L’Union Européenne est-elle la meilleure amie du Great Reset prônée par le Forum de Davos, et par son fondateur, Klaus Schwab ? Les événements qui se succèdent au fil des semaines laissent à penser, en tout cas, que la Commission Européenne ne boude pas son plaisir quand elle peut mettre en oeuvre l’une des solutions préconisées par le Great Reset ? Mais pourquoi cet « affectio societatis » ? Je vous explique les ficelles de ce mécanisme dans la vidéo de la semaine consacrée au Great Reset.
L’Union Européenne est-elle la meilleure élève du Great Reset ? Les derniers événements d’actualité montrent que la question se pose. Entre le déploiement d’ici au 1er juillet (mais on a un doute sur la faisabilité) du passeport vaccinal et la porosité de l’Union aux questions davossiennes sur le marché de l’emploi européen ou sur la mise en place d’un euro numérique, on voit combien l’influence du Great Reset est forte sur la technocratie européenne.
Great Reset et passeport vaccinal de l’Union Européenne
L’une des meilleures illustrations de cette docilité de l’Union vis-à-vis des propositions du Great Reset tient au passeport vaccinal, initialement demandé par la Grèce, mais dont la Commission s’est emparée avec avidité. Il n’y a pas de proposition plus Great Reset compatible que celle-là. Et alors même que le plan de relance n’est toujours pas mis en place dix mois après sa laborieuse adoption dans un sommet européen de juillet 2020, on s’aperçoit qu’une proposition bien plus anodine est mise sur le haut de la pile, et adoptée (en principe) en quelques semaines seulement.
D’où vient qu’un plan de relance crucial à 750 milliards € met pratiquement un an (et peut-être plus à être adopté) alors qu’un passeport vaccinal pourrait être adopté en moins de 3 mois ? On y verra volontiers la patte de l’esprit de Davos, qui place désormais dans la file de l’urgence absolue la question du capitalisme de surveillance et de sa mise en place, quand la survie économique de l’Union devient un sujet somme toute secondaire.
Les autres sujets du Great Reset cette semaine
Ne manquez pas pour autant les autres sujets du Great Reset cette semaine : tout d’abord le Job Reset Summit, qui est la réflexion entamée par Davos pour le monde de demain, pour une « régionalisation » des marchés de l’emploi.
On notera aussi la récurrence des questions monétaires, entre remise en cause du rôle du dollar et guerre déclarée par les banques centrales aux crypto-monnaies. On vous explique pourquoi.
Dans tous les cas, si vous ne savez pas encore c’est le Great Reset, renseignez-vous avec nous sur le sujet. Et ne manquez pas le rendez-vous hebdomadaire sur notre chaîne Youtube (45 minutes de présentation, chaque samedi à 12h).
Source: lecourrierdesstrateges
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« Great Reset : pourquoi l’Union Européenne est-elle si Davos compatible ? »
Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux. Le véritable pouvoir auxquelles sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde.
Depuis le XVIIIème siècle, les principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des intérêts communs et liés. Les activités de ces banquiers sont structurellement internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme « national ».
Aussi, les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle (au bas mot) gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres. Précisons à propos des USA que la Réserve fédérale américaine, la « FED », dont l’objectif est de « centraliser et contrôler l’économie mondiale », est née en 1913, des menées des banquiers globalistes, dont le noyau dur se trouvait à Londres ; menées auxquels les intérêts de la Banque Rothschild (via les banquiers Warburg), ceux de l’empire financier des Rockefeller, et ceux de J.P. Morgan, n’étaient pas étrangers. Trois personnalités de premier plan étaient opposées à la création de cette banque centrale américaine : Benjamin Guggenheim, Isidor Strauss et Jacob Astor (ami et mécène de Nicola Tesla). Ils périront dans le naufrage du Titanic… en 1912.
L’une des méthodes employées depuis plus d’un siècle par le système financier oligarchique pour faire de la guerre un « business » est le « casus belli » : 1898 avec le USS Maine, 1915 avec le RMS Lusitania, 1941 avec Pearl Harbor, 1964 avec les incidents du golfe du Tonkin, 2001 avec le « 9/11 ».
En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique (traités de Maastricht et Lisbonne) de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
Tant que le destin des monnaies restera l’apanage des banquiers mondialisés, et continuera en conséquence à échapper aux peuples qu’elles contraignent, nous assisterons à la continuation de la mise sous tutelle financière, économique, juridique et politique de ces derniers.
Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois » (Mayer Amshel Rothschild).
Si l’on retourne aux fondamentaux, il apparaît en effet que la monnaie, et son pendant qu’est la dette, conjuguée au principe de l’entreprise anonyme qu’elle a juridiquement autorisé à se mettre en place, sont les armes du servage d’aujourd’hui au même titre que l’épée et la lance étaient celles du servage d’hier.
Dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France, c’est-à-dire Macron et son association de malfaiteurs, véritable ersatz d’un gouvernement politique entièrement aux mains des puissances financières, relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États. Aussi, la France qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda globaliste, lequel prospère sur le développement de la misère humaine.
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