A une époque antérieure, les Soviétiques disposaient d’un réseau étroitement contrôlé d’internationalistes connu sous le nom de « COMINTERN » pour promouvoir leur modèle communiste en Europe et au-delà.
Dans l’état actuel des choses, les Chinois rouges les ont améliorés : ils ont la chance d’avoir Klaus Schwab.
Le fondateur et président du Forum économique mondial, Klaus Schwab, s’est récemment entretenu avec un média d’État chinois et a proclamé que la Chine était un « modèle » pour les autres nations.
Schwab, qui a 84 ans, a fait ces commentaires lors d’une interview avec Tian Wei sur « CGTN » en marge du sommet des PDG de l’APEC de la semaine dernière à Bangkok, en Thaïlande.
Schwab a déclaré qu’il respectait les « énormes » réalisations de la Chine dans la modernisation de son économie au cours des 40 dernières années.
« Je pense que c’est un modèle pour de nombreux pays », a déclaré Schwab, avant de préciser qu’il pense que chaque pays devrait prendre ses propres décisions sur le système qu’il souhaite adapter.
« Je pense que nous devons être très prudents dans l’imposition de systèmes. Mais le modèle chinois est certainement un modèle très attractif pour un certain nombre de pays », a déclaré Schwab.
Un modèle ? Un pays reconnu comme n’ayant aucune liberté, de faible mobilité sociale, de cotes de crédit social et de surveillance constante du gouvernement ? Qui diable, même parmi la foule des éveillés révolutionnaires, réclame ouvertement un modèle chinois pour son propre pays ?
La Chine est en fait une prison géante, avec du travail d’esclaves, des ateliers clandestins, des bas salaires, des confinements continus et de véritables laogay ou encore goulags. Défiez le gouvernement de quelque manière que ce soit et vous serez arrêté et emmené pendant des années et des années en un rien de temps. Dans le cas des Ouïghours, le simple fait d’être de la mauvaise nationalité suffit pour une telle punition.
Loin d’être un modèle attrayant, la Chine est un pays que les gens fuient. En 2019, selon les propres statistiques de la Chine, 11 millions de personnes se sont enfuies et ont déménagé dans d’autres pays juste pour s’en éloigner, avec environ un tiers venant aux États-Unis. La Chine a le troisième taux d’émigration mondial le plus élevé après l’Inde et le Mexique, et nous savons tous que ce qui se trouve à côté du Mexique sur son côté nord est ce qui les amène. C’est en grande partie la même chose avec la Chine.
Schwab, qui est un opérateur avisé, savait que son amour pour la Chine irait bien avec les journalistes-propagandistes d’État chinois, mais ne sonnerait pas trop bien pour quiconque entendrait la déclaration, alors il l’a nuancée avec des affirmations selon lesquelles chaque nation devrait choisir sa voie de gouvernance. Cela sonne creux, étant donné que le système qu’il préconise pour l’Occident exige explicitement qu’une élite du parti fasse tout le choix pour le peuple qu’elle gouverne d’une main de fer. Quant à la Chine elle-même, eh bien, les Chinois ont-ils pu choisir l’horrible système dans lequel ils vivent ? Non, en 1948, Mao Zedong, aidé par, surprise, le « COMINTERN », s’est frayé un chemin vers le pouvoir et a imposé par la force son régime brutal à la Chinoise, sans n’y avoir rien changé depuis.
Il semble que l’ancien « COMINTERN » rira toujours le dernier. Car qui aurait imaginé que d’ici 2023, que le chef du Forum économique mondial, fils d’un homme ayant au moins quelques liens nazis, soit en train de mettre en avant le modèle chinois en le respectant notamment, utilisant le prestige de son organisation internationale comme crédibilité pour influencer les grandes entreprises et divers militants et ONG qui ont complètement succombé aux vues de la gauche.
Cette organisation devrait être rejetée comme le complice d’une dictature immonde, mais d’une manière ou d’une autre, avec toutes ces belles montagnes, cette bonne nourriture et ces bons aéroports de jets privés en Suisse, où se tiennent la plupart des réunions exclusives et coûteuses du WEF remplies de milliardaires qui puent avec leur argent.
L’organisation de Schwab a infiltré l’industrie, parfois avec de réels intérêts monétaires, a influencé beaucoup d’autres à adapter le « capitalisme des parties prenantes » qui est le projet favori de Schwab, et a influencé d’autres à s’adapter à ce qu’on appelle la « réinitialisation » mondiale. Naturellement, ils sont tous pour le contrôle gouvernemental provoqué par la « menace » du réchauffement climatique, qui est complètement faux. Des questions sur les raisons pour lesquelles les entreprises se sont à ce point ralliées à cette nouvelle vision du monde ? On dirait que tout tourne autour de ces banquets et talkfests fantaisistes à Davos, en Suisse. À l’heure actuelle, Schwab force le gouvernement suisse à obtenir des logements plus luxueux, tout en ne leur payant pas d’impôts, avec la menace d’emmener son émission à Singapour s’ils ne le font pas. (Voir la ‘ Critique’ de sa page Wikipédia en bas). Cela ressemble à un gars qui a l’intention de parler et d’essayer de convaincre les autres élites du monde entier des vertus de la Chine ?
Quant aux liens nazis de Schwab, ils ne sont probablement pas aussi forts que certains le prétendent sur Internet, mais ils sont déjà assez mauvais : d’après ce que dit Wikipédia, le père suisse de Schwab dirigeait une entreprise en Allemagne nazie qui utilisait des esclaves et du travail forcé, ce qui prouve assez clairement de quel côté il était. Même si une telle entreprise ne l’avait pas fait, les nazis ne l’auraient guère gardé à la tête d’une entreprise s’ils ne lui avaient pas fait entièrement confiance, car le fascisme est une question de domination étatique des entreprises. Sur sa page Wikipédia, il est dit que la mère de Schwab a été surveillée et interrogée par la Gestapo à cause de son accent suisse. Que les nazis n’aient pas fait ça au père, qui dirigeait une entreprise dirigée par les nazis, nous dit en quelque sorte que la Gestapo ne le considérait pas cela comme un problème.
Il semble que les anciennes valeurs nazies de corporatisme et de « réinitialisation » aient pu déteindre sur Klaus, qui a 83 ans, si un tel argument peut être avancé. Les gens ne peuvent pas contrôler qui étaient leurs parents, mais si le vieux père était effectivement ami avec les nazis, il serait peut-être impératif de ne pas adopter l’une de ces idées particulières, et encore moins de les défendre.
Mais bien sûr, Schwab plaide maintenant pour le contrôle des entreprises et de l’État sur toutes les nations libres de l’Occident, qui se distinguent peu de ce que les nazis et leurs alliés communistes (lire : COMINTERN) ont recherché pendant des décennies pour l’Occident. L’envie de tuer la liberté est très présente dans ce groupe.
Maintenant, ils n’essaient même plus de le cacher – ils louent ouvertement le modèle communiste chinois et plaident pour son imposition, qualifiée par choix (comme si avec des élections truquées, le choix était pertinent) comme si de rien n’était. Le masque sur ces personnes, en effet, n’a plus lieu d’être.
Source: zerohedge
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