Nous avons eu la semaine dernière l’idée de la taxe lapin… au cas où vous poseriez un lapin à votre médecin, hop, une taxe.
Nous avons eu aussi la taxation des livres d’occasion.
Emmanuel Macron avait plaidé vendredi pour la mise en place d’une « contribution qui puisse permettre de protéger le prix unique » du livre, sans plus de précisions, à l’occasion d’une visite au Festival du livre de Paris.
N’oubliez pas qu’en France, il n’y a pas un seul problème qu’une taxe ne puisse résoudre.
Et puis de vous à moi, je suppose qu’un livre d’occasion c’est une rente indue.
Vite taxons-le.
Et puis si nous taxons les livres d’occasion, je propose de taxer tout ce qui est vendu sur le Bon Coin et autres site d’occasion.
Ho.. pas une grosse taxe, juste appliquer la TVA avec un petit 20 %.
Il n’y a aucune raison de laisser toutes ces rentes immenses sans taxation.
Non mais.
Revendre une poussette sur le Bon Coin vous n’y pensez pas.
Allez taxez moi tout ça et que l’on en parle plus.
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latinPour m’écrire [email protected]Pour écrire à ma femme [email protected]Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Source: insolentiae – Voir les précédentes interventions de Charles Sannat