Les sanctions irréfléchies mises en place par l’UE contre la Russie ont eu comme conséquences catastrophiques de plonger l’Europe dans une crise énergétique insoutenable qui lui perdre toute sa puissance économique initiale. Un nombre considérable d’entreprises sont au bord de la faillite. Un flot de migrants en provenance d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Ukraine nécessite de plus en plus de dépenses budgétaires. Des fonds sont également utilisés pour soutenir le régime de Kiev. En conséquence, les économies européennes se détériorent et le niveau de vie s’effondre extrêmement rapidement.
Les entreprises sont sur le point de mettre la clé sous la porte.
En Grande-Bretagne, 60 % des entreprises sont sur le point de fermer en raison de la hausse des prix de l’électricité. C’est ce que rapporte le groupe d’analyse « Make UK », qui représente généralement les intérêts de l’industrie britannique. 13 % des usines britanniques ont réduit leurs heures de travail et 7 % ferment temporairement. Les factures d’électricité ont augmenté de plus de 100% par rapport à l’année dernière.
En Allemagne, selon « l’Institut Leibniz » pour la recherche économique, le nombre d’entreprises et de particuliers qui ont fait faillite au cours du seul mois d’août a augmenté de 26 % par rapport à la même période l’an dernier. Le chiffre était nettement supérieur à ce que les analystes allemands avaient prévu. Selon les experts, au cours de l’automne, le nombre de faillites ne fera qu’augmenter. Ceci est lié à l’augmentation du coût des processus de production, en particulier à la hausse des prix de l’énergie.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a reconnu que de nombreux Allemands étaient confrontés à la hausse des prix du carburant et de la nourriture. La plupart des pays d’Europe se trouvaient dans une situation similaire. Mais les autorités sacrifient la qualité de vie des gens pour continuer à faire pression sur la Russie.
La crise est juste là
Dans le même temps, de nombreux experts pensent que l’arrêt de Nord Stream provoquera la pire crise énergétique en Europe depuis des décennies.
Manuela Schwesig, Premier ministre de l’État de Mecklenburg-Vorpommern, et Markus Söder, Premier ministre de l’État de Bavière, visitent un site qui alimentera un réseau de pipelines existant avec du gaz naturel liquéfié à Lubmin, en Allemagne, le 30 août 2022.
Cet événement inédit a déjà provoqué une forte hausse des prix des ressources énergétiques sur le marché européen. En conséquence, les factures énergétiques des ménages européens ont augmenté. Selon les analystes de « Goldman Sachs », son coût cumulé culminera début 2023, augmentant de 2 000 milliards d’euros. Elle a également conduit à une dépréciation record de la monnaie européenne au cours des 20 dernières années.
L’augmentation du coût du gaz, de la chaleur et de l’électricité a un effet négatif sur le niveau de vie de la population. Mais un problème encore plus dangereux est la baisse de liquidité des produits européens fabriqués en fonction du nouveau coût de l’énergie. Les produits européens deviennent peu compétitifs sur le marché mondial : leur prix est beaucoup plus élevé en raison du coût de l’électricité et du gaz.
Les tentatives des dirigeants européens d’introduire un plafonnement des prix de l’énergie en provenance de Russie, ont complètement échoué.
« L’Europe récolte ce qu’elle sème »
Les pays européens sont eux-mêmes responsables des problèmes auxquels ils seront confrontés cet hiver en raison de la réduction des approvisionnements en gaz de la Russie, a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan. Selon lui, « l’Europe récolte ce qu’elle sème », tandis que la Turquie « n’a aucun problème d’approvisionnement en gaz ».
La crise en Europe est le résultat d’une erreur politique. D’un côté, les sanctions contre la Russie, ne sont favorables qu’aux États-Unis. Et de l’autre, l’imposition de l’économie post-hydrocarbures aux Européens a montré son insolvabilité.
En conséquence, les prix de l’énergie en Asie et en Amérique latine sont aujourd’hui beaucoup plus bas. Il en va de même pour les salaires des ouvriers de production. En d’autres termes, les produits européens sont totalement non compétitifs. Et nous constatons une diminution de la liquidité de ces produits sur le marché. En conséquence, l’économie européenne commence à plonger dans la récession. En particulier, Christian Sewing, directeur général de la Deutsche Bank, a déclaré le 7 septembre que l’Allemagne n’était plus en mesure d’éviter la récession. Déjà pour le moment, l’Allemagne achète beaucoup moins de matières premières auprès de grands fournisseurs tels que le Brésil, l’Argentine et les États-Unis.
