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vendredi 18 avril 2025 - 18:27

UNE NOUVELLE ETUDE REVELE LES SYMPTOMES CHRONIQUES LES PLUS COURANTS APRES LIES AUX VACCINS CONTRE LE COVID19 : « Le bilan est consternant…Ces vaccins auraient fait plus de MAL que de BIEN !!! »

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Une nouvelle étude montre certains des symptômes chroniques les plus courants chez les personnes qui ont commencé à ressentir ces problèmes après avoir été vacciné par le vaccin contre le COVID-19.

Les symptômes les plus courants étaient l’intolérance à l’exercice, la fatigue excessive, l’engourdissement, le brouillard cérébral et la neuropathie, ont rapporté les chercheurs dans l’article.

L’insomnie, les palpitations, la myalgie, les acouphènes, les maux de tête, les sensations de brûlure et les étourdissements ont également été ressentis par au moins la moitié des participants à l’étude, financée en partie par les « National Institutes of Health » (NIH) des États-Unis.

Les participants ont signalé une médiane de 22 symptômes, avec un plafond de 35.

L’étude s’est concentrée sur les personnes « qui signalent une maladie chronique grave et débilitante après la vaccination contre le COVID-19 » qui « a commencé peu de temps après la vaccination contre le COVID-19 et a persisté chez de nombreuses personnes pendant un an ou plus », ont indiqué les chercheurs.
L’étude a été dirigée par le Dr Harlan Krumholz du département de médecine interne de la « Yale School of Medicine » et Yilun Wu du département de biostatistique de la « Yale School of Public Health ».

Il a été publié le 10 novembre sous forme de prépublication avant l’examen par les pairs.

Méthodes
L’article est issu de la recherche Listen to Immune, « Symptom and Treatment Experiences Now » (LISTEN) de Yale, qui examine à la fois les événements indésirables dits longs du COVID et ceux post-vaccinaux.

Les chercheurs ont commencé à recruter des participants en mai 2022. Les participants ont rempli un sondage et les chercheurs ont eu accès à leurs dossiers de santé.
L’étude portait sur des adultes ayant signalé des problèmes post-vaccination entre mai 2022 et juillet 2023. Les 388 personnes qui ont également signalé ce que l’on appelle un long COVID, ou des symptômes persistants après une infection au COVID-19, ont été exclues.146 autres personnes qui n’ont pas entièrement répondu au sondage ont finalement été exclues.

L’âge médian des participants était de 46 ans et 80 % étaient des femmes. Environ 88 % vivent aux États-Unis.

La conception de l’étude signifie qu’aucune causalité n’a pu être confirmée, ont indiqué les chercheurs. Tout en reconnaissant que les symptômes chroniques pourraient être causés par les vaccins, ils ont allégué qu’ils pourraient également n’avoir aucun lien et être dus à un changement, mais ils ont également déclaré que le regroupement des symptômes peu de temps après la vaccination « suggère une relation potentielle ».

Les effets secondaires connus des vaccins comprennent une inflammation cardiaque, un choc allergique grave et le syndrome de Guillain-Barré.

D’autres problèmes ont été liés aux vaccins sans être prouvés pour le moment, mais ne sont pas aussi largement reconnus que les effets secondaires confirmés.

Les symptômes peuvent être assez douloureux. Les participants ont rapporté une médiane de 80 sur une échelle de 100 lorsqu’on leur a demandé quelle était la gravité de leurs symptômes lors de leurs pires jours.

Symptômes persistants
Au cours de la semaine précédant le sondage, 93 % des participants ont déclaré avoir ressenti un malaise au moins une fois.

Plus de huit personnes sur dix ont déclaré avoir peur et 81 % ont déclaré se sentir dépassées par les inquiétudes.

Des sentiments d’impuissance, de dépression, de désespoir et d’inutilité ont également été fréquemment signalés.

Presque tout le groupe a déclaré se sentir ébranlé et 91 % ont déclaré souffrir de problèmes de sommeil.

En revanche, la moitié des participants ont déclaré être en bonne, très bonne ou excellente condition physique. Pourtant, les autres ont déclaré un statut passable, médiocre ou inconnu.

Les symptômes sont apparus chez de nombreuses personnes peu après la vaccination. Le délai médian d’apparition des symptômes était de trois jours. Soixante-dix-sept % des personnes ont ressenti ces symptômes après leur première ou leur deuxième injection.

L’étude faisait suite à un article rédigé par le NIH qui détaillait 23 personnes ayant présenté des symptômes persistants après la vaccination contre le COVID-19.

Un certain nombre de participants à la nouvelle étude ont reçu de nouveaux diagnostics après avoir reçu un vaccin, notamment de l’anxiété, des troubles neurologiques, des problèmes gastro-intestinaux et un syndrome de tachycardie orthostatique posturale.

Problèmes avant la pandémie
Près de la moitié des participants souffraient d’allergies avant la pandémie, selon l’étude.

Environ les trois quarts des participants au total présentaient au moins une comorbidité, telle que des allergies.

Derrière les allergies, les comorbidités les plus courantes étaient les problèmes gastro-intestinaux, avec par exemple le reflux acide ; troubles anxieux ; troubles dépressifs ; et l’asthme.

L’arthrite, une maladie auto-immune, l’hypercholestérolémie, l’hypertension artérielle et les migraines ont également été signalées par plus de deux douzaines de personnes.

Traitements essayés
De nombreux participants ont essayé plusieurs traitements pour leurs symptômes.

Presque tous ont essayé les probiotiques, qui aident à stimuler les bonnes bactéries dans le corps.

Les vitamines et les suppléments ont également été fréquemment utilisés, les vitamines B12, C et D et l’ibuprofène étant les plus populaires.

Les médicaments anti-inflammatoires, dont l’ibuprofène, ont été utilisés par la majorité des participants.

Des stéroïdes oraux tels que la dexaméthasone ont été utilisés par environ la moitié du groupe.

Les changements de mode de vie étaient également courants, avec 51 % qui ont dû limiter l’exercice ou l’effort, 44 % réduisant l’alcool ou la caféine et 44 % augmentant ou diminuant la quantité de sel qu’ils consommaient. Environ quatre personnes sur dix ont modifié leur régime alimentaire.

Source: zerohedge

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