Guerre civile froide américaine : vers un basculement géopolitique majeur ?
L’actualité géopolitique mondiale s’accélère à un rythme vertigineux. Alors que les tensions internationales redessinent les équilibres globaux, un nouveau chapitre s’ouvre aux États-Unis : celui d’une guerre civile froide qui devient, à mesure que les semaines passent, une réalité brûlante. Le retour d’Obama sur le devant de la scène n’a rien d’anodin. Il ne s’agit plus du discours du rassemblement, mais d’un appel à la lutte, qui fragmente encore davantage une nation déjà divisée. Cette dynamique inquiétante soulève une question centrale : le monde est-il à l’aube d’un basculement géopolitique majeur ?
Et si cette fracture était orchestrée ? Pour de nombreux analystes, les récents événements américains témoignent d’un agenda plus vaste. En coulisses, des structures centralisées cherchent à imposer une vision unique, contrôlée, où toute dissidence est réduite au silence. Face à ce constat, il devient essentiel de se préparer individuellement à une déconnexion forcée ou à un contrôle total des populations. Des solutions d’anticipation émergent, comme la résistance aux monnaies numériques de banque centrale ou encore la veille stratégique confidentielle proposée par des experts indépendants.
La fracture idéologique américaine : Trump, Obama et l’après-démocratie
Ce que révèle ce duel entre Trump et l’establishment démocrate, ce n’est pas seulement un clivage politique. C’est une transformation profonde de la gouvernance. D’un côté, Trump cherche à déjouer les pièges d’un système néoconservateur dont il fut lui-même victime lors de son premier mandat. De l’autre, les élites mondialistes, incarnées aujourd’hui par Obama, entendent verrouiller l’idéologie dominante, quitte à recourir à une polarisation extrême de la société.
L’Ukraine, Taïwan, Israël… les terrains d’affrontements géopolitiques se multiplient, mais le véritable front est intérieur. C’est au sein des démocraties occidentales elles-mêmes que le conflit prend racine. Le contrôle narratif, via médias et algorithmes, devient une arme redoutable. Et pendant que les masses se perdent dans les polémiques, certains citoyens lucides choisissent la voie de la protection individuelle et de l’anticipation. Parmi les moyens disponibles, on retrouve des outils comme la lettre confidentielle stratégique ou encore les initiatives visant à refuser l’intrusion numérique, telles que l’opposition aux CBDC.
Une France spectatrice, soumise au système euro-atlantiste
Alors que les grandes puissances redéfinissent leurs positions et que des conflits internes menacent leur stabilité, la France reste figée. Sous influence euro-atlantiste, elle peine à affirmer une voix souveraine. Pire, elle semble s’effacer dans un jeu qui ne lui appartient plus, soumis aux directives de Bruxelles et de l’OTAN, et incapable de proposer une vision alternative. Ce renoncement a un coût : la perte de repères, d’identité et de liberté.
Dans cette configuration, nombreux sont ceux qui réalisent que l’État ne protège plus. Les Français les plus avertis se tournent alors vers des dