C’était la fête à la maison la semaine dernière alors que l’école d’un enfant a levé l’obligation du port du masque. Dans le même temps, le sentiment de frustration s’est tout de même ressenti lorsqu’un autre enfant n’a pas été invité à un événement en raison de son statut vaccinal. Dans le coin d’où je viens, on n’arrive pas à savoir si les dirigeants vont abandonner ou accentuer les restrictions sanitaires. La connaissance de la situation est essentielle pour savoir à quoi s’attendre, et pourtant il est difficile de dire ce qui se passe vraiment.
Peut-être que si nous examinons quels gouvernements prennent quel type de mesures dans le monde, nous verrons des tendances qui pourront mieux nous informer aux États-Unis.
Quelles obligations voyons-nous en Europe ?
De nombreux pays européens ont annoncé qu’ils iront de l’avant en traitant Covid comme une autre maladie endémique. Le Danemark, la Norvège, la Suisse et la République tchèque ont tous commencé à lever les restrictions liées à Covid, telles que les limites sur les rassemblements et l’exigence du Pass Vaccinal pour entrer dans certains lieux. L’Italie, la Finlande, l’Irlande, la France et la Lituanie assouplissent de nombreuses exigences.
La plupart de ces pays prévoient d’être aussi proches que possible de la « normale » d’ici mars. Le Royaume-Uni a levé les exigences de travail à domicile, le port du masque obligatoire et l’exigence du Pass Vaccinal pour entrer dans les lieux.
Examinons certains de ces pays d’un peu plus près.
Le Danemark a été le premier pays de l’Union européenne à supprimer les restrictions. Le Danemark n’a jamais essayé d’imposer le vaccin, bien que 78% de la population l’ait volontairement reçu. Leurs responsables gouvernementaux ont déclaré qu’ils ne voulaient pas forcer leur population à faire quoi que ce soit parce qu’ils ne voulaient pas perdre la confiance du peuple.
Considérant qu’ils abandonnent leurs restrictions, la confiance des Danois semble bien placée.
Le 3 février, la Suède a également annoncé qu’elle mettait fin à l’utilisation de ses Pass Vaccinaux. La Suède avait été notoirement (ou de manière inspirante, selon la façon dont vous la voyez) réticente à confiner quand le reste du monde l’a fait. Comment les Suédois s’en sont-ils sortis ? Sont-ils tous morts pour leur refus de placer leur population en résidence surveillée ?
Eh bien, le 5 février 2022 , les Suédois comptaient environ 1592 décès par million dus au Covid, tandis que les Américains comptaient environ 2707 décès par million. Oui, nos différents confinements qui ont détruit les petites entreprises partout n’en valaient vraiment pas la peine. . .
Et, comme les Danois, les Suédois n’ont jamais imposé de vaccins, bien que leur pays ait volontairement atteint plus de 70% de conformité. Fait intéressant, la Suède n’a pas recommandé les vaccins pour les enfants. Ils ont simplement décidé que les vaccins expérimentaux ne valaient pas le risque pour les enfants. Comme le gouvernement danois, le gouvernement suédois donne l’impression qu’il essaie véritablement de faire ce qu’il y a de mieux pour ses citoyens.
Pendant ce temps, le Royaume-Uni avait le deuxième plus grand nombre de décès liés à Covid en Europe, dépassé uniquement par la Russie. Comme les États-Unis, le Royaume-Uni a son propre géant pharmaceutique influent dans son « Wellcome Trust ». Sans surprise, les Britanniques ont été soumis à une grande partie des mêmes projections de mort alarmistes et exagérées que nous, les Américains, avons été.
Nous avons Tony Fauci ; ils ont Neil Ferguson de l’Imperial College, dont les modèles en 2020 se sont avérés faux par un facteur d’environ dix. Et pourtant, fin janvier, les Britanniques ont décidé qu’Omicron avait atteint son apogée et qu’ils étaient également prêts à s’ouvrir.
Assiste-t-on à des victoires mineures avec l’abandon des obligations vaccinales ?
Même si regarder ces pays européens renoncer à devenir des dictatures techno-fascistes, ce qui me remonte le moral, il est trop tôt pour crier victoire. D’autres pays semblent déterminés à obliger leurs citoyens à se conformer, indépendamment de tout véritable problème de santé.
