Comment depuis 2020 les mondialistes ont mis en scène un chaos global pour dissimuler leur culpabilité politique et économique dans la banqueroute du système monétaire occidental ?
« Souvent les gens ne veulent pas voir, entendre et parler de vérité parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions soient détruites », Friedrich W. Nietzsche
Et pourtant, depuis la création de l’Union Européenne en 1992 et les promesses politiques de prospérité et de paix faites par tous les présidents français – de F. Mitterrand à E. Macron -, c’est tout l’inverse, la France se disloque, les français se déclassent, le pays perd son âme et régresse à la 7ème place des grandes économies de l’OCDE.
Quant à la population occidentale abreuvée par la propagande officielle, elle vit dans une « illusion de richesses illimitées » et d’une mondialisation heureuse imaginaire, assise sur une pyramide financière mondiale sans précèdent dans l’histoire. Pyramide délirante, composée en 2022 de 2,3 quadrillions de dollar US (2300 millions de milliards $) de dettes publiques / privées et de finance toxique (produits dérivés), sans aucune commune mesure avec la croissance réelle du PIB mondial (75 millions de milliards $).
A cause des excès de ce modèle économique « ultralibéral mondialisé » et de ses risques systémiques gigantesques, les peuples victimes sont rentrés dès 2020 dans un processus de chaos global et de désintégration financière que je résume par le terme de « banqueroute » généralisée du Système Monétaire International SMI. Cette banqueroute cachée derrière tous les faux prétextes mondiaux possibles touchera tous les pays occidentaux surendettés, les puissants et misérables, les riches et pauvres, les jeunes et vieux. Ce sera une confusion et un désordre total.
Cette situation de chaos général et d’événements extraordinaires successifs volontairement dramatisés par des mondialistes cyniques au pouvoir (Etats, UE, FED, BCE, OMS,FMI,ONU,BM, OMC, Forum Economique Mondial, ONG, médias subventionnés,…), ne sont pas le fruit du hasard. C’est au contraire une « stratégie de la peur et de la culpabilité » savamment orchestrée contre les peuples par – des cabinets de conseil américains – et « l’élite dirigeante », pour garder le contrôle du système financier et poursuivre leur spéculation effrénée sur les marchés financiers.
La finance spéculative mondiale bien connue pour son « altruisme » (Soros, Gates, Fink, Rothschild,), soucieuse d’avoir toujours de nouveaux relais de rentabilité économique et d’enrichissements, s’est inventée des « causes humanistes et démocratiques » contre tous les dangers planétaires, en vue de maintenir le stratagème de refinancement public des nations, pour mieux piller leurs richesses financières. Et selon eux, ces motifs légitimes de surendettement public seront bien compris des citoyens résignés qui accepteront les sacrifices de l’austérité, de l’inflation des prix, du saccage social de leur système de protection (santé, assurance-chômage, assurance-retraite, Pol. Familiale), de la casse des services publics (éducation, sécurité, défense, justice,..) et le corollaire : l’invasion migratoire de l’Europe voulue par l’ONU et l’UE via le « Pacte de Marrakech ».
Parallèlement, l’objectif tactique des dirigeants politiques, des institutions supranationales, des banques et des multinationales est de faire baisser les taux d’emprunt et d’augmenter de manière exponentielle l’impression de monnaie fiduciaire (devises : $, €, £.. ) des banques centrales (FED, BCE, BoE, BoJ,..), de dettes publiques pour faire semblant de lutter contre cette avalanche de crises (sanitaire, énergétique, écologique, géopolitique, obligataire, technologique, crypto krach..) inédites dans un laps de temps aussi court.
Peu importe si cette planche à billet d’argent gratuit génère une inflation des prix à la consommation (IPC) destructrice de la valeur de l’euro, de notre épargne et de notre pouvoir d’achat. Inflation qui ne date pas, contrairement au discours de E. Macron et B. Lemaire, de la guerre en Ukraine, mais selon Eurostat d’octobre 2020. La désindexation de la boucle salaires /prix par les socialistes J. Delors et F. Mitterrand il y a 40 ans ne suffisait pas pour les ultralibéraux cupides, il fallait encore du sang et des larmes pour accroitre la rémunération du capital ; Le cynisme absolu des dirigeants nuisibles est de tenir un double discours politique pour faire croire aux citoyens que les gouvernements et la banque centrale luttent contre l’inflation, alors même que l’inflation en 2022 est précisément le but ultime recherché, jusqu’à l’asservissement complet des peuples paupérisés. L’inflation 2021 ne devait-elle pas être provisoire ? Et en 2023 le pic d’inflation serait derrière nous ? Evidemment ne croyez jamais ces mensonges politiques.
