FUTURS RETRAITÉS AMERICAINS PAUVRES : « De très nombreux retraités n’ont que très peu d’économies…Ils vont dépendre des aides de l’état pour continuer à se soigner dignement ! Mais l’état est ENDETTE à plus de 33 000 milliards de dollars…La RETRAITE deviendra un véritable ENFER !!! »
C’est un enfer considérable qui attend la plupart des baby-boomers proches de la retraite, non seulement on leur a menti, mais ils doivent également faire face à des marchés truqués, à de la corruption et à des conseillers incompétents. Les baby-boomers constituent la deuxième plus grande génération de l’histoire américaine, elle se compose de plus de 72 millions d’individus. Ceux qui n’ont pas encore pris leur retraite s’y préparent. Leur problème principal est que la plupart n’ont que très peu d’économies.À ce problème s’ajoute le fait que les générations qui suivent la génération des baby-boomers sont encore plus mal loties et que la situation économique de l’Amérique est loin d’être rose. Cela n’aide pas du tout les Américains qui ont été encouragés au fil des ans à dépenser et à s’endetter plutôt qu’à épargner. Cet encouragement vient de politiciens accrochés à l’idée que les dépenses de consommation créent une économie toujours plus forte.Il en résulte que de nombreuses personnes prennent leur retraite avec peu d’économies dans leurs comptes en banque et dépendent d’un gouvernement déjà lourdement endetté pour les aider dans cette période de vieillissement. Ceux d’entre nous qui ont étudié les chiffres en viennent à secouer la tête d’horreur, tout simplement, quelque chose doit donner et très probablement des promesses seront rompues. Lorsque des mots comme insoutenable et insolvable ont été marmonnés, ils sont simplement écartés par la vie quotidienne.Pendant des années, ceux au pouvoir ont caché et protégé les Américains de la dure vérité que les chiffres ne fonctionnent tout simplement pas, mais l’histoire montre que les politiciens préfèrent abandonner la route plutôt que de faire face à la réalité. Aux nombreuses personnes qui attendaient avec impatience une vie confortable et tranquille à la retraite. Le fait que les choses pourraient être pires n’est pas quelque chose qui fera bondir de joie la plupart des retraités.Un exemple de ce à quoi nous sommes confrontés est évidement l’énorme problème du domaine de la santé. C’est un secteur de l’économie que Washington s’est engagé à réparer et a même affirmé qu’il avait fait. Le graphique publié par « Statista » montre que les États-Unis ont le système de santé le plus cher au monde.C’est important si vous le considérez comme une taxe pour le peuple américain et que vous vous rendez compte que les soins de santé sont une dépense majeure pour les gens à mesure qu’ils vieillissent. Cela touche l’assurance-maladie directement dans le cœur, ce qui signifie qu’à mesure que les coûts montent en flèche pour le programme, quelque chose devra être fait. Ce quelque chose se présente généralement sous la forme d’une réduction des prestations et d’une facturation plus élevée des bénéficiaires.Bien qu’il y ait plus dans la vie que l’argent, peu de gens choisissent de vivre dans la pauvreté. Malheureusement, même la plupart des Américains qui ont économisé au cours de leur vie et qui ont fait ce qu’il fallait sont en danger.Au fil des ans, la Fed a gonflé la masse monétaire et, ce faisant, elle a également gonflé les prix des actifs, notamment les actions, les obligations et l’immobilier.Une grande partie de cela est le résultat d’une dette qui a hyper gonflé. Ne vous y trompez pas, le gouvernement s’est nourri au creux de la dette et cela a rendu notre avenir moins