Bernard Lugan , Historien africaniste se livre à nous depuis sa demeure pour un entretien exclusif d’une heure.Livre Noir l’a rencontré pour comprendre la politique française en Afrique ainsi que les conséquences de la colonisation sur notre époque.
Bernard Lugan: « L’assimilation et l’intégration sont des foutaises ! »
Le Qi en Afrique oscille entre 50 et 80 , le métissage est une façon de faire baisser celui de la tribu des causasiens afin qu’ils ne puissent s’opposer à la tribu des lumières.
Lugan,le vieux constipé qui croit que les africains vont venir lui piquer son chateau!
Ce type vit dans une peur crasse de la société.
Les moustaches c’est pour souligner le coté intellectuel et etre invité a déblatérer sur radio courtoisie!
Ce que l’on a pas pu faire en 50 ans, on ne pourra jamais dans les 50 prochaines années.
Trop de différences, sociale, culturelle, religieuse, psychologique, physiologique nous séparent avec les immigrés. Déjà qu’il y a des différences entre les français ; entre ceux des villes et ceux des campagnes, entre les mentalités des français du nord et ceux du sud. Et même s’il y a eu des déplacements de population dans l’héxagone, il subsiste néanmoins en France des substrats ethniques provinciaux (blancs, specifions-le pour les ignares) qui influent entre autres sur les mentalités.
Les nations métissées n’ont jamais été la solution, et n’apportent aucune harmonie. Car on est, et on restera, « plus blanc « ou « plus noir » qu’en autre, même au Brésil, même aux Antilles. Dans les pays métissés, la question raciale est ultraprésente, voir même obsessionelle, d’où les conflits récurrents. Nous n’avons jamais vu ou entendu des conflits raciaux au Japon ! et pour cause.
Ce que l’on a pas pu faire en 50 ans, on ne pourra jamais dans les 50 prochaines années.
Trop de différences, sociale, culturelle, religieuse, psychologique, physiologique nous séparent avec les immigrés. Déjà qu’il y a des différences entre les français ; entre ceux des villes et ceux des campagnes, entre les mentalités des français du nord et ceux du sud. Et même s’il y a eu des déplacements de population dans l’héxagone, il subsiste néanmoins en France des substrats ethniques provinciaux (blancs, specifions-le pour les ignares) influent entre autres sur les mentalités.
Les nations métissées n’ont jamais été la solution, et n’apportent aucune harmonie. Car on est, et on restera, « plus blanc « ou « plus noir » qu’en autre, même au Brésil, même aux Antilles. Dans les pays métissés, la question raciale est ultraprésente, voir même obsessionelle, d’où les conflits récurrents. Nous n’avons jamais vu ou entendu des conflits raciaux au Japon ! et pour cause.