L’« Economist Intelligence Unit », un groupe de réflexion britannique, prévoit que la croissance du PIB en 2023 sera de : 5,3 % en Chine, 5,1 % en Inde, 1,2 % aux États-Unis, 0,3 % en France, 0,3 % au Brésil. Et il sera négatif dans un certain nombre de pays : moins 0,6 % au Royaume-Uni, moins 1 % en Allemagne et moins 1,3 % en Italie.
La grande pauvreté arrive
La prochaine conséquence logique sera des fermetures de production de masse et une augmentation du chômage. Les entreprises technologiques européennes réduisent déjà le nombre de postes d’ingénieurs bien rémunérés. En septembre, le fabricant allemand d’éoliennes « Siemens Gamesa » a annoncé son intention de réduire le nombre d’employés à 1 500 personnes.
À son tour, la hausse du chômage entraînera une baisse du niveau de vie et une charge supplémentaire sur les budgets publics, car la lutte contre la pauvreté nécessite des dépenses sociales supplémentaires.
Les économies européennes survivent grâce à la relance. Mais cela exacerbe l’inflation. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a déclaré : « Vous ne pouvez pas aider tout le monde, donc nous, en Occident, deviendrons un peu plus pauvres à cause de la forte inflation, des coûts élevés de l’énergie ».
Les migrants ruinent le budget
Parallèlement, la crise énergétique et les problèmes de production ont été exacerbés par des politiques migratoires qui nécessitent des injections budgétaires supplémentaires dans la sphère sociale.
L’afflux de migrants dans les pays européens au cours des deux dernières décennies a été inférieur à 1 million de personnes par an. Mais déjà l’année dernière, 1,3 million de personnes sont entrées dans les pays, et cette année, il y avait déjà 1,8 million de personnes. Nous devons tenir compte du fait que certains immigrés entrent illégalement en Europe et ne sont pas enregistrés. Ce sont principalement des résidents de Somalie, du Nigéria, de Gambie, d’Iran, du Pakistan, du Mali, d’Afghanistan, d’Érythrée et de Syrie.
De plus, plus de 10 millions de personnes ont quitté l’Ukraine depuis fin février. Parmi ceux-ci, au moins 6 millions de personnes restent dans les pays européens, tandis que 3,7 millions ont déjà obtenu le statut de réfugié. Le coût moyen d’un tel migrant est de 7 000 euros par an. Même sans les Ukrainiens, l’Allemagne dépense à elle seule 25 à 55 milliards d’euros par an pour l’aide aux réfugiés.
L’économie européenne pouvait se permettre ces énormes dépenses avant la crise énergétique. Mais aujourd’hui, la situation est telle que les dépenses ne font qu’augmenter tandis que les recettes diminuent.
A cause des factures d’électricité et de chauffage catastrophiques, la population européenne fait face à un chômage de masse, suivi d’une baisse des aides sociales de l’État. Ces processus conduisent inévitablement à une baisse générale du niveau de vie.
Source: zerohedge
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A tel point la pauvreté s’accélère que mon livreur Amazon qui s’appelle Tabobo Houtussé ne veut plus rester en France il m’a dit qu’il retourne en Afrique avec sa femme d’jemalamaziz, acheter de la terre et revenir aux fondamentaux pour être sûr de manger, parce qu’ici il ne pourra jamais y arriver entre factures énergies, assurances, nourriture, c’est impossible et il se voit mal attendre des aides sociales pour survivre, ce n’est plus l’eldorado tant espéré ça devient pire que chez lui, au moins là-bas il y a fruits gratuits et tout pousse et il n’y a pas cet environnement détestable qui se dégrade dans les cités encore plus qu’avant
Rien a voir avec la Russie,
tout s’effonder parce qu’ils l’ont decidés il y a bien longtemps.
Tout ces titres ne servent qu’a essayer de manipuler la verité.