prometteur. Oui, nous avons environ 33 000 milliards de dettes, sans compter les passifs non financés de la sécurité sociale, de l’assurance-maladie et de Medicaid.Bien qu’il s’agisse d’un graphique plus ancien, peu de choses ont changé. La réalité n’est pas belle à analyser.Avec la trajectoire actuelle des politiques économiques et l’inflation dépassant le rendement que les épargnants peuvent tirer des investissements sûrs, les choses ne feront qu’empirer pour les retraités et les personnes proches de l’âge de la retraite. Compte tenu du montant de la dette déjà accumulée, le gouvernement va avoir du mal à mettre en place de nouvelles aides généreuses pour venir en aide à ceux qui dépendent de ses programmes. Cela entraînera des conflits car les jeunes et les vieux sont obligés de se battre pour les quelques miettes que cela peut fournir.Tout cela a créé une situation où, si la masse monétaire se contracte maintenant, un grand nombre de défauts de paiement se produiront et les entreprises et les investisseurs subiront de lourdes pertes. Cette menace pour les 401K et les régimes de retraite est réelle et ferait de nombreux baby-boomers des dommages collatéraux dans tous les efforts qu’ils déploient pour corriger le gâchis qu’ils ont créé. Ceux qui sont à la retraite ou qui approchent de la retraite devraient faire un effort supplémentaire pour réduire les risques et protéger leur propre épargne.Source:zerohedge
La masse d’abrutis devrait comprendre que, si tu dépends de l’Etat – sous entendu financièrement, je dis cela au cas où certains gonzes n’auraient pas compris, et bien tu dois tout accepter de l’Etat (numérique à tout va, piqures à gogo), donc au final accepter d’avoir une vie d’esclave « de la naissance au tombeau ». Sous la Rome antique, il existait des esclaves publics, et bien voila ce que seront les gueux qui se soumettront à l’Etat, des esclaves publics à qui on coupera le RSA, les allocations familiales … si ils ne soumettent pas aux injonctions du maître. Quand je parle de l’Etat, je fais aussi allusion à l’Etat supranational (Commission européenne).
L’Etat est l’antithèse de la liberté. Davantage d’Etat dans nos vies signifie moins de liberté. Il faut que les gens se mettent cela dans le crâne.
La gangrène étatique n’a pas débuté avec Hollande ou Macron (oui, Hollande, le Président qui a gouverné (sic) juste avant Macron. Une petite piqure de rappel s’impose pour les alzheimers, puisqu’ils aiment cela), mais depuis le régne de Louis XIII et la présence de Richelieu au commande de l’Etat. Je ne balance pas cela gratuitement. Je sais de quoi je parle. L’étude de l’histoire, c’est mon métier.
Avant le ministère de Richelieu, il y avait un véritable contre pouvoir à tous les niveaux :
Les grands (Condé, Montmorency, Bouillon … qui étaient dans leur province respective à la tête d’un véritable gouvernement).
Les Etats provinciaux (assemblées fiscales qui accordaient ou n’accordaient pas les crédits à l’Etat. C’est un peu comme si aujourd’hui certains Conseils départementaux refusaient de voter l’impôt). Certaines provinces en possédaient, mais pas toutes.
Les « fiefs » prostestants (La Rochelle, Montauban … bastions de résistance) …
L’assassinat de Concini par Vitry fut le grand tournant. Le régne de Louis XIII et surtout celui de Louis XIV, fut, comme on dit chez nous, le commencement de la fin : Le début de l’absolutisme étatique, d’abord monarchique, puis républicain. Les deux furent/sont tout aussi néfastes. Même l’ordure d’Attali a affirmé dans l’un de ses ouvrages que la monarchie absolutiste (1620-1789) fut une véritable dictature. D’une certaine façon, il n’a pas foncièrement tort.
