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mercredi 16 avril 2025 - 11:29

De plus en plus d’américains sont dans la déche et deviennent des « nomades des temps modernes »mais pas toujours par choix !

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Une histoire récente fait la une de nombreux médias mainstream concernant les « nomades des temps modernes » qui a tendance à se lire comme un article hebdomadaire sur la vie d’Henri David Thoreau non pas en 1850, mais plutôt en 2021. On y découvre des histoires de personnes qui n’ont d’autres choix que de réduire leur train de vie, en basculant dans une pauvreté sans nom, souvent après avoir connu des moments très difficiles où ils étaient incapables de payer un loyer normalement.

Cependant, ce qui manque dans tous ces cas de déchéances humaines, c’est sûrement les raisons précises qui justifient un tel échec social avant de devenir un «nomade des temps modernes ». En d’autres termes, on ne nous explique pas que le nombre accru de ces « nomades des temps modernes » est directement lié au fait que l’économie américaine est en chute libre, prête à complètement s’effondrer, se trouvant en pleine dépression économique avec un chômage hallucinant, de très bas salaires ce qui engendre des situations financière personnelles catastrophiques.

Bien que cela puisse être décrit avec une certaine légèreté, proche du romantisme, le sentiment de désespoir est souvent omniprésent.

Néanmoins, certaines de ces histoires commencent souvent de cette manière :

Si vous regardez plus attentivement, le long de certaines rues de nos grandes villes américaines, sur des terrains de campings, ou encore sur les terres gérées par le Bureau of Land Management, vous observerez qu’il y a de plus en plus d’américains qui vivent dans leur voiture par rapport à avant. Ils n’avaient jamais imaginé cela.

« Je ne m’attendais pas à devoir un jour me résigner à dormir dans mon SUV. La boîte de vitesse allait lâcher, mais je n’avais assez d’argent pour la changer. Et comme je n’avais aucune épargne, j’ai eu très peur » a déclaré April Craren.

52 ans, emmitouflée dans des couvertures sur un lit de camp à l’intérieur de sa fourgonnette, une Toyota Sienna 2003.

Elle éteint la caméra de son téléphone pour me montrer le réchaud de camping qu’elle utilise pour se faire du café, tout en appréciant me monter la vue qu’elle a du soleil qui se lève sur le fleuve Colorado. Elle n’a ni toilettes, ni douche, ni réfrigérateur.

Après s’être séparée de son mari, April s’est retrouvée sans abri en juin 2020, elle a survécu grâce à un chèque de 1 100$ qu’elle reçoit tous les mois à cause de sa dépression.

« J’aurais pu bénéficié d’un appartement mais dans un endroit nul et insalubre sans argent pour faire quoi que se soit », a-t-elle expliqué.

L’année dernière, là où April habitait, c’était à Nixa, dans le Missouri, le loyer moyen d’un appartement était de 762$, un peu moins que la moyenne nationale. Comme près de la moitié des locataires américains, elle aurait été coincée par le prix.

Il n’est donc pas surprenant que la perte d’un emploi, le divorce ou, disons, l’apparition soudaine d’une crise sanitaire ou la crise financière peut facilement pousser beaucoup de personnes de l’autre côté de ligne rouge.

De nombreux américains se sont retrouvés piégés dans cette spirale infernale de pauvreté dont ils ne ils ne peuvent tout simplement plus se sortir.

Pour ceux par contre qui ont des objectifs minimalistes, ce n’est pas si catastrophique que ça.

A 52 ans, April Craren n’a pas choisi cette vie-là. Cela lui a été imposé par des circonstances de vie compliquées. Craren ne pouvait pas se permettre de payer un loyer exorbitant (en partie à cause de l’inflation mais surtout à cause du krach immobilier de 2008).

Les différents confinements liés au Covid-19 ont plongé beaucoup d’américains dans un profonde dépression que nous découvrons seulement maintenant toutes les conséquences. Même Wall Street n’aurait pas pu causer autant de dégâts.

« Si la Grande Récession était une grande fissure dans le système, le Covid-19 et le changement climatique seront tout aussi néfastes », a déclaré Bob Wells, le nomade qui joue lui-même dans le film « Nomadland ». Heureusement, Wells a pu aider Craren a adopter son style de vie afin qu’elle puisse désormais survivre en tant que nomade grâce à son Alliance Home On Wheels.