En effet, depuis 2019 la décision d’instrumentaliser l’inflation dans le cadre du plan dénommé « Great Reset » a été délibérée de la part de la caste financière grâce à l’outil des banques centrales. Le Great Reset, théorisé par l’allemand Klaus Schwab président de l’ONG Forum économique mondial, c’est le terme qui désigne la remise à zéro du « capitalisme », et de tous les compteurs comptables, mais également le fabuleux héritage de notre société évoluée : l’histoire, la civilisation, la culture, les identités nationales, quitte à ruiner et à déposséder les peuples de leur patrimoine, en basculant dans un régime politique capitalo-communiste à la mode chinoise. C’est une gigantesque entreprise de destruction généralisée du système pour mieux en garder le contrôle et basée sur la devise « Ordo ab chao » (l’ordre naît du chaos).
Pour imposer aux peuples un tel régime autoritaire inacceptable en temps normal, il faut recourir au ressort psychologique des grandes peurs par des événements « extra » ordinaires et exogènes. La maxime ne dit-elle pas: « Agiter le peuple avant de l’asservir » ? C’est ainsi que de faux « alibis » sont nécessaires pour générer de l’émotion collective dans la population angoissée, qui réclamera aveuglement la protection de l’état prétendu – providence -.
Trois chocs mondiaux dans ce processus de chaos programmé par « l’élite » mondialiste :
- Choc numéro 1 : Le « Coronalibi » de l’épidémie COVID-19
L’économie mondiale fut paralysée et déstabilisée durant 2 ans à cause d’un virus « mortel »: le COVID-19. Bien que le risque de surmortalité supposée dût être dantesque selon le concert des gouvernements et des médias, en réalité les décès furent de 0,06% contre quelque 50% de la population mondiale qui a péri de la peste au milieu du XIVème siècle.
Au nom de la « science », nous avons subi: Couvre-feu, enfermements en quarantaine, des injections de produits expérimentaux (ARNm) dits -vaccins- et rappels, passeports covid, écoles fermées, entreprises et industries fermées, faillite de la santé publique, pénuries de main d’œuvre, de composants, de produits manufacturés, fermeture des frontières, bureaucratie et tests à gogo.
La facture budgétaire elle fût considérable : le fameux « quoi qu’il en coûte » du – Mozart de la finance E. Macron – s’élève pour la France à 550 milliards d’euros en 2 ans, au bénéfice des grandes firmes pharmaceutiques (Pfizer, Moderna,..).
- Choc numéro 2 : le « Climalibi » ou le dogme du réchauffement climatique
Pour contrecarrer les effets pervers du mondialisme et grâce à une propagande scientifique abondante, la caste apatride des banquiers d’affaires -Rothschild, Rockefeller – (à l’initiative de la fondation Global Environment Facility, GEF) a dû recourir depuis 30 ans au spectre du « réchauffement climatique » (exclusivement d’origine humaine), destructeur de l’écologie et de notre environnement, afin de lancer la nouvelle religion d’état des verts : la « transition écologique » et leur marotte des véhicules tout électrique. Excellente excuse pour tenter d’affaiblir la Russie dont 50% de l’économie repose sur l’énergie fossile et même si l’Europe occidentale doit être sacrifiée. Cela explique aussi la chimère actuelle des « investissements dits verts » des entreprises, promue par Larry Fink, PDG du grand gérant d’actifs américain, BLACKROCK (créancier de la dette française et conseiller spécial de l’Elysée dans la réforme des retraites).
Ce dogme basé sur l’idéologie de l’effet de serre climatique dû aux émissions de CO2 doit, au nom des mesures de sobriété COP21 et COP27, justifier du sabordage de la filière nucléaire comme en France, de la hausse des prix des matières premières et de l’énergie (céréales, engrais, acier, aluminium, étain, cuivre, cobalt, lithium, nickel, manganèse, pétrole, gaz, charbon) voire de la réduction des terres agricoles ou encore de la délocalisation énergétique de nos ETI et PMI vers des zones à bas couts énergétiques (USA, Afrique, pays de l’Est..).Signal de risque de récession économique profonde en Europe dès 2023 causée par la crise énergétique qui creuse le fossé économique entre l’Europe et les Etats-Unis. Il y a déjà pour les pays de la Zone euro une forte corrélation entre la dépendance énergétique, la chute de croissance du PIB et le taux élevé d’inflation des prix. En Allemagne, faute de gaz russe et de filière nucléaire, les prix de l’électricité ont bondi de 340 % en une année, mettant en péril ses industries exportatrices, dès 2023.
