Alain Duhamel: « Je pense qu’Emmanuel Macron incarne le 21ème siècle, c’est-à-dire tout ce dont les Français ont peur. Il est trop de son époque dans un pays qui n’a pas envie d’être de son époque. »

« Il est trop de son époque dans un pays qui n’a pas envie d’être de son époque »

J’observe que lorsque le sens de l’histoire s’accélère les peuples ne suivent plus. Alors ils se révoltent, ils font secession, ou ils changent de religion et/ou de paradigme. Le peuple est rarement à l’origine des changements, se sont uniquement les volontés politiques qui émanent d’en haut.
Le changement d’époque, de société, de moeurs, c’est l’oligarchie qui en a toujours été à l’origine, c’est elle qui lance la mode, qui donne la mesure à une masse inculte qui docilement singe les élites.
Pendant presque 1000 ans, les gens vivaient de la même façon, et les peuples étaient relativement plus paisibles que maintenant. En tous cas les individus vivaient sereinement avec une foi chevillée au corps, une foi en Dieu, en l’avenir, en la famille. Tant que la campagne dominait la ville, de l’époque des latifundia à l’émergence des cités médiévales (début de l’émergence de l’Etat), nous avions des nations stables avec : une foi, une morale commune, et des peuples somme toute homogènes.

Toutes les merdes viennent des villes, viennent des centres de pouvoirS. Toutes ! Aucune exception infirme la règle. C’est depuis les villes que sortent les décadences, les inovations, les perversions, les hérésies, les révolutions, la mode, la prosmiscuité, les débordements en tout genre …

Les campagnes, et à fortiorii la nature, sont à l’image de Dieu ; la ville est à l’image de l’homme et de ses turpitudes : de Rome à Neom.

HUMMMM, c’est bon du emmanuel….ça dégouline le long des lèvres, ….c’est chaud, c’est liquide, sirupeux à souhait,….