Le style de vie de Wells était un choix. Mais le nouvel intérêt pour ce mode de vie nomade n’est pas un choix pour tout le monde.
De Yahoo :

Il s’est vite rendu compte qu’il avait quelque chose d’intéressant à partager, alors Wells a acheté le nom de sa chaîne sur YouTube intitulé « Cheap RV Living » en 2005. Il a publié des astuces et des trucs pratiques pour se confectionner une meilleure habitation automobile, mais ce qu’il mettait en avant dans ces vidéos, c’était en fin de compte une sorte de nouvelle feuille de route pour vivre autrement mais mieux.

Quatre ans plus tard, lorsque près de 10 millions d’américains se sont retrouvés à la rue après la Grande Dépression, le trafic sur son site a littéralement explosé. Lorsqu’il s’est rendu compte qu’il se retrouvait au centre d’une communauté en ligne qui ne cessait d’augmenter, il a décidé de créer un lieu de rencontre à Quartzsite en Arizona. Il l’a surnommé le « Rubber Tramp rendez-vous (RTR), et en janvier 2011, 45 véhicules se sont retrouvés. Huit ans plus tard, environ 10 000 véhicules se sont réunis pour ce qui était considéré comme le plus grand rassemblement de nomades au monde.

L’augmentation incroyable de cet évènement est sans aucun doute le reflet de l’intérêt croissant d’un choix de vie différent, et tout particulièrement une vie en camping-car qui représente comme une solution inéluctable à la crise du logement, qui est rendu accessible par Bob Wells sur sa chaîne YouTube, « Cheap RV Living » qu’il a créé en 2015.

Cet intérêt croissant pour vivre dans son van auquel se réfère Yahoo News n’est pas du tout un fantasme de petits bourgeois réalisé par des enfants blancs privilégiés de la classe moyenne, qui seraient capables de rentrer chez eux à chaque instant. Non, il s’agit d’une réelle nécessité pour des individus de la classe moyenne, de la classe ouvrière et des pauvres partout en Amérique qui sont sans travail ou qui travaillent mais qui n’ont pas les moyens de se loger.

Le minimalisme est un mode de vie légitime pour certains, mais pour d’autres, ce n’est plus un choix

Pour beaucoup, cette culture du minimalisme est vraiment la façon dont ils souhaitent vivre. Les nomades ont une réelle envie de ne plus avoir à subir cette surconsommation qui ne les rend pas plus heureux. Cependant, nous ne pouvons ignorer que le minimalisme est présenté comme une façon de mieux préparer la population occidentale habituée à des niveaux de vie élevée, à accepter ceux qui vivent dans la précarité.

Pourquoi pensez-vous que nous lisons continuellement de nouveaux articles concernant les insectes comme une option possible pour se nourrir de manière plus équilibrée ? Pourquoi les promoteurs de « The Great Reset » au Forum économique mondial disent-ils au public qu’ils ne ne possèderont bientôt plus grand-chose et qu’il faudra bien qu’ils s’y habituent ?

Lorsque vous devenez un nomade des temps modernes, vous pouvez également vous organiser pour vivre le mieux possible.

Pour tous ceux qui sont déjà en mode nomade, que ce soit par choix ou à cause de circonstances économiques, il peut être utile de savoir qu’il y a de nombreuses façons de se préparer à ce nouveau mode de vie. Il est hors de question de vous laisser aller.

Je vous encourage vivement d’accéder à l’article de Daisy Luther, « il y a encore d’autres options possibles si on ne souhaite pas nécessairement suivre le mouvement de Bob Wells », et cet article vous donnera la perspective de quelqu’un qui a volontairement expérimenté et vécu le mode de vie nomade tout en restant prête à changer carrément de façon de vivre.

Si l’on analyse la façon dont la grande réinitialisation commence à prendre forme désormais, je peux vous dire que beaucoup d’entre nous vont sûrement devoir se faire à l’idée de suivre l’exemple de Bob Wells et étudier sérieusement nombreux de ses conseils pertinents, que vous le vouliez ou non.

Source: zerohedge

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2 Commentaires

  1. Bon, il faut relativiser : ces gens ont comsommé à tort et à travers sans se poser de question. Qu’ils soient aujourd’hui dans la dêche était prévisible. Ils n’ont fait que récupérer ce qu’ils ont semé.
    NON, je ne suis pas dur ! Dans les années 80 ils laissaient leur voiture tourner au ralenti pendant qu’ils étaient au restaurant pour qu’elle soit fraîche à leur retour…

    Donc soyons sérieux un moment : le retour à des maison de 120 m² pour deux est déjà un luxe mais pour eux une maison de moins de 500 m² c’est de la merde, surtout si elle n’a pas 5 chambres et 5 salles d’eau…

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