Les Autrichiens viennent de promulguer l’obligation vaccinale, la plus stricte au monde à ce jour. Le gouvernement prévoit d’infliger des amendes allant jusqu’à 4 000 $ par trimestre en attendant qu’ils acceptent de se faire vacciner. Pour faire respecter cela, des policiers se déplacent et arrêtent les gens au hasard pour vérifier leurs papiers. Les personnes qui ne peuvent produire leurs papiers sont condamnées à une amende sur place .
L’Allemagne, avec une population d’environ 85 millions d’habitants, ressemble davantage aux États-Unis par sa taille et sa diversité. Je suis né à Berlin et j’ai eu de nombreux amis et parents vivant en Allemagne pendant des années ; les différences culturelles entre Berlin et Munich sont comparables aux différences entre New York et Houston. Et, comme les Américains, environ la moitié des Allemands sont prêts à supprimer les restrictions, et l’autre moitié pense toujours qu’il est trop tôt. Les dirigeants allemands, comme le ministre de la Santé, Karl Lauterbach, ont proposé des obligations similaires à celles de l’Autriche, mais au 8 février 2022, les Allemands ne parviennent toujours pas à un accord.
Mais qu’en est-il de l’Australie ?
The « Organic Prepper » a déjà publié des articles sur les confinements draconiens en Australie. En regardant les règles en ce moment, je ne peux toujours pas m’empêcher de penser à « Footloose » et à la ville qui a interdit la danse. L’Australie a légèrement assoupli certaines de ses règles concernant les voyages interétatiques, mais presque tout ce qui nécessite une interaction publique nécessite une preuve d’un schéma vaccinal.
Comme je l’ai dit plus haut, de nombreux pays européens abandonnent leurs exigences liées aux Pass Vaccinaux ; Je ne trouve aucune référence aux Australiens et au fait qu’ils abandonnent leurs mesures de surveillance.
Parce que c’est vraiment ce que sont ces mesures. Ce n’est pas une question de santé.
Omicron était bénin, et il a dépassé son apogée. L’Afrique du Sud a été le premier pays à détecter Omicron. Il a été nommé par « l’Organisation mondiale de la santé » le 26 novembre 2021. Et fin décembre, le Comité consultatif ministériel d’Afrique du Sud a recommandé d’abandonner toutes leurs restrictions Covid restantes, telles que la mise en quarantaine et la recherche des contacts.
L’Afrique du Sud a connu un pic intense de cas avec Omicron, mais leur taux de mortalité n’est jamais monté en flèche. Le reste du monde devrait considérer l’Afrique du Sud comme un indicateur. Premier à avoir un pic de cas, premier à voir les cas chuter, premier à mettre fin aux restrictions. Nous devrions tous être aussi raisonnables.
Cependant, les médias mainstream américains ne semblent pas vouloir admettre que nous en avons pratiquement fini avec le Covid.
Que se passe-t-il ?
Il se passe des choses étranges dans le monde médical. Les taux de mortalité ont augmenté. Lorsque le chef d’une compagnie d’assurance-vie dans l’Indiana a déclaré que les réclamations avaient augmenté de 40 % chez les personnes en âge de travailler, c’était une grande nouvelle. Il semble y avoir un large éventail de problèmes qui augmentent soudainement. Il n’y a pas de nouvelle cause de décès pour tous ces jeunes. Il est clair que les décès ne sont pas dus à Covid, et insister sur les masques et les confinements (ce que même Johns Hopkins a admis n’a pas vraiment aidé de toute façon) est indéfendable à ce stade.
Alors que faisons-nous ? Nous avons l’impression d’être à la croisée des chemins. Le gouvernement fédéral ne montre aucun intérêt à reculer. D’une part, même les États bleus tels que New York et le New Jersey en ont assez des obligations vaccinales qui en constante évolution, qui se sont tous avérés inutiles contre Omicron. Les employés de la santé que j’ai connus qui voulaient que tout le monde soit vacciné ou bien exclu de la société civile il y a six mois (et j’en connaissais quelques-uns) sont devenus curieusement silencieux. De l’autre, Biden et ses « experts » demandent toujours aux gens de s’accrocher « encore quelques semaines ».
Une scène similaire se déroule au Canada.
Bien que les gouverneurs de l’Alberta, de la Saskatchewan et du Québec aient tous annoncé la fin des restrictions, Trudeau, depuis le 9 février, tente toujours de convaincre son public que les obligations vaccinales sont le meilleur moyen d’éviter de nouvelles restrictions.