En France, le cout budgétaire du bouclier tarifaire 2022-2023 pour pallier l’explosion des prix des producteurs d’énergies s’élèvera à 110 milliards d’euros minimum.
- Choc numéro 3 : La guerre OTAN / Russie en Ukraine
L’affrontement militaire OTAN-Russie (le camp du Bien face au camp du Mal) qui se déroule en Ukraine est la conséquence directe d’une politique de « Dé dollarisation » depuis la crise de 2008, effectuée par la coalition non-occidentale du bloc des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud…) et pays alignés dont ses alliés producteurs de pétrole /gaz de l’OPEP, afin de se libérer définitivement de l’hégémonie du dollar US et de l’extraterritorialité planétaire du droit américain associé. Ainsi depuis 2010, la Chine et la Russie ont accélérés leurs ventes des stocks de bons du Trésor US et accumulent de l’or physique pour accroitre la stabilité monétaire du renminbi (yuan) et du rouble. Ajoutons, les sanctions économiques coercitives et unilatérales, coordonnées entre les Etats-Unis, ses vassaux les pays de l’Union Européenne et autres institutions (exclusion du système de paiement Swift, saisie des réserves russes de change en $, vol par l’occident des avoirs russes et jadis: irakiens, libyens, syriens, iraniens, afghans) ainsi que les menaces permanentes diplomatiques et militaires, contre la Russie. L’un des objectifs géostratégiques les plus importants des Etats-Unis en Europe depuis 1945 a toujours été de couper l’Europe, du gaz russe. En 1949 le premier Secrétaire général de l’OTAN, le Britannique Lord Hastings déclarait ceci: « L’OTAN est là pour garder la Russie en dehors de l’Europe, l’Amérique dedans et l’Allemagne à genoux ». Edifiant de réalité.
Une fragmentation voulue par les Etats-Unis entre les pays de l’Europe de l’ouest et l’URSS puis la Russie en 1991 pour empêcher la formation d’une superpuissance continentale « Eurasie ». Que l’OTAN n’ait pas hésité à se rendre coupable d’un acte de guerre – attentat dramatique mené par des drones sous-marins britanniques avec la complicité de la Suède et du Danemark, visant à la mise hors service des quatre oléoducs Nord Stream 1 et Nord Stream 2 – à l’encontre de son premier allié européen, l’Allemagne, permet de parler d’un acte de gangstérisme international caractéristique du gendarme mondial, évidement tout désigné, puisque cette affaire déloyale a vite été étouffée en « secret d’État ». Ceci explique l’enjeu hyper stratégique pour le bloc des Bric de passer d’un monde unipolaire à un monde multipolaire et multidevises, libéré de la suprématie monétaire et militaire américaine. Il s’agit de s’affranchir notamment des provocations militaires de l’OTAN en Ukraine depuis la violation des accords de Minsk, le coup d’état de Maïdan en 2014 et surtout pour les BRICs + de construire un nouveau système monétaire (basé en parti sur l’or) alternatif au SMI fondé depuis 1945 sur le dollar US, monnaie de réserve internationale. Dans ces conditions d’insoumission, la Russie est devenue ouvertement l’ennemi n°1 du bloc occidental.
Quant à l’Ukraine, depuis Zelenski, c’est le pays n°1 de la corruption politique des occidentaux, avec des pratiques dignes du syndicat du crime. Le circuit de blanchiment est assez simple et bien huilé: la plateforme numérique américaine FTX servait d’énorme caisse noire pour recycler les dons d’argent public à « l’effort de guerre en Ukraine » déversés à l’avide Zelenski par les USA, les états de l’OTAN et l’UE via la crypto monnaie virtuelle « FTT ». Charge à FTX de reverser aux démocrates US sous forme de contributions de campagne pour les aider à emporter les élections de mi-mandat; le Forum Economique Mondial de Davos est aussi suspecté. FTX qui curieusement a fait faillite frauduleuse au moment même des élections « mid term ».
