La récente nomination du nouveau gouvernement en France par Emmanuel Macron semble n’être qu’une énième diversion pour détourner l’attention des vrais problèmes du pays. Malgré les discours et les promesses, ce remaniement manque cruellement de vision et d’ambition, laissant les citoyens face aux mêmes figures politiques sans réelle volonté de changement. Les Français sont de plus en plus méfiants, voyant bien que ce remaniement n’est qu’une nouvelle tentative pour maintenir l’image de Macron à flot tout en évitant les réformes nécessaires.
Dans cette période troublée, le Rassemblement National (RN) semble avoir trouvé son chemin pour s’assurer une présence électorale durable, non pas en cherchant réellement à gouverner, mais en acceptant l’idée d’un gouvernement technique à condition d’instaurer la proportionnelle. Mais ce choix révèle-t-il un désir authentique de pouvoir ou simplement une stratégie pour s’assurer une rente électorale sans les risques associés à l’exercice du pouvoir ? Se contentent-ils de la façade du pouvoir sans la volonté de relever les défis colossaux de la gouvernance ?
Pendant ce temps, la gestion économique de la France continue de se détériorer sous la direction de nos « Mozart de la Finance ». La dette s’accumule, les déficits explosent, et l’idée d’une mise sous tutelle européenne devient une menace réelle pour la souveraineté nationale. Comment la France en est-elle arrivée à un tel point de fragilité financière ? Et surtout, quelles sont les options pour retrouver son indépendance face à une économie dictée par des décisions extérieures ?