Au sein de l’Union européenne, de nombreux pays, notamment les petits avec beaucoup de confiance et de cohésion sociale, sont prêts à abandonner les restrictions. L’UE elle-même souhaite prolonger d’un an l’utilisation des Pass Vaccinaux. Alors qu’Omicron culmine à travers le continent, les raisons de cette prolongation d’un an sont inexistantes.
Qu’est-il arrivé à la liberté d’expression ?
Plus révélateur, le 8 février 2022, le Département de la sécurité intérieure des États-Unis a publié un bulletin qui assimile la remise en question du récit de Covid au terrorisme intérieur. Aucun adulte capable de pensée critique ne peut penser que l’une de ces actions gouvernementales n’a plus rien à voir avec la santé publique. Plus le temps passe, plus tous les événements des deux dernières années indiquent que le gouvernement américain, le gouvernement canadien et l’UE tentent de mettre en place des États de surveillance.
Ainsi, dans le monde entier, nous avons des gouvernements de plus en plus oppressifs et des populations de moins en moins dociles de jour en jour. Ce genre de tension ne s’est jamais bien terminé. Si les gens commencent à avoir faim, ce qui peut très bien arriver avec tous les problèmes de chaîne d’approvisionnement, nous pourrions commencer à voir quelque chose comme la Révolution française commencer à se mettre en place.
L’idée que cela puisse arriver sur le sol américain me retourne l’estomac, mais beaucoup de choses bouleversantes se sont produites tout au long de l’histoire, et nous ne sommes pas différents des gens qui vivaient à l’époque de la guerre civile, de la Révolution française ou de la Révolution bolchevique. Tout est possible.
Les gens en ont assez de ces obligations vaccinales.
Et pourtant ce n’est pas non plus une fatalité. Un non-respect pacifique pourrait très bien forcer la main de Trudeau à la fin. Si vous voulez être un dictateur, vous avez besoin de personnes prêtes à appliquer vos règles arbitraires, et il ne sera peut-être pas en mesure d’en trouver suffisamment. Il en va de même pour les États-Unis.
Le convoi des camionneurs canadiens continue d’inspirer les autres pays. Au cours des deux prochaines semaines, des camionneurs du monde entier, de la Norvège à la Nouvelle-Zélande, prévoient des manifestations similaires. C’est peut-être la dernière chance pour les amoureux de la liberté de se faire entendre. J’ai vu des pancartes de manifestations qui disaient : « Les agriculteurs le cultivent, les camionneurs le transportent ». Les manifestants savent que, sans eux, les choses s’effondrent.
La plupart d’entre nous ne peuvent pas changer les politiques ou influencer les politiciens…
Mais les petits choix que nous faisons au quotidien comptent. Signalons-nous les amis, la famille et les collègues hétérodoxes comme le souhaite le DHS ? Ou est-ce qu’on se soutient ? Allons-nous simplement « avec le courant » ou continuons-nous à dénoncer les atteintes à nos droits à la vie, à la liberté et à la recherche du bonheur ? Passons-nous notre temps à glander devant un écran ou à acquérir des compétences qui nous aideront à devenir des atouts pour nos communautés ?
Je ne vois pas de moyen facile de sortir du pétrin dans lequel nous nous trouvons. Soit nous glissons vers ce que veut les élites du groupe de Davos, où nous « ne possédons rien et sommes heureux », soit nous nous préparons à des pénuries alors que les manifestations se poursuivent. Les sociétés libres n’ont pas été la norme à travers l’histoire. La norme, depuis l’époque des anciens Sumériens, est celle des hommes forts. La norme essaie vraiment, de se réaffirmer, et nous devons lui résister si nous voulons conserver nos droits et libertés. Nous devons être capables de garder le moral face aux pénuries, aux frustrations et aux désagréments. Je crois fermement que si nous, amoureux de la liberté, continuons à nous soutenir mutuellement et à garder nos communautés fortes, nous pouvons éviter de glisser dans la tyrannie médico-technique. Le moment est venu de choisir consciemment notre camp.
Quand pensez-vous que cela va se terminer ?
Que faudra-t-il pour que les obligations vaccinales disparaissent aux États-Unis ? Quand pensez-vous que cette période de tyrannie totale prendra fin ?
Source: zerohedge
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Oui , les fameux « convois de la liberté » sont les derniers mouvements « non-violents ».
S’ils ne trouvent pas de relais dans les superstructures des états d’Amérique du Nord et d’ Europe Occidentale ,nous irons immanquablement vers la guerre civile mondiale à l’issue de laquelle nous saurons qui l’emportera des populations martyrisées ou des oligarchies génocidaires …