L’action d’Atos chute de 95 % en 5 ans.
L’échec de l’entreprise marque un échec pour les dirigeants.
La société subit l’influence du gouvernement depuis des années, en particulier sous la direction de Thierry Breton, de 2009 à 2019 – à présent l’un des commissaires de l’UE à l’origine de barrières à la concurrence.
La dette de la société grimpe de quasiment rien à 5 milliards d’euros sous la direction de M. Breton, et met à présent le groupe en voie de faillite.
Le groupe a plus de 3 milliards d’euros de dette en besoin de remboursement à fin 2025.
La société dégage en principe 400 ou 500 millions d’euros de marge sur les opérations, mais elle subit un flux de trésorerie négatif de 1 milliard d’euros en 2023, avec une hausse de la dette en conséquent.
La chute de l’euro paie pour les zombies comme Atos : achetez de l’or !
Mon équipe d’analystes en Bourse évite les sociétés comme Atos, ou les secteurs comme les renouvelables ou l’hydrogène.
Elle cherche des sources de protection contre les choix des dirigeants, et donne des pistes pour des bénéfices.
En ce moment, nous vous recommandons une forte allocation à l’or.
Vous le ne saviez peut-être pas, mais l’or bat toutes les grandes classes d’actifs depuis l’an 2000 – y compris la Bourse américaine, et les Bourses des pays développés hors États-Unis, et les obligations (le graphique ci-dessous provient de Visual Capitalist).
Mon équipe voit dans la hausse de l’or une baisse de la valeur des devises (la valeur de l’or reste en réalité constante).
En effet, la dévaluation paie pour les sauvetages de zombies comme Atos au fil des années.
Vous voyez ci-dessous le graphique qui montre la performance de l’euro depuis l’an 2000 – si vous la mesurez en onces d’or !
Excuses des gérants
Les gérants d’Atos évoquent – derrière les pertes – des besoins de fonds de roulement, et des coûts des préparatifs à une scission des activités.
Les dirigeants veulent le maintien d’une emprise sur la société.
Le gouvernement dissuade à présent les offres de rachat par des groupes étrangers, rapporte Les Echos. Les dirigeants veulent le transfert d’activités dans le traitement de données et la cybersécurité vers Airbus.
Au nom de la “souveraineté”, le gouvernement continue les interventions – en particulier dans le domaine de l’informatique.
Mon équipe anticipe plus de problèmes et de nuisances à l’économie… et des opportunités de bénéfice dans la Bourse… en raison des interventions.
Encore une boite et une de plus que notre bon vieux commissaire : M LEBRETON tellement bon et génial a foutu en l’air ! comme tous les brillantissimes bon à rien , il a été recyclé à BRUXELLES, ce ramassis de parasites et d’incapables…..qui se goinfre sur la bête : le contribuable européen….
Quand il ne dort pas l’Or aboie le SP 500 monte.