En fin de compte, une nouvelle religion vient de naître en 2020. Appelons-la, la Covidianité.Il y a ses prophètes (Neil Ferguson), son sacerdoce d’experts (Patrick Wallace et Chris Vallance), sa propre sotériologie (le vaccin du bonheur), ses évangélistes (Piers Morgan), sa propre eschatologie (la nouvelle norme) et bien entendu ses hérétiques (quiconque qui ose remettre en question les données).
Tous ceux qui ont adopté les pratiques étranges de la Covidianité ne sont pas tous des Covidiens. Beaucoup de gens ont été intimidés parfois involontairement, aussi parce qu’ils n’ont pas ressenti le besoin de trop y réfléchir. Mais il y a tout de même de vrais Covidiens, et vous pouvez les reconnaître par leur insistance pour se prosterner devant leur culte et aussi lorsqu’ils méprisent tous ceux qui refusent de les suivre.
Il faut dire que cette religion a vu le jour extrêmement rapidement. Nous étions là, à vivre presque normalement et d’un seul coup, voilà qu’est apparue ce bouleversement. Très vite, un grand melting-pot s’est organisé partout dans le monde pour produire un mélange toxique de peur, d’hystérie irrationnelle à une échelle épique.Cela faisait des années déjà que les sociétés avaient pour la plupart abandonné la croyance en dieu, sans jamais vraiment avoir trouvé de réel remplaçant pour combler ce vide. C’est ainsi qu’une société obsédée par le « Safetyisme », par la stérilisation générale de la vie, prête à gober chaque parole de cette boîte à propagande qui se trouve dans un coin de la pièce. On est en droit de se demander si la notion de liberté n’aurait pas disparu petit à petit dans ce monde à part.Ce que cela a donné, c’est une société qui cherche une arche pour tout organisé et tenter d’éviter la mort en éliminant tous les risques potentiels. Le peuple ne conteste jamais plus le gouvernement, ni les médias et encore moins les experts qui savent comment agir et guide ainsi la population. En très peu de temps, de nombreuses libertés ont disparu, alors même qu’il aura fallu des combats acharnés depuis des siècles pour les obtenir. En bref, nous sommes arrivés à l’oligarchie technocratique planifiée dont CS Lewis nous a mis en garde il y a plus d’un demi siècle :
« La nouvelle oligarchie doit de plus en plus fonder sa volonté d’organiser notre vie par le biais de la connaissance. Si nous souhaitons être maternés, la mère est censée savoir ce qui mieux pour nous. Cela signifie qu’ils doivent de plus en plus s’appuyer sur les conseils des scientifiques, jusqu’à ce qu’à la fin, les politiciens proprement dits, ne deviennent que les marionnettes des scientifiques. La technocratie est la forme vers laquelle une société organisée doit tendre. »
L’ironie par rapport à tout ce qui s’est passé cette année est que dans une tentative apparente d’éliminer les risques, nous avons abandonné nos propres vies. C’est-à-dire que nous avons placé la sécurité apparente si haut sur la liste des priorités qu’elle en est devenue l’équivalent d’un dieu, régissant la façon dont nous devons vivre, respirer, être et elle domine tellement notre vie quotidienne qu’elle rend la vie normale impossible, en évacuant la joie de vivre, le sens de la vie. C’est comme l’a dit Lewis, une façon tragique de vivre.Lorsque les gens ont connu des périodes catastrophiques comme lors de la peste où là, ils avaient accepté la suspension de la vie normale pendant un certain temps, car on ne joue pas avec une maladie qui anéantit près de 60% de la population. Mais pour un coronavirus, avec un taux de mortalité par infection d’environ 0,2% à 0,26%, que se passe-t-il ? Non mais franchement, pour qui nous prennent-ils ?Ah oui, effectivement, les logiciens de la Covidianité vont prétendre que nous avons éviter justement des taux élevés parce que ils ont su prendre les bonnes décisions à temps, comme le port de masque, la distanciation sociale etc… Mais non, désolé, tout cela n’est pas vrai, car il n’y a aucune preuve que toutes ces mesures aient eu un effet en termes de modification des taux de mortalité.
Quand on prend un peu de recul, il s’avère que pour cette illusion de la sécurité, on est prêt à perdre notre héritage et les libertés qui nous ont été léguées par nos anciens, il ne faudrait pas tout perdre du jour au lendemain, car c’est de notre devoir de préserver ces notions merveilleuse de libertés pour les générations a à venir.
Nous avons trahi nos ancêtres et nos descendants, et l’idée que nous allons simplement récupérer ces libertés est un malentendu lamentable sur la façon dont le monde fonctionne. Premièrement, la nature humaine étant ce qu’elle est, les personnes au pouvoir qui ont développé le goût de l’autoritarisme aiment rarement y renoncer. Et deuxièmement, les libertés demandent des siècles de travail acharné pour se développer, mais peuvent être piratées en très peu de temps – comme cela nous est arrivé en 2020. Malheureusement, il n’y a pas de formule magique pour les rétablir rapidement.
Ron Paul: « Nos pertes de libertés m’inquiète beaucoup, et plus que le Covid ! » « Nos libertés sont en train de se faire grignoter » L’édito de Charles Sannat
Cela dit, il est peut-être encore temps d’agir. Il y a peut-être encore une opportunité de prendre du recul par rapport à cette tyrannie médicale absurde, et de ne pas croire toutes ces fausses promesses sur la sécurité et de profiter de la vie et de toutes les libertés auxquelles nous tenons tant. Mais cela signifie aussi rejeter cette misère de la Covidianité sans plus tarder, et s’opposer formellement à tout ce cirque.
Source: zerohedge
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Le king avait raison
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En Marche !
Si je n’avais pas autant d’attaches en France, j’opterai pour le statut de réfugié dans des pays du genre Biélorussie, ou autres, car en France il n’y aura plus rien d’intéressant, ça va devenir l’enfer.
En plus les femmes Biolorusses sont mignonnes… jusqu’à la première grossesse !…
Je vais me faire une « couillotommie »!
Je prends!
Ont-elles du savoir-faire???
Tout à fait, c’est l’inversion complète des valeurs où les pays qu’on nous présente comme des dictatures sont devenus infiniment plus libres que ces pseudo démocraties occidentales.
La Corée(du nord),c’est sympa aussi.Pas de covid,et on y mange très bien(et les restaurants sont ouverts la bas).
Ce ne sera qu’un semblant de liberté.
De cette liberté je n’en veux pas.