Pendant des années, ceux au pouvoir ont caché et protégé les Américains de la dure vérité que les chiffres ne fonctionnent tout simplement pas, mais l’histoire montre que les politiciens préfèrent abandonner la route plutôt que de faire face à la réalité. Aux nombreuses personnes qui attendaient avec impatience une vie confortable et tranquille à la retraite. Le fait que les choses pourraient être pires n’est pas quelque chose qui fera bondir de joie la plupart des retraités.Un exemple de ce à quoi nous sommes confrontés est évidement l’énorme problème du domaine de la santé. C’est un secteur de l’économie que Washington s’est engagé à réparer et a même affirmé qu’il avait fait. Le graphique publié par « Statista » montre que les États-Unis ont le système de santé le plus cher au monde.C’est important si vous le considérez comme une taxe pour le peuple américain et que vous vous rendez compte que les soins de santé sont une dépense majeure pour les gens à mesure qu’ils vieillissent. Cela touche l’assurance-maladie directement dans le cœur, ce qui signifie qu’à mesure que les coûts montent en flèche pour le programme, quelque chose devra être fait. Ce quelque chose se présente généralement sous la forme d’une réduction des prestations et d’une facturation plus élevée des bénéficiaires.Bien qu’il y ait plus dans la vie que l’argent, peu de gens choisissent de vivre dans la pauvreté. Malheureusement, même la plupart des Américains qui ont économisé au cours de leur vie et qui ont fait ce qu’il fallait sont en danger.Au fil des ans, la Fed a gonflé la masse monétaire et, ce faisant, elle a également gonflé les prix des actifs, notamment les actions, les obligations et l’immobilier.Une grande partie de cela est le résultat d’une dette qui a hyper gonflé. Ne vous y trompez pas, le gouvernement s’est nourri au creux de la dette et cela a rendu notre avenir moins prometteur. Oui, nous avons environ 33 000 milliards de dettes, sans compter les passifs non financés de la sécurité sociale, de l’assurance-maladie et de Medicaid.Bien qu’il s’agisse d’un graphique plus ancien, peu de choses ont changé. La réalité n’est pas belle à analyser.Avec la trajectoire actuelle des politiques économiques et l’inflation dépassant le rendement que les épargnants peuvent tirer des investissements sûrs, les choses ne feront qu’empirer pour les retraités et les personnes proches de l’âge de la retraite. Compte tenu du montant de la dette déjà accumulée, le gouvernement va avoir du mal à mettre en place de nouvelles aides généreuses pour venir en aide à ceux qui dépendent de ses programmes. Cela entraînera des conflits car les jeunes et les vieux sont obligés de se battre pour les quelques miettes que cela peut fournir.Tout cela a créé une situation où, si la masse monétaire se contracte maintenant, un grand nombre de défauts de paiement se produiront et les entreprises et les investisseurs subiront de lourdes pertes. Cette menace pour les 401K et les régimes de retraite est réelle et ferait de nombreux baby-boomers des dommages collatéraux dans tous les efforts qu’ils déploient pour corriger le gâchis qu’ils ont créé. Ceux qui sont à la retraite ou qui approchent de la retraite devraient faire un effort supplémentaire pour réduire les risques et protéger leur propre épargne.Source: zerohedge
Pendant des années, ceux au pouvoir ont caché et protégé les Américains de la dure vérité que les chiffres ne fonctionnent tout simplement pas, mais l’histoire montre que les politiciens préfèrent abandonner la route plutôt que de faire face à la réalité. Aux nombreuses personnes qui attendaient avec impatience une vie confortable et tranquille à la retraite. Le fait que les choses pourraient être pires n’est pas quelque chose qui fera bondir de joie la plupart des retraités.Un exemple de ce à quoi nous sommes confrontés est évidement l’énorme problème du domaine de la santé. C’est un secteur de l’économie que Washington s’est engagé à réparer et a même affirmé qu’il avait fait. Le graphique publié par « Statista » montre que les États-Unis ont le système de santé le plus cher au monde.C’est important si vous le considérez comme une taxe pour le peuple américain et que vous vous rendez compte que les soins de santé sont une dépense majeure pour les gens à mesure qu’ils vieillissent. Cela touche l’assurance-maladie directement dans le cœur, ce qui signifie qu’à mesure que les coûts montent en flèche