Un antimicrobien bien connu, l’oxyde nitrique, s’est avéré réduire rapidement la charge virale du virus, la faisant chuter de 95 % en 24 heures et de 99 % en 72 heures, selon une étude récente menée par des chercheurs financés par le NHS anglais. « Foundation Trust et SaNOtize Research & Development Corporation » – une société de biotechnologie canadienne qui mène actuellement des essais de phase II d’un vaporisateur nasal d’oxyde nitrique.
Un groupe de 80 adultes (18-70 ans) atteints d’infections confirmées (souche Alpha) du Covid-19 a été divisé en deux groupes, la moitié recevant un spray nasal d’oxyde nitrique (NONS) auto-administré 5 à 6 fois par jour pendant 9 jours…
L’objectif du spray nasal est de tuer le virus présent dans les voies respiratoires supérieures – l’empêchant d’incuber et de se rendre dans les poumons.
L’étude a révélé que la charge virale moyenne était significativement plus faible dans le groupe NONS d’un facteur de 16,2, dans ce que les auteurs de l’étude ont décrit comme une « diminution accélérée », tandis que près de la moitié de ceux qui ont rempli un questionnaire post-étude ont déclaré se sentir mieux contre 8% du groupe placebo.
La concentration moyenne d’ARN du SRAS-CoV-2 était inférieure sur ceux qui avaient pris le traitement NONS d’un facteur de 16,2 aux jours 2 et 4. Une réduction rapide (95 %) de la charge virale du SRAS-CoV-2 a été observée dans les 24 heures, avec une réduction de 99 %, observé dans les 72 heures avec les traitements NONS. L’efficacité clinique du spray nasal à l’oxyde nitrique (NONS) pour le traitement de l’infection légère au COVID-19 est un succès.
De plus, il n’y a pas eu d’effets indésirables graves avec le spray nasal.
« Le traitement par NONS dans cet essai s’est avéré efficace et sûr pour réduire la charge virale chez les patients présentant une infection COVID-19 légère et symptomatique », lit-on dans l’étude. « Les patients du groupe de traitement NONS ont présenté des charges virales, telles que déterminées à partir des tests PCR d’échantillons d’écouvillonnage du nez et de la gorge, qui étaient inférieures aux jours 2 et 4 d’un facteur de 16,2 par rapport à celles du placebo, et la résolution des symptômes s’est également avérée plus rapide avec le traitement NONS qu’avec le placebo dans cette étude. »
Des charges d’ARN du SARS-CoV-2 plus faibles chez les patients atteints de NONS peuvent être bénéfiques dans la prévention de la transmission du SARS-CoV-2. Il a été décrit que des charges virales plus élevées chez les patients atteints du SRAS-CoV-2 plus tôt que le SRAS-CoV peuvent avoir contribué à de plus grandes difficultés à réduire la transmission. De plus, il a été observé que le risque de COVID-19 symptomatique était associé aux niveaux d’ARN du SRAS-CoV-2 des contacts et que le temps d’incubation était raccourci indépendamment du moment où la dose a été prise.
L’élimination accélérée du SRAS-CoV-2 avec le NONS peut réduire la durée des symptômes, la période d’infectiosité, les hospitalisations et la gravité de la maladie. Par conséquent, cette étude pourrait être utilisée comme preuve à l’appui de l’utilisation d’urgence de NONS pour les patients atteints d’une infection légère au COVID-19.
Selon SaNOtize , des chercheurs de l’Utah State University ont réussi à tuer 99,9% du SRAS-CoV-2 dans une boîte de Pétri en deux minutes.
La société, dont le conseil d’administration comprend le professeur Ferid Murad de l’Université de Stanford – qui a remporté le prix Nobel en 1998 pour la découverte des propriétés de l’oxyde nitrique, a signé un accord avec la biotech indienne Glenmark au début du mois pour fabriquer, commercialiser et distribuer le NONS dans toute l’Asie, comme à Singapour, en Malaisie, à Hong Kong, à Taïwan, au Népal, à Brunei, au Cambodge, au Laos, à Myanmar, au Sri Lanka, à Timor-Leste et au Vietnam.
Selon le directeur scientifique de SaNOtize, le Dr Chris Miller, le spray nasal est une prévention « post-exposition » semblable à un désinfectant pour les mains.
« Si vous êtes à l’extérieur, à proximité de personnes et que vous pourriez être infecté, vous pouvez utiliser le spray et réduire le nombre de virus dans le nez, avant qu’il ne devienne une infection à part entière. Nous avons montré que même lorsque les gens ont un taux très élevé de charge virale, le spray peut réduire considérablement la charge virale », a déclaré Miller en mai.
Source:zerohedge
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Ben… j’ai mal lu le truc avant: il s’agit d’OXYDE nitrique ET NON d’ACIDE nitrique….
Je me disais aussi… 🙂
C’est vrai aussi que certaines catégorie de gens sniffent n’importe quoi (j’en ai connu); et je ne sais pas vraiment ce qu’est « l’acide » dont ils parlent (je n’en n’ai jamais vu de près, et ça ne me manque pas).
D’où l’erreur… 🙁
Pour moi, rien que d’imaginer de l’acide nitrique dans mes narines… excusez-moi, mais sans moi!
Merci bien.
Pour faire de la poudre noire, l’acide nitrique, c’est possible, (toujours pas dans le nez), mais pour sniffer, j’ai un doute!
Surtout s’il s’agit de tuer des virus imaginaires.
Pour les essais, je vous laisse passer devant.
Bon, j’ai mal lu: Il s’agit d’oxyde et non d’acide…
J’me disais aussi…
Certaines personnes sniffent n’importe quoi, ok, mais quand-même! :-))
De l’acide… c’est pour le coup que ça désinfecte! :-))
C’est bien ces nouveaux médicaments mais on ne sait pas si il y’a des effets secondaires… L’ivermectine ou hydroxychlorochine et azythromicine sont quasiment sans aucun risque, donc personnellement je prendrais cela plutôt que des nouveaux traitements mais bon il faut avoir le choix etc…
En tout cas on va déjà un peu plus dans la bonne direction si ça peut éviter les thérapies géniques expérimentales.