Et ce soupçon de corruption active vise tous les dirigeants félons des pays du G7 (Biden, Johnson, Macron, Trudeau, Scholz, Draghi,..) ainsi que Ursula von der Leyen, la Présidente non élue de la Commission européenne, de connivence avec Zelinski. Rappelons à l’occasion de cette faillite de FTX que la crypto-finance n’est pas l’or du XXIe siècle et annonce probablement une contagion des faillites des cryptos, suivie de la banqueroute du SMI.
C’est ainsi qu’après l’armistice, de nombreuses firmes occidentales obtiendront les marchés publics de reconstruction de l’Ukraine. Et en avant-première, Larry Fink, PDG du gérant d’actifs BlackRock, vient de signer un accord à Washington avec le gouvernement ukrainien pour gérer tous les investissements financiers futurs. Décidément la guerre est bonne pour les affaires et la corruption, sur le dos des peuples !
Le cout budgétaire 2022 pour la France de la guerre en Ukraine est estimé à 20 milliards d’euros.
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Ainsi, le budget total de la France pour financer les dépenses de ces trois chocs systémiques se monte à 680 milliards d’euros en 2 ans, qui s’ajoute au stock de près de 3000 milliards d’euros de dette publique. De beaux profits financiers en perspective pour nos créanciers internationaux, les banquiers et les multinationales.
Dans ces conditions y aurait-il un agenda caché aux peuples ? Comment ne pas voir, pour un observateur attentif, que ces trois chocs convergents sont les chevaux de Troie des prédateurs mondialistes au pouvoir, dont les profits futurs des marchés financiers (Plus-values et dividendes) se nourriront des exubérances irrationnelles de nos dépenses budgétaires d’aujourd’hui ? Ne soyons plus les éternels perdants de ce « jeu de bonneteau » des mondialistes.
Au final, la mise en perspective de ces trois chocs dans l’agenda mondial prend tout son sens si l’on admet que la caste financière (le complexe militaro-bancaire anglo-saxon) a un besoin impérieux d’accroitre artificiellement la dette publique des nations afin de perpétuer leur « seigneuriage » par la servitude: l’esclavage pour dette des peuples pour servir la « rente perpétuelle » à la caste financière de Wall Street et de la City.
Ce but non avoué de nos politiciens malveillants et corrompus atteint son paroxysme en 2022: soumettre l’Etat au diktat des marchés financiers spéculatifs et des multinationales étrangères pour vampiriser nos richesses nationales par leurs funestes « réformes structurelles » de notre système social unique (Ex.: nième réformes des retraites). Selon moi, l’hémorragie de richesses de la France est d’environ 250 milliards d’euros par an, depuis plus de quinze ans.
Conséquences pour les français: austérité future, hyperinflation, matraquage fiscal et une prochaine « répression financière » contre leur argent (dépôts bancaires / épargne assurance vie), menacé par l’impact de l’ouragan économique et financier, qui a débuté par l’inflation. D’ailleurs, l’inflation déjà « perçue » par les Français est de 15,8% (enquête Odoxa de novembre 2022), contre un taux officiel d’inflation des prix de 6,2% pour l’Insee.
Avec « l’économie de guerre » de E. Macron – jamais avare de mots grandiloquents -, cette réalité économique d’une « stagflation » de la France en marche forcée vers sa propre destruction, est-elle politiquement acceptable ?
Sans reprise de contrôle du pouvoir par des patriotes très expérimentés, le peuple français sera confronté aux conséquences désastreuses des 50 dernières années de trahisons et d’inepties de nos dirigeants politiques :
- Défaut des dettes publiques et privées (une banqueroute analogue à la crise des « Assignats » de 1796)
- Hyperinflation avec perte de valeur de l’euro
- Eclatement des bulles : obligataire, action, immobilière
- Baisse séculaire du niveau de vie suite aux pénuries d’énergies et alimentaires
- Fin du système de protection sociale
- Troubles civils et conflits armés géopolitiques en raison de la disparition de l’état de droit
Si nous ne voulons pas connaitre le même effondrement que le Liban ou l’Ukraine, restons lucide face à la loi de la jungle des firmes multinationales étrangères et du diktat complice de l’UE, qui cannibalisent notre pays, notre Etat et nos vies. Le « big business américain » est en compétition directe avec les intérêts des économies européennes. Souvenons-nous de l’affront des Etats-Unis à la France lors de l’annulation du contrat de vente des sous-marins français à l’Australie, prouvant ainsi la servilité du comédien E. Macron à Washington et la débâcle de sa politique étrangère sur la scène internationale. Et ne parlons même pas en 2014 de la haute trahison de E. Macron (sous Valls et Hollande), lors de la cession suicidaire d’Alstom Energie à General Electric.
