97.000 milliards.
C’est un nombre qui fait beaucoup parler de lui depuis le début du mois de novembre.
C’est grand ! C’est énorme !
C’est en moyenne la quantité de bactéries qui vivent bien au chaud dans notre système digestif.
C’est aussi à quelques milliards près, le nombre minimum de galaxies dans l’univers, et de grains dans 1.000 mètres cubes de sable.
C’est presque la valeur du plus gros billet de banque jamais imprimé, émis par l’Etat du Zimbabwe jusqu’en 2015, ou encore le PIB mondial de 2021, soit la somme de toutes les richesses créées sur la planète en une année, et c’est aussi le total de l’épargne mondiale sous gestion placée dans les livres des banques et des gestionnaires d’actifs.
Mais 97.000 milliards, fin octobre 2022, c’est surtout le montant colossal d’une dette jusqu’ici ignorée, et révélée dans un rapport de la BRI, la Banque des Règlements Internationaux.
Les Etats-Unis et leurs 32.000 milliards de dette publique peuvent aller se rhabiller, car aujourd’hui, la palme revient aux institutions non bancaires et aux fonds de pension qui naviguent au bord d’un gouffre abyssal trois fois plus grand.
Huge, hidden and missing, ou en français : énorme, cachée et manquante, c’est comme ça que la BRI parle d’elle.
Cette énorme dette n’est pas comptabilisée dans les quelque 260.000 milliards qui apparaissent clairement dans les bilans des banques et sociétés du monde, elle se cache dans ce qu’on appelle le hors bilan, et n’apparaît pas dans les statistiques des banques centrales qui ne peuvent pas en tenir compte dans leurs politiques.
Dans le contexte inflationniste dans lequel nous vivons actuellement, un montant pareil a de quoi faire peur, et la nouvelle est largement commentée dans tous les couloirs des institutions financières mondiales.
Alors. Qu’est-ce que ça veut dire exactement ? Y a-t-il un risque pour le système financier et pourquoi est-ce un problème ?
Je vous dis tout dans quelques instants et pour l’occasion, nous repartons faire un tour sur le marché des changes, parce que c’est là que ça se passe.
En 2010-2012 un économiste ( finlandais ou norvégien, de mémoire hein) avait calculé le dette réelle de la Fr toutes confondues, privées/publiques ; entre 550 et 600% du pib soit en 2012 dans les 10 000 milliards d’euros de dettes..
C’est ainsi que l’on découvre comment ils la cache aux yeux des bulots ; c’est très simple, ils externalisent quelques dettes vers des organismes théodules d’état effacant alors artificiellement une dette. L’organisme est alors en charge de payer partie de dette, je vous laisse devinez comment.
C’est rien du tout!
la BNS (Banque Nationale Suisse) a perdu 145 000 milliards de dollars en une année et tout le monde s’en fout!
C’est supérieur à la totalité des montants versés par les usa pour soutenir la guerre du clown ukronaze joueur de piano à queue.
Entendu à la radio: ça ne fait rien: La BNS ne fera pas faillite car elle a le privilège d’imprimer autant d’argent qu’elle veut à partir de rien!
Quid de la dévaluation du Frs? Rien! Circulez, y’a rien à voir!
Et La BNS encourage les Banques à augmenter plus fortement les intérêts d’emprunt, notamment hypothécaires.
ça coûte rien: C’est les impôts qui paient
Elle est pas belle, la vie?
Non, je confonds: c’est 145 milliards de pertes pour la BNS, etc’est déjàpasmal pour un pays de +/- 5 100 000 personnes actives en 2021, ce qui représente 67 650 $ de perdus pour chaque personne active du pays,
Soit près du triple de ma retraite annuelle.
Ah! Quand-même!
En 2010-2012 un économiste ( finlandais ou norvégien, de mémoire hein) avait calculé le dette réelle de la Fr toutes confondues, privées/publiques ; entre 550 et 600% du pib soit en 2012 dans les 10 000 milliards d’euros de dettes..
C’est ainsi que l’on découvre comment ils la cache aux yeux des bulots ; c’est très simple, ils externalisent quelques dettes vers des organismes théodules d’état effacant alors artificiellement une dette. L’organisme est alors en charge de payer partie de dette, je vous laisse devinez comment.
C’est rien du tout!
la BNS (Banque Nationale Suisse) a perdu 145 000 milliards de dollars en une année et tout le monde s’en fout!
C’est supérieur à la totalité des montants versés par les usa pour soutenir la guerre du clown ukronaze joueur de piano à queue.
Entendu à la radio: ça ne fait rien: La BNS ne fera pas faillite car elle a le privilège d’imprimer autant d’argent qu’elle veut à partir de rien!
Quid de la dévaluation du Frs? Rien! Circulez, y’a rien à voir!
Et La BNS encourage les Banques à augmenter plus fortement les intérêts d’emprunt, notamment hypothécaires.
ça coûte rien: C’est les impôts qui paient
Elle est pas belle, la vie?
Non, je confonds: c’est 145 milliards de pertes pour la BNS, etc’est déjàpasmal pour un pays de +/- 5 100 000 personnes actives en 2021, ce qui représente 67 650 $ de perdus pour chaque personne active du pays,
Soit près du triple de ma retraite annuelle.
Ah! Quand-même!