Nous vivons dans un monde complètement dingue. La pandémie a forcé la population à vivre en quarantaine et ce, à travers toute l’Amérique. Ceci a mené à une récession forcée, à des émeutes graves, à des incendies et à des pillages criminels, sans oublier une élection présidentielle qui n’a jamais autant été contestée et enfin, une émeute hallucinante au sein même du Capitole américain.
Mais face à cette situation économique et sociale inédite, que faisons-nous à part focaliser toute notre attention sur les derniers chiffres du taux de vaccination au quotidien ? Est-ce que l’on réfléchit à remettre tout le monde au travail ? Est-ce que l’on imagine rouvrir les écoles dès lors que la situation s’améliorera un peu ? Est-ce que l’on essaye d’instaurer une sorte de sécurité dans les rues afin que les américains sentent à nouveau plus de bien-être ?
Ou alors, sommes-nous au contraire, en train de plonger dans une hystérie générale ?
Du coup, on comprend mieux pourquoi des milliers de milliards ont dû être empruntés pour tenter de sauver une économie toute entière qui est en train de complètement suffoquer.
Mais en revanche, cela a vraiment très peu de sens de continuer à emprunter près de 2000 milliards de dollars par an pour renflouer une économie qui semble finalement prête à se diriger vers une stratégie d’immunité collective pour faire face au virus.
Il y a déjà des milliers de milliards de dollars d’aides financières qui ont été injectées dans l’économie.
On voit bien que de très nombreux américains frustrés, qui ont été coincés chez eux depuis plusieurs mois maintenant, sont désormais prêts à sortir pour voyager, manger à l’extérieur, voir des amis, vivre pleinement leur vie.
Pendant ce temps, les Etats-Unis devront commencer à rembourser près de 30 000 milliards de dollars de dette. Ce qui est très inquiétant, c’est que les dirigeants semblent plus enclins à faire accroître encore et encore cet endettement plutôt que d’imaginer réduire ce niveau d’endettement stratosphérique.
On n’arrête pas de nous dire que le changement climatique mondial, provoqué par l’homme – comme le terme désormais abandonné de « réchauffement planétaire » – peut être résolu plus facilement en quelque sorte, grâce à tous ces derniers bouleversements massifs que subit l’économie américaine.
L’administration Biden projette de fermer les centrales à charbon. Ils ont également prévu de mettre à l’arrêt les nouveaux gazoducs et oléoducs qui sont tout justes opérationnels. Le but étant de réduire au maximum les coûts afin d’adopter le « Green New Deal » de plusieurs milliers de milliards de dollars.
Je pense que les américains devraient faire une pause et analyser en détail l’énorme catastrophe qui s’est déroulée récemment au Texas et dans ses environs.
Certaines parties dans le sud-ouest américain ont été couvertes de glace et de neige pendant plusieurs jours. Les températures nocturnes se sont effondrées parfois à près des -18 degrés Celsius à certains endroits.
L’état du Texas, complètement sous pression, qui était en train de faire la transition de ses réserves quasi illimitées et bon marché de gaz naturel et d’autres combustibles fossiles, à une nouvelle production d’énergie par le biais des éoliennes et des panneaux solaires.
Mais que vont devenir tous ces millions de texans lorsque les éoliennes gèlent et que les nuages ou encore les tempêtes éteignent l’énergie solaire ?
Nous sommes témoins de ce qui vient de se passer au Texas, et la réponse est là: le Texas est un état riche en pétrole et en gaz, mais pauvre en énergie surtout lors d’incroyables intempéries.
Des millions de personnes se sont retrouvées piégés dans le froid sans même avoir prévu de chauffage alternatif. De nombreux texans meurent de froid ou tombent malades à la suite de cette catastrophe – finalement alimentée par une rigidité idéologique d’origine humaine.
L’utilisation du gaz naturel par le Texas dans la production d’électricité a aidé les Etats-Unis à réduire leurs émissions de carbone. Mettre de côté ces anciennes énergies pour les remplacer par des éoliennes et des panneaux solaires peu fiables allaient nécessairement un jour avoir des conséquences catastrophiques chaque fois que la nature se déchaînerait de manière complètement inattendue, à l’opposé même du discours lié au fameux réchauffement climatique.
En 2019, un avocat spécialisé en diplomatie internationale, Robert Mueller a clôturé une enquête qui a duré 22 mois et qui a coûté 35 millions de dollars, sur une prétendue affaire de complicité du président Trump avec la Russie concernant les élections de 2016. Leur recherche a été longue et intense, mais n’a absolument rien donné.
Ensuite, Trump a été destitué en décembre 2019 et acquitté au sénat en 2020. Son prétendu crime était d’avoir prévenu les ukrainiens du projet de racket de la famille Biden.
Après certaines révélations concernant les manigances de Hunter Biden non seulement en Ukraine mais aussi au Kazakhstan et en Chine, les avertissements de Trump semblent plus réalistes que jamais.
Trump avait été menacé de démission de ses fonctions en vertu du 25e amendement. Il était accusé d’avoir enfreint la loi Logan et la clause d’émoluments de la Constitution. Ses décrets étaient souvent déclarés comme étant inconstitutionnels, voire séditieux.
Il fallait s’y attendre, toutes ces mesures d’opposition n’ont pas reçu le soutien du public ou encore du congrès.
Enfin, une gauche exaspérée a décidé d’en rajouter jusqu’au bout dans le seul but de nuire au maximum au citoyen Trump. Il s’est présenté sans avocat à la Cour suprême pour superviser son procès de destitution au sénat. Il n’était plus président lors de ce procès.
Il n’y a pas eu de procureur particulier, peu de débats et encore moins de contre-interrogatoires. En fin de compte, la deuxième mise en accusation a été plus ridicule que la première. Mais comme lors de la première, le procès spectacle a fait perdre du temps est des ressources précieuses en pleine pandémie.
Mais le comble de cette folie collective, est sans aucun doute cette nouvelle manie de tout vouloir annuler par rapport à l’histoire et la culture en général. Ils sont en train de revoir de nombreux textes historiques et les considèrent soit comme « privilèges blanc non mérité » ou encore comme « suprématie blanche ».
Au nom de ces abominations, des foules démolissent des statues, détruisent des carrières, censurent la parole, exigent de véritables serments et dispensent une formation à la rééducation.
Plus étrange encore, ceux qui prétendent qu’il n’y a que des privilèges blancs autour d’eux, sont généralement eux-mêmes assez riches, libéraux et blancs. Ces élites comptent beaucoup sur leurs réseaux de personnes aisées comme eux, leur éducation privilégiée pour tirer profit de leur statut, de l’influence et de l’argent, très loin de la classe moyenne américaine.
Les minorités aisées et privilégiées se joignent également au mouvement en insistant sur le fait qu’il faut changer beaucoup de choses dans la société actuelle, comme exiger des réparations par exemple.
Les américains les plus élitistes sont aussi les plus susceptibles à damner les privilèges de ceux qui en manquent le plus.
Le dénominateur commun avec toutes ces absurdités est qu’il y a une élite pas très fine et surtout névrotique dont le jugement est complètement faussé et dont le privilège est payé par ceux qui ne l’ont pas.
Source: zerohedge
A l’attention des lecteurs du site BusinessBourse
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« Des millions de personnes se sont retrouvées piégés dans le froid sans même avoir prévu de chauffage alternatif. »
Quand tu ne te prépare pas, voilà ce qui arrive.
Des maisons en carton, avec une seule énergie, aucun souci du lendemain…
SAUF que le lendemain est en train de frapper à la porte de ta maison en carton…