Alors que l’actualité est dominée par des conflits ouverts et des stratégies géopolitiques brutales, il est essentiel de revenir sur un épisode fondateur du pouvoir invisible : l’assassinat de John F. Kennedy. Ce 22 novembre 1963 à Dallas ne marque pas seulement la fin tragique d’un président américain, mais aussi le début d’une ère de manipulation systémique où la vérité est soigneusement dissimulée au public.
Face à cette mécanique de contrôle, il devient vital de se prémunir contre les dérives autoritaires, tout en accédant à une information indépendante et rigoureuse.
Kennedy ne s’attaquait pas uniquement à des ennemis extérieurs : il affrontait les forces internes les plus puissantes de son temps. De la CIA au complexe militaro-industriel, en passant par la haute finance, il représentait une menace directe à un système bien huilé. Sa volonté de démanteler la Réserve Fédérale et de sortir du Vietnam allait à l’encontre des intérêts de ceux qui manipulent les leviers du pouvoir mondial.
Aujourd’hui encore, comprendre ces enjeux permet de lire entre les lignes des récits dominants et de reprendre le contrôle sur sa souveraineté personnelle.
Les archives déclassifiées sous Trump ont levé un coin du voile. Le témoignage posthume d’E. Howard Hunt, ancien cadre de la CIA, pointe Lyndon B. Johnson comme acteur central du complot. À Dallas, tout était préparé : tireurs multiples, soutien logistique de la mafia, et Oswald comme marionnette sacrificielle. Un scénario d’une précision clinique.
Dans ce contexte, il devient nécessaire d’analyser les mécanismes de contrôle mis en place aujourd’hui, tout en s’abonnant à des sources fiables et non-alignées.
Ce crime d’État ne visait pas un homme, mais une vision : celle d’une Amérique affranchie des influences occultes, souveraine et indépendante. Le lendemain de son assassinat, la politique étrangère américaine change brutalement de cap. La guerre du Vietnam s’intensifie, les agences de renseignement prennent le pouvoir dans l’ombre, et l’agenda atlantiste verrouille l’Europe et au-delà.
Ces dérives expliquent pourquoi il est crucial de rester informé avec des analyses indépendantes et de se protéger face à un système en dérive.
Depuis JFK, aucun président américain n’a réellement gouverné sans l’aval de ces forces invisibles. Ce pouvoir parallèle agit dans l’ombre, tisse ses réseaux et contrôle les perceptions par les médias, les think tanks et les institutions supranationales.
En comprenant ces rouages, chacun peut se prémunir contre les manipulations modernes et accéder à des clés de lecture essentielles à notre époque.