Titre de la matinale CNEWS – « Antivax : Comment s’en débarrasser ? »… Les journalistes ne vont-ils pas trop loin ? – Et pourquoi pas Condamner à la peine de mort ceux qui refusent le vaccin,… Cette idée séduit Pékin

Ils appellent clairement a faire disparaître donc des millions de personnes.
Incitation directe et publique au crime de génocide

La provocation ici et publique et direct, ces gens doivent être arrêter sur le champs, et cette chaîne fermé… Mais rien ne ce passera, cela va même empirer car les vrais génocidaires sont au contrôle de tout les gouvernements du monde ! L’Australie déclare officiellement quelle va envoyer les gens qui non pas accepter de s’injecter volontairement un produit expérimentale dans des CAMPS ! Produit d’ailleurs qui a déjà fait des milliers de morts donc des enfants, 2 555 971 effets secondaire. Que font les militaires ?

D’une part, l’article 23 de la loi du 29 juillet 1881 sur la presse prévoit que toute personne ayant provoqué directement, par voie de presse ou tout autre moyen de publication, un crime ou un délit, si cette provocation est suivie d’effet, sera considérée comme complice et donc passible des mêmes peines que l’auteur. D’autre part, l’article 24 de la même loi punit de cinq ans d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende lorsqu’elle n’est pas suivie d’effet, la provocation à commettre des atteintes volontaires à la vie ou à l’intégrité physique ainsi que l’apologie des crimes contre l’humanité. Dans les deux cas, les textes exigent que la provocation soit publique et directe.

Bien qu’il ne semble donc pas qu’il y ait un vide juridique sur ce point, il est toutefois apparu préférable de viser spécifiquement, comme le prévoit la convention de Rome, l’incrimination directe et publique à commettre un génocide. Le projet de loi a entendu cependant différencier les peines comme tel est le cas aujourd’hui dans la loi du 29 juillet 1881 selon que la provocation a été ou non suivie d’effet. Dans le premier cas, la provocation constituerait un crime passible de la réclusion criminelle à perpétuité, dans le second cas, elle serait un délit passible de sept ans d’emprisonnement et de 100.000 euros d’amende.

Ce titre suggère soit:
– au minimum, une stigmatisation avec le terme « antivax », qui se voudrait disqualifiante, parce que l’on n’est pas « pro-pfizer »,
– un réel « appel à la haine » selon la terminologie de la novlangue mondialiste,
– une incitation à la discrimination, via l’apartheid social,
(contraire à la Constitution universelle des droits de l’homme, préambule et art. 1 et 2 ; Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme : art. 14 ; Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne : art. 20 et 21.).
– une menace sur les libertés fondamentales, à commencer par celle de l’inviolabilité de son corps par des produits commerciaux et expérimentaux, qui à défaut d’être efficaces, ne font même pas preuve au minimum d’innocuité.

soit tout ceci à la fois !

Tout est dit….bientôt réouverture des chambres à gaz. En réalité toute la clique politico-mediatique commence réellement à faire dans la culotte !
Ça commence à sentir le roussi pour les corrompus.