pour le programme, quelque chose devra être fait. Ce quelque chose se présente généralement sous la forme d’une réduction des prestations et d’une facturation plus élevée des bénéficiaires.Bien qu’il y ait plus dans la vie que l’argent, peu de gens choisissent de vivre dans la pauvreté. Malheureusement, même la plupart des Américains qui ont économisé au cours de leur vie et qui ont fait ce qu’il fallait sont en danger.Au fil des ans, la Fed a gonflé la masse monétaire et, ce faisant, elle a également gonflé les prix des actifs, notamment les actions, les obligations et l’immobilier.Une grande partie de cela est le résultat d’une dette qui a hyper gonflé. Ne vous y trompez pas, le gouvernement s’est nourri au creux de la dette et cela a rendu notre avenir moins prometteur. Oui, nous avons environ 33 000 milliards de dettes, sans compter les passifs non financés de la sécurité sociale, de l’assurance-maladie et de Medicaid.Bien qu’il s’agisse d’un graphique plus ancien, peu de choses ont changé. La réalité n’est pas belle à analyser.Avec la trajectoire actuelle des politiques économiques et l’inflation dépassant le rendement que les épargnants peuvent tirer des investissements sûrs, les choses ne feront qu’empirer pour les retraités et les personnes proches de l’âge de la retraite. Compte tenu du montant de la dette déjà accumulée, le gouvernement va avoir du mal à mettre en place de nouvelles aides généreuses pour venir en aide à ceux qui dépendent de ses programmes. Cela entraînera des conflits car les jeunes et les vieux sont obligés de se battre pour les quelques miettes que cela peut fournir.Tout cela a créé une situation où, si la masse monétaire se contracte maintenant, un grand nombre de défauts de paiement se produiront et les entreprises et les investisseurs subiront de lourdes pertes. Cette menace pour les 401K et les régimes de retraite est réelle et ferait de nombreux baby-boomers des dommages collatéraux dans tous les efforts qu’ils déploient pour corriger le gâchis qu’ils ont créé. Ceux qui sont à la retraite ou qui approchent de la retraite devraient faire un effort supplémentaire pour réduire les risques et protéger leur propre épargne.Source: zerohedge
La masse d’abrutis devrait comprendre que, si tu dépends de l’Etat – sous entendu financièrement, je dis cela au cas où certains gonzes n’auraient pas compris, et bien tu dois tout accepter de l’Etat (numérique à tout va, piqures à gogo), donc au final accepter d’avoir une vie d’esclave « de la naissance au tombeau ». Sous la Rome antique, il existait des esclaves publics, et bien voila ce que seront les gueux qui se soumettront à l’Etat, des esclaves publics à qui on coupera le RSA, les allocations familiales … si ils ne soumettent pas aux injonctions du maître. Quand je parle de l’Etat, je fais aussi allusion à l’Etat supranational (Commission européenne).
L’Etat est l’antithèse de la liberté. Davantage d’Etat dans nos vies signifie moins de liberté. Il faut que les gens se mettent cela dans le crâne.
La gangrène étatique n’a pas débuté avec Hollande ou Macron (oui, Hollande, le Président qui a gouverné (sic) juste avant Macron. Une petite piqure de rappel s’impose pour les alzheimers, puisqu’ils aiment cela), mais depuis le régne de Louis XIII et la présence de Richelieu au commande de l’Etat. Je ne balance pas cela gratuitement. Je sais de quoi je parle. L’étude de l’histoire, c’est mon métier.
Avant le ministère de Richelieu, il y avait un véritable contre pouvoir à tous les niveaux :
Les grands (Condé, Montmorency, Bouillon … qui étaient dans leur province respective à la tête d’un véritable gouvernement).
Les Etats provinciaux (assemblées fiscales qui accordaient ou n’accordaient pas les crédits à l’Etat. C’est un peu comme si aujourd’hui certains Conseils départementaux refusaient de voter l’impôt). Certaines provinces en possédaient, mais pas toutes.
Les « fiefs » prostestants (La Rochelle, Montauban … bastions de résistance) …
L’assassinat de Concini par Vitry fut le grand tournant. Le régne de Louis XIII et surtout celui de Louis XIV, fut, comme on dit chez nous, le commencement de la fin : Le début de l’absolutisme étatique, d’abord monarchique, puis républicain. Les deux furent/sont tout aussi néfastes. Même l’ordure d’Attali a affirmé dans l’un de ses ouvrages que la monarchie absolutiste (1620-1789) fut une véritable dictature. D’une certaine façon, il n’a pas foncièrement tort.