Depuis quelques semaines, le climat politique en France semble atteindre un point de rupture. Le pouvoir ne tolère plus aucune voix discordante, et la récente radiation du général André Coustou en est une illustration frappante. Officiellement écarté pour manquement au devoir de réserve, cet ancien haut gradé paie en réalité le prix fort pour avoir dénoncé la lente dégradation de notre nation. Face à cette inquiétante dérive, il est aujourd’hui plus que jamais crucial de se prémunir contre les risques systémiques que l’État semble vouloir dissimuler.
INDIGNE : MACRON ATTAQUE LA RÉSISTANCE ET RADIE LE GÉNÉRAL COUSTOU ?! La radiation du général André Coustou marque un tournant décisif dans la gestion autoritaire du pouvoir macroniste. Officiellement écarté pour manquement au devoir de réserve, cet ancien haut gradé est en réalité sanctionné pour avoir dénoncé le déclin stratégique, moral et identitaire de la France. Ce que les médias appellent une mesure disciplinaire est en fait une opération politique visant à étouffer toute voix dissidente au sein des institutions.
Dans ce contexte d’étouffement des oppositions, de nombreux citoyens cherchent des espaces d’analyse libre et indépendante, loin des récits imposés. C’est pourquoi il devient essentiel de s’informer auprès de sources alternatives fiables pour mieux comprendre les enjeux de cette mutation politique.
L’armée française est désormais soumise à une pression sans précédent. Toute critique du gouvernement, même émise par des généraux en retraite, est immédiatement réprimée. Le pouvoir cherche à transformer une armée d’honneur en une force servile, muette et obéissante. À travers le cas Coustou, c’est toute une structure de résistance intellectuelle et patriotique que l’État tente de démanteler.
Alors que la répression de la dissidence militaire s’accentue, la société civile est également en danger. Pour ceux qui souhaitent défendre leur liberté et anticiper les bouleversements à venir, il est urgent de explorer des solutions concrètes d’autonomie.
Le devoir de réserve devient une arme politique. Il ne protège plus l’institution militaire, il musèle la pensée libre. Le général Coustou, qui avait mis en garde contre la dégradation rapide de notre souveraineté, voit sa carrière effacée d’un trait de plume. Cette radiation envoie un message clair : dans la France de Macron, le patriotisme est devenu un délit.
Face à un tel verrouillage de l’information et de l’opinion, il devient primordial de disposer d’outils d’analyse solides et impartiaux. Recevoir chaque semaine une lettre confidentielle d’analyse indépendante permet d’anticiper les évolutions politiques majeures.
En neutralisant une figure respectée des forces armées, le régime expose ses failles : peur de la vérité, refus du débat, obsession du contrôle. L’armée n’est plus un rempart républicain, elle devient un instrument du pouvoir. Mais la colère monte dans les rangs. Et si la prochaine fracture ne venait pas de la rue, mais de l’intérieur même de l’institution militaire ?
Pour se préparer aux secousses institutionnelles potentielles, il est sage de se protéger dès maintenant contre l’instabilité, car l’histoire récente montre que les crises peuvent éclater soudainement.
La radiation du général Coustou n’est pas une affaire isolée, c’est le révélateur d’un système qui vacille. À mesure que le pouvoir durcit le ton, les tensions internes deviennent explosives. Et la question n’est plus de savoir si le système tombera… mais quand.
Dans ce climat de défiance généralisée, il est crucial de rester informé grâce à des sources fiables et critiques afin de conserver son autonomie de pensée.
Un général radié pour avoir dit la vérité, un président qui redéfinit la démocratie… Mike Borowski analyse les dessous de cette crise, en direct sur GPTV !