la connaissance nous préparons des abrutis par millions.

Réveillons-nous avant qu’il ne soit trop tard !

L’égalitarisme mène aux pires inégalités, car mes enfants, eux, lisent les livres que l’on n’enseigne plus à l’école, font les maths qu’ils n’apprennent plus, découvrent les sciences que l’on n’inculque plus.

Quand on est de gauche, on ne fait pas de l’égalitarisme, on a une ambition pour tous les enfants de ce pays pour en faire les meilleurs, les plus forts, les plus cultivés, les plus érudits possibles. Je fais sans doute partie de la dernière génération a avoir eu des professeurs qui avaient tout simplement une grande ambition pour les gamins de leur classe. Leur réussite, était… la réussite des enfants dont ils avaient la charge.

France réveille toi, la médiocratie n’est pas un choix.

Charles SANNAT

Source: insolentiaeVoir les précédentes interventions de Charles Sannat

6 Commentaires

  1. En fait tout cela est pourtant très simple à gérer :

    • des notes, des vraies…
    • des sanctions si nécessaire
    • un classement trimestriel lu devant tout le monde et affiché
    • des redoublements quand justifié
    • l’abandon des matières inadaptées
    • la remise dans l’axe des profs
    • test annuel des profs
    • notation au mérite
    • sanction financière
    • perte de l’emploi à vie
    • interdiction de militer dans la vie politique
    • contrôle assiduité

    Tout le monde sait qu’avec le tiers des sommes engagées le résultat serait le même.
    Trop d’enseignants font très mal leur boulot ou passent leur temps à faire du prosélytisme…

    Il est grand temps de dégraisser la mamouth et d’abandonner les livres orientés au bénéfice de savoirs faire indispensable au succès d’une vie d’adulte.

  2. Ce constat d’échec de l’éducation nationale, se retrouve aussi dans la gestion financière calamiteuse des hôpitaux, dans la gestion désastreuse de la sécurité sociale, bref, partout ou l’on trouve des fonctionnaires. Mais est-ce que cela n’est pas le but recherché par notre classe dirigeante depuis 30-40 ans? Je le pense car la finalité de tout cela c’est de privatiser l’éduction nationale, la santé, la sécurité sociale, le système de retraite etc… Tout cela montre bien le degré de corruption de nos gouvernants qui ne sont plus au service des citoyens mais au service des multinationales et de leur propre intérêt.

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