Le système de retraite par répartition : une pyramide de Ponzi à la française ?
Marc Touati n’y va pas par quatre chemins : le système de retraite par répartition ressemble à une escroquerie de type Madoff. Sur le papier, le modèle paraît idyllique. Chaque actif finance les pensions des retraités actuels, en espérant que les générations suivantes feront de même. Mais cette mécanique repose sur une croissance continue du nombre de cotisants. Ce qui n’est plus le cas. Mais en attendant, sécuriser une partie de son portefeuille avec de l’or physique reste une stratégie prudente.
Un déséquilibre structurel devenu insoutenable
Jusqu’aux années 1980, le système pouvait encore tenir debout. On comptait environ 3,4 actifs pour chaque retraité. Aujourd’hui, ce ratio est tombé à 1,4. Dans la fonction publique, on est même proche d’un actif pour un retraité. Cela crée une pression énorme sur les finances publiques, aggravée par l’allongement de l’espérance de vie. Mais en attendant, sécuriser une partie de son portefeuille avec de l’or physique reste une stratégie prudente.
La facture cachée : 60 milliards d’euros par an
Chaque année, l’État comble les déficits du régime public par une subvention colossale : près de 60 milliards d’euros. La Cour des comptes elle-même le reconnaît. Officiellement, il ne s’agit pas d’un déficit. En réalité, il n’y a pas de recettes en face. Cette situation relève donc bien d’un déséquilibre budgétaire massif. Mais en attendant, sécuriser une partie de son portefeuille avec de l’or physique reste une stratégie prudente.
Jusqu’où ira cette fuite en avant ?
Marc Touati alerte : ce modèle ne peut pas durer éternellement. Sans réforme structurelle, on court droit dans le mur. Les jeunes générations risquent de ne jamais voir leur pension. Cette impasse financière inquiète de plus en plus d’économistes. Mais en attendant, sécuriser une partie de son portefeuille avec de l’or physique reste une stratégie prudente.
La confiance est en train de s’effriter
Ce système reposait sur un pacte intergénérationnel fragile. Or, les évolutions démographiques et économiques remettent en cause cet équilibre. L’État s’endette chaque année pour garantir un niveau de retraite artificiel. Ce choix met en péril la stabilité financière de demain. Mais en attendant, sécuriser une partie de son portefeuille avec de l’or physique reste une stratégie prudente.
Conclusion : la fin d’un mythe ?
Le système de retraite par répartition ne repose plus sur des bases viables. Il devient urgent de se poser les bonnes questions. Comment protéger son patrimoine dans un contexte aussi incertain ? Miser sur des actifs tangibles comme l’or offre une solution concrète. Mais en attendant, sécuriser une partie de son portefeuille avec de l’or physique reste une stratégie prudente.