Dans l’automobile, la conversion au tout-électrique heurte un écueil…
Les ventes dépendent du paiement de subventions.
L’action de Tesla reflète la perte d’enthousiasme : le titre baisse peu à peu depuis le sommet de fin 2021.
L’essor des ventes depuis 2019 crée des apparences de succès de l’électrique (voitures à batteries et hybrides à prise de recharge)…
Le graphique ci-dessous, de l’Agence européenne de l’environnement, montre une hausse de la part de marché de l’électrique, dans les achats de véhicules, à partir de 2019.
La presse croit à un triomphe de l’électrique sur l’essence et le diesel.
Une tribune dans Les Echos vante par exemple l’électrique…
L’auteur écrit :
“De toute évidence, la voiture électrique est un bien meilleur produit que son homologue thermique. Au-delà du fait d’offrir une empreinte carbone plus réduite, elle est plus confortable car silencieuse. Les accélérations sont linéaires et la tenue de route est rassurante grâce un centre de gravité très bas. Elle est également de plus en plus « connectée » et ouvre la porte à de nouveaux services.”
Pourtant, les succès de l’électrique ne proviennent pas d’un choix des consommateurs… mais de menaces d’amendes contre les constructeurs, et des subventions à l’achat.
En effet, en 2019, l’UE applique une série de normes sur les émissions des voitures.
Elle contraint ainsi les constructeurs à plus de ventes de voitures à batteries, ou hybrides avec bornes de recharge, dès 2020.
En 2020, le journal The Guardian estime à 30 milliards d’euros les amendes contre les constructeurs… s’ils vendent moins de voitures électriques que les quotas de la norme !
Les normes forcent les constructeurs à une hausse des ventes dans l’électrique – via une baisse des émissions des voitures de 15 % en 2025, par rapport au niveau de 2021, et une baisse de 50 % en 2030.
L’autre explication pour l’envolée des ventes, de 2019 à 2023, provient des subventions.
En juin 2020, le gouvernement allemand crée une subvention à 9.000 euros par voiture à batterie.
La France augmente la subvention à 7.000 euros, et l’Italie augmente la prime à jusqu’à 10.000 euros par voiture (soit une hausse de 50 %) !
À présent, un début de retrait des subventions crée des difficultés.
Les ventes piquent du nez.
Selon l’Association automobile allemande, les ventes devraient baisser de 14 % cette année… en raison du retrait des subventions pour l’électrique en décembre.
La conversion au tout-électrique demande en réalité plus de subventions et déficits au fil du temps… comme le leasing social… au coût, pour le gouvernement, de 13.000 euros par véhicule, selon La Croix !
Des déficits en série – au nom du climat – créent les conditions pour une baisse de l’euro… et plus de hausses du prix de l’or.
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Message urgent : Achetez de l’or – et cet autre métal sous-estimé – pour protéger votre argent de la spoliation en vue…
Les dépenses sous contrainte grimpent sans cesse, dans le logement, l’agriculture, ou l’automobile… L’emprise des dirigeants prend de plus en plus d’ampleur.
Face aux projets de dépense des dirigeants, les autorités créent de plus en plus de manœuvres – en vue du contrôle de votre argent…
Limites aux retraits et paiements en liquide… Interdiction de certains fonds d’investissement au travers de la loi Mifid 2…
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Des chercheurs à Oxford et Cambridge publient par exemple un article récent, qui revient à préconiser la fin des investissements en or… pour la protection de la planète !
De même avec le Bitcoin : des chercheurs de la BCE publient en février 2024 un appel à plus de contrôles sur le placement dans les cryptos… Comme avec l’or, ils citent la protection du citoyen… et de l’environnement.
Vous devriez envisager d’acheter de l’or, tant que vous le pouvez !
Mes analystes recommandent aussi un autre métal précieux… qui n’est ni l’or ni l’argent… et qui a peut-être encore plus de potentiel de hausse en vue.
