L’HUMANITE S’ENFONCE INLASSABLEMENT : Nous sommes à la fin d’un cycle économique et sociale INFERNAL…Mais c’est la crise de fertilité qui devient désormais la plus grande MENACE ! Nous ne faisons plus d’enfants !!!

Est-ce que le temps passe trop vite pour l’humanité ? Sur la base de la croissance de la population mondiale au cours du siècle dernier environ, vous n’auriez pas dû tomber sur une telle conclusion. En 1900, il y avait environ 2 milliards de personnes vivant sur cette planète, et maintenant il y en a environ 8 milliards. Mais certains experts suggèrent maintenant que nous avons atteint un tournant très important. La croissance démographique mondiale a considérablement ralenti et les taux de natalité sont en fait tombés bien en dessous du niveau de remplacement dans de nombreux pays industrialisés. Les couples ont plus de mal à avoir des bébés, et nombreux sont ceux qui en blâment notre environnement hautement toxique. Un récit sur Twitter relatif à notre crise de fertilité imminente a suscité énormément d’attention au cours des derniers jours. Il y a des affirmations assez audacieuses dans cet article, et j’ai décidé de vérifier trois des faits les plus surprenants… #1 « 1 couple sur 4 ne peut pas concevoir naturellement » Selon le site officiel du « CDC », 19% des femmes âgées de 15 à 49 ans aux États-Unis ne sont pas en mesure de tomber enceinte… Aux États-Unis, parmi les femmes hétérosexuelles âgées de 15 à 49 ans sans naissance antérieure, environ 1 sur 5 (19 %) est incapable de tomber enceinte après un an d’essai (infertilité). De plus, environ 1 femme sur 4 (26 %) de ce groupe rencontre des difficultés à tomber enceinte ou à mener une grossesse à terme (trouble de la fécondité). Cela suggère donc que c’est en fait environ 1 couple sur 5 qui n’est pas capable de concevoir naturellement. Cependant, il convient de noter que le taux d’infertilité n’a cessé d’augmenter et que le nombre sur le site Web officiel du CDC reflète des données un peu anciennes. Si les tendances actuelles se poursuivent, ce n’est qu’une question de temps avant que « 1 couple sur 4 ne puisse concevoir naturellement » si nous n’y sommes pas déjà. #2 « Le nombre de spermatozoïdes a baissé de 60 % ». Cette affirmation semble être toute récente. Comme je l’ai noté la semaine dernière, une étude récemment publiée a révélé que le nombre de spermatozoïdes avait chuté d’environ 60% depuis 1973… La dernière analyse a ajouté sept années de collecte d’échantillons et 44 résultats d’études aux 244 inclus dans l’analyse précédente de 2017. Cette étude, dans son analyse des tendances des données entre 1973 et 2011, a révélé une baisse moyenne de la concentration moyenne de spermatozoïdes de 1,6 % par an et une baisse globale de 59,3 %. La dernière étude a révélé une baisse encore plus prononcée – à 2,64% après 2000 et une baisse globale de 62,3% chez les hommes non sélectionnés. Cela, ajoutent les auteurs, représente une baisse de –4,70 millions/an, et indique que cette baisse mondiale se poursuit au XXIe siècle à un rythme accéléré. Si le nombre de spermatozoïdes continue de plonger aussi rapidement, il ne faudra pas longtemps avant qu’une majorité d’hommes humains ne soient stériles. Si cela se produit, la population mondiale commencera à décliner très rapidement. #3 « si vous êtes une personne moyenne utilisant régulièrement des savons, des déodorants, des shampoings, des nettoyants pour le corps, des revitalisants, des produits capillaires, du maquillage, vous ingérez plus de 200 produits chimiques + métaux lourds par jour, tous sont liés à l’infertilité ». Cette affirmation était beaucoup plus difficile à vérifier. Sur le site officiel du « NIH », on nous dit que « les femmes enceintes aux États-Unis sont exposées à 43 toxines chimiques potentielles différentes ou plus »… Les toxines environnementales sont omniprésentes et parfois impliquées dans le développement de l’infertilité, soit par des anomalies anatomiques, soit par un dysfonctionnement endocrinologique. D’après une enquête nationale sur la santé et la nutrition de 2003 à 2004, les femmes enceintes aux États-Unis sont exposées à 43 toxines chimiques potentielles différentes ou plus. [3] Les connaissances et l’expérience dans l’évaluation de l’exposition aux toxines environnementales sont essentielles pour tout spécialiste de l’endocrinologie de la reproduction et de l’infertilité. Les toxines environnementales affectent les individus tout au long de leur vie, y compris avant la naissance, et peuvent avoir divers effets, allant de l’augmentation du risque de cancer au dysfonctionnement ovulatoire en passant par l’altération de la qualité du sperme. Bien sûr, le « NIH » n’a pas exactement été un exemple de vérité ces dernières années. Sans aucun doute, nous sommes tous sans cesse exposés à des toxines extrêmement dangereuses dans notre alimentation, dans ce que nous buvons, dans l’air que nous respirons et dans les produits que nous mettons sur notre corps. Beaucoup de ces toxines ont été liées à l’infertilité, et beaucoup pensent que c’est l’une des principales raisons pour lesquelles les taux de natalité ont chuté partout dans le monde année après année… Cela arrive aux hommes et aux femmes et aussi, devrais-je ajouter, aux espèces non humaines. Et ce que nous voyons, c’est que la baisse du nombre d’enfants que les gens ont est d’un pour cent par an dans le monde au cours des 50 dernières années. C’est vrai des pays développés et des pays sous-développés. Et le même taux de déclin, un pour cent par an, est ce que nous voyons pour la baisse du nombre de spermatozoïdes, ce que nous voyons pour le déclin de la testostérone, nous voyons pour l’augmentation des taux de fausses couches, et nous avons examiné dans notre livre « Compte Down », comment chacun de ces paramètres se détériore, si vous voulez, au même rythme, environ un pour cent par an, ce qui est une autre preuve, bien que non concluante, qu’ils sont liés à une cause commune. Selon vous, que va-t-il nous arriver si ces tendances se poursuivent ? Déjà, le taux de fécondité aux États-Unis est bien en dessous du niveau de remplacement… Selon le « US Census Bureau », le taux de fécondité – qui mesure le nombre d’enfants qu’une femme moyenne mettra au monde au cours de sa vie – était de 1,6 en 2020. Cela tombe bien en deçà du niveau de 2,1 nécessaires pour maintenir les niveaux de population actuels. Comme je le détaille dans mon nouveau livre, cette crise est une menace existentielle pour l’avenir de l’humanité, mais la plupart des gens s’en moquent tout simplement. La plupart d’entre nous vont simplement continuer à nous bombarder, nous et nos enfants, avec des toxines très dangereuses, quelles que soient les informations qui nous parviennent. Parfois, je pense que nous sommes tout simplement trop stupides pour continuer à évoluer dans ce monde de fous en tant qu’espèce. Au lieu d’essayer de comprendre comment éviter l’extinction, nous sommes devenus une « idiocratie » dans laquelle nos jeunes conçoivent constamment des moyens de plus en plus bizarres pour obtenir le plus de vues possibles sur les réseaux sociaux… Le temps presse pour l’humanité et nous ne pouvons pas nous sauver de la catastrophe historique qui est devant nous. J’espère que nous réaliserons à quel point notre situation est devenue désespérée avant qu’il ne soit vraiment trop tard ! Source: theeconomiccollapseblog

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