Emmanuel Macron affirme depuis l’Arabie Saoudite qu’il « restera jusqu’à la dernière seconde » de son mandat
Emmanuel Macron persiste à ignorer l’impasse politique qu’il a lui-même créée. Depuis Riyad, il déclare qu’il « restera jusqu’à la dernière seconde » de son mandat, malgré son isolement croissant, l’absence de majorité parlementaire et un recours systématique à des manœuvres autoritaires comme l’article 49.3. Cette posture provoque des fractures profondes dans un pays déjà plongé dans une crise sociale et économique sans précédent.
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Une déconnexion totale avec le peuple
Le choix de faire cette déclaration depuis Riyad, aux côtés de Jack Lang, montre un président désireux de détourner l’attention des crises nationales. Pendant que Macron privilégie des alliances opportunistes sur la scène internationale, les Français subissent une inflation galopante, une paupérisation croissante et une colère sociale grandissante. Cette attitude illustre un déni des urgences nationales au profit de son maintien au pouvoir.
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Vers une concentration extrême des pouvoirs
Macron n’en reste pas là. Il envisage de recourir à l’article 16 de la Constitution, un mécanisme qui lui permettrait de concentrer tous les pouvoirs entre ses mains. Cette évolution s’inscrit dans une continuité autoritaire, marquée par l’imposition de réformes massivement rejetées comme celle des retraites, grâce au 49.3. En activant l’article 16, Macron réduirait le Parlement à un rôle symbolique et plongerait la France dans un régime autoritaire.
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La révolte gronde
Macron pourrait aller encore plus loin en décrétant la loi martiale pour réprimer toute contestation populaire. Les mobilisations des Gilets jaunes et les grèves massives réprimées brutalement n’étaient qu’un avant-goût. Soutenu par des élites financières et internationales, il semble agir en garant d’un agenda mondialiste, sacrifiant la souveraineté nationale au profit d’intérêts étrangers.
Face à cette dérive, la réaction populaire s’intensifie. Les mobilisations sociales marquent les premiers signes d’une révolte plus large. L’Histoire le montre : lorsque les institutions deviennent impuissantes face à un pouvoir autoritaire, le peuple finit par reprendre le contrôle.
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Une France à la croisée des chemins
Cette crise politique pourrait marquer un tournant historique pour la France. Les signes d’un bouleversement majeur se multiplient, mais la direction reste incertaine. Macron, en misant sur le chaos pour se repositionner en « sauveur », joue un jeu dangereux qui pourrait se retourner contre lui.
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