Les produits dérivés ont permis aux grandes banques d’investissement d’engranger de l’argent pendant des décennies. Aujourd’hui, la quasi-totalité des transactions sont réalisées sous la forme de produits dérivés. Très peu de portefeuilles sont constitués d’instruments sous-jacents. Au lieu de cela, tous les portefeuilles d’actions, les ETF, les fonds aurifères, etc. utilisent des produits dérivés ou des instruments synthétiques. En outre, les marchés des intérêts et des devises sont tous des produits dérivés. Le portefeuille d’Archegos, par exemple, était composé de dérivés de crédit sur transfert de rendement (Total Return Swaps -TRS).
Comme nous venons de le voir, lorsque les produits dérivés implosent et que les titres sous-jacents sont cédés par le courtier principal à un prix quelconque, les pertes sont instantanées et irréparables.
Pourtant, la contagion a été évitée cette fois-ci, les banques ayant assumé toutes les pertes. Mais ce ne sera pas le cas la prochaine fois, lorsque ce ne seront pas seulement 30 milliards $ de produits dérivés qui imploseront, mais des multiples de ce montant.
Source: or.fr
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