De plus en plus fragilisé par la « recessflation » (combinaison d’une récession et d’une hyperinflation des prix) et par ses déficits jumeaux (commerce extérieur et budgétaire) dus aux 3 chocs mondiaux susvisés, la France et la zone Europe déclassées risquent de perdre définitivement leur compétitivité industrielle et de chuter de la scène internationale. Cet évènement tragique pour nous, serait l’intérêt géostratégique des Etats-Unis qui en chevalier blanc proposerait alors de voler au secours de l’Europe, en l’absorbant dans sa « zone dollar », certes déliquescente. L’étape suivante rêvée par les mondialistes serait un dollar numérique sans frontière et sans argent liquide.
Mais gardons l’espoir d’un redressement post-banqueroute afin de reprendre le contrôle politique de notre destin face notamment aux prédateurs financiers. Nous ne serons pas condamnés au chaos, si notre patrie saisie cette opportunité historique d’arracher le pouvoir des mains des politiciens hypocrites, coupables de notre effondrement. Les temps difficiles engendrent des hommes forts et légitimes qui eux-mêmes créent de nouveaux temps prospères. Il s’agira d’abord d’avoir un état-stratège et patriote pour réinstaurer le modèle de patriotisme économique, ce qui a fait la grandeur de la France durant les 30 glorieuses. Pour que la France reste dans l’histoire, un retour vers la « Realpolitik » est impératif !
Les mesures vitales de sauvegarde macro-économiques et géopolitiques d’urgence seraient très simples :
- Dédollariser la facture de nos importations françaises
- Suspendre l’embargo contre la Russie, 1er fournisseur d’énergies et de matières premières de l’Europe
- Suspendre le marché européen de l’électricité, la Loi NOME et relancer la totalité du parc de centrales nucléaires
- Réduire la gabegie des mauvaises dépenses publiques (le budget de l’UE, la lutte contre la fraude sociale, l’exode fiscale IS, les aides financières à l’étranger, le coût de l’immigration, etc..)
pour stopper l’inflation américaine importée, maintenir une compétitivité industrielle, rééquilibrer notre déficit record de la balance commerciale (-154 Mds d’euros annuel) et éviter la délocalisation énergétique de nos moyennes et grandes entreprises.
Dans l’attente à terme de l’inéluctable réintroduction d’une nouvelle monnaie internationale saine (dont la valeur serait basée sur l’or et les matières premières), il est fortement recommandé à titre individuel de fuir toutes les monnaies virtuelles (cryptos et celles des banques centrales) mais surtout de posséder de l’or physique (hors des banques de l’UE), comme bouclier suprême contre le virus de la misère et comme seule assurance contre un système capitaliste moribond.
L’année 2022 aura été marquée, je crois, par une certaine prise de conscience collective du déclin et de l’isolement de l’occident, en dépit d’une doxa triomphante dans les médias stipendiés, des politiciens illégitimes.
Après ce choc en Ukraine du bloc de la finance contre le bloc des matières premières – « Global finance vs global energy » -, nous serons au seuil d’une ère nouvelle. De deux choses l’une, soit l’occident dérivera vers un régime politique répressif voire totalitaire façon « Great Reset », qui sied à E. Macron, soit une voie pacifique sera trouvée dans un esprit de concorde macro-économique entre nations coopératives vers un « Ialta multipolaire ». Gageons que la sagesse des Hommes de bonne volonté, sera victorieuse !
de Bernard Monot, rédigé le 1er décembre 2022.
Bernard Monot est économiste politique, ancien député Européen patriote, financier d’institution publique française, Essayiste: « Le patriotisme ou la banqueroute » ,Vice-président du Cercle National des Économistes.
Source: liddef.fr
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Ce que vous allez y apprendre :
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. Avoir une réserve de valeur anonyme et intracable (non, ce n’est pas le Bitcoin !)
. Et bien plus encore !
Monot a tout compris, expliqué depuis longtemps, bravo a ce courageux visionnaire…