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mardi 22 avril 2025 - 04:48

La dette Covid déjà affectée à la CADES…

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Nous sommes gérés par des « as », des « vedettes » qui ont une vision rarement atteinte si ce n’est par les aigles.

Ils ont une créativité uniquement fiscale et technocratique.

Quand ils font n’importe quoi avec votre argent et votre avenir, rien ne leur arrive vraiment.

Mieux, ils règlent les problèmes qu’ils ont causé en créant des machins, des bidules et des impôts nouveaux.

Année après année.

Sans jamais s’arrêter comme des poulets sans tête ils courent de plus en vite.

En 1996 face aux déficits accumulés par la sécu, les mamamouchis de l’époque ont eu cette idée géniale de créer la CADES, CADES pour Caisse d’amortissement de la dette sociale.

Cet organisme est chargé d’amortir la dette « sociale ». La Cades avait besoin de ressource pour payer cette dette.

Rien de plus simple.

Il a suffit de créer de nouveaux impôts. Officiellement c’est une contribution, mais peu importe le mot.

Vous payez quand même.

La CSG puis la CRDS.

Normalement la dette sociale affectée à la CADES devait s’éteindre et être remboursée aux alentours de 2024.

L’Etat vient de verser dans la CADES 136 milliards de la dette Covid.

Alors que nous aurions du voir la CSG et la CRDS disparaitre, ces impôts seront conservés pour financer et amortir les dettes covid.

Comme le dit le Figaro, « en prolongeant la Cades, le gouvernement a aussi prorogé les recettes qui l’alimentent: la CRDS, qui avait pourtant été créée « à titre provisoire » et une fraction de la CSG. Deux cotisations qui reposent sur les actifs, les retraités et les revenus du capital. Bref, en prolongeant la Cades, le gouvernement repousse d’autant la fin des prélèvements obligatoires associés ».

Dans tous les cas, ceux qui pensent que l’on ne paiera pas la dette Covid se trompe.

On paye toujours les dettes, celles-ci comme les autres.

On les paye par de l’inflation, par le vol de l’épargne, par le chômage, par la crise, par la monnaie, par l’austérité, peu importe.

Une dette n’est JAMAIS, jamais gratuite.

Le faire croire est un mensonge.

Faire faillite est possible, mais une faillite a toujours, TOUJOURS des conséquences.

C’est plus populaire de dire que tout va bien se passer. Mais ce n’est pas vrai.

Le vrai sujet c’est de faire en sorte de prendre les décisions qui rendront la situation la moins douloureuse possible.

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin

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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

Source: insolentiaeVoir les précédentes interventions de Charles Sannat

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