C’est un article de BFM RMC source ici qui revient sur le miracle économique sur l’immobilier parisien.
Encore une fois, je scinde deux choses. Une crise immobilière qui concerne la valorisation des biens et n’affecte pas directement nos concitoyens les plus modestes ou les plus fragiles qui ne sont pas propriétaires mais généralement locataires, et une crise du logement, qui, elle, touche tout le monde et tous ceux qui ont besoin de se loger.
D’un côté une crise plutôt financière, de l’autre une crise de l’économie réelle.
Bien évidemment souvent une crise immobilière devient une crise du logement.
Parfois, les dirigeants par leurs incompétences accélèrent le mouvement et transforment encore plus vite une crise immobilière en crise du logement et, là, nous sommes particulièrement en vedettes ces dernières années. Un vrai festival.
Voici le titre de cet article dont je voulais vous parler.
« Immobilier, moins d’appartements à louer en France, baisse fulgurante à Paris »
« Le nombre d’appartements disponibles à la location en France a chuté drastiquement en 2023, d’après les données du site SeLoger, spécialisé dans les annonces immobilières.
Il est de plus en plus difficile de trouver un appartement à louer en France avec, fin 2023, une baisse de l’offre locative de 36 % en deux ans. Une tendance encore plus forte à Paris, avec -50 % en un an, selon les chiffres de SeLoger, site spécialisé dans les transactions immobilières. La hausse des taux d’intérêt a eu un impact sur le nombre des biens à louer.
La baisse de l’offre locative, « face à une demande grandissante », entraîne « mécaniquement une hausse des loyers ». Ils ont augmenté de 3,5 % en 2023 en France, selon le communiqué de la plateforme, consulté ce mardi par l’AFP. À Paris, au 1er janvier 2024, « le stock d’annonces d’appartements à louer s’amenuise considérablement avec une réduction de -74 % sur trois ans« , affirme SeLoger. La baisse est même de 50% en un an.
-74 % d’offre en location… merci le contrôle des loyers, les interdictions de location et les régulations .
Evidemment à la Mairie de Paris repère d’économistes de haut vol de l’école argentine mais avant Miléi, on pense du coup à saisir ni plus ni moins tous les logements qui ne seraient pas loués pour les louer de force.
On ne se dit pas que la politique menée est stupide.
Non.
On va encore plus loin dans la débilité.
Une fois qu’Hidalgo et sa clique d’incompétents auront saisi les logements vacants, plus personne n’investira jamais dans l’immobilier parisien. Plus personne.
La Marie de Paris n’ayant plus un kopeck (sans doute à cause des Russes et d’un complot de Poutine) ce n’est pas elle qui pourra construire suffisamment.
Et ce sera partout la même chose en France.
Les investisseurs fuiront tous l’immobilier.
C’est fatigant d’être dirigés par des branquignols.
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latinPour m’écrire [email protected]Pour écrire à ma femme [email protected]Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Source: insolentiae - Voir les précédentes interventions de Charles Sannat
Non Charle, c’est un but, que des locataire ici.Viendront ensuites les petits propriétaires d’autres grandes villes, puis, les villes moyennes et les petites villes. Seuls resisteront encore les propriétaires qui d’ici dix ans, si rien ne change, devront vendre ou laisser leur bien être vendu par leurs héritiers dépossédés sur une partie et accablés de charges. On n’est plus dans l’imcompétence ici, mais bien l’esclavage Charle.
J’ai réécrit car beaucop de fautes car vite écrit.
Non Charle, c’est un but, que ds locataire.Viendront ensuites les petits propriétaires d’autres grandes villes, puis les villes moyennes et les petites villes. Seul resisteront encore es propriétaire qui d’ici dix ans, si rien ne change, devront vendre ou laissé leur bien être vendu parleur héritier dépossédé sur une partie et accablé de charge. On n’est plus dans l’imcompétence mais dans l’esclavage Charle.