Le prix du diesel va peu à peu augmenter et présentera à terme un risque de pénurie, mettant dans une situation économique et sociale catastrophique une large partie de ce que l’on appelle la « France périphérique » tout en contribuant à accroître l’inflation.

C'est la conséquence des nouvelles sanctions de l'#UE contre la #Russie

Le 5 février, c'est l'entrée en vigueur du #CapPrice sur les produits pétroliers transformés (issu de raffineries) venant de #Russie, en particulier le diesel.
Il est fixé à un maximum de 100$ par barril.
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— Georges Kuzmanovic 🇨🇵 (@Vukuzman) February 4, 2023

L'idée de l'#UE est que:
➡️Le prix de 100$ le barril permette aux intermédiaires de continuer à livrer l'UE à bas prix
➡️L'Asie n'achète pas le diesel russe, profitant d'un brut peu cher.
Objectif: faire perdre 160 millions de $ par jour à la Russie
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— Georges Kuzmanovic 🇨🇵 (@Vukuzman) February 4, 2023

De la même manière la Russie interdira demain ou lundi de livrer les pays imposant le #PriceCap sue le diesel.

Mauvaise nouvelle pour les citoyens de l'#UE : l'#UE importe 40% de son diesel depuis… la Russie😬

2ème mauvaise nouvelle : 99% des poids lourds roulent au diesel
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— Georges Kuzmanovic 🇨🇵 (@Vukuzman) February 4, 2023

Comme les précédentes sanctions, tout cela sent l'impréparation et surtout le wishful thinking.

Résultat : un effet médiocre sur l'économie russe qui va plutôt bien et… dès conséquences potentiellement désastreuses sur l'économie européenne et au final ses citoyens.
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— Georges Kuzmanovic 🇨🇵 (@Vukuzman) February 4, 2023

La réalité est que cette sanction mal ficelées et reposant sur des vœux pieux plutôt qu'une stratégie mûrement réfléchie ne conduisent à une récession plus grave encore en Europe.

Mettez vos casques, Von de Layen est aux commandes 👷‍♂️
FIN

— Georges Kuzmanovic 🇨🇵 (@Vukuzman) February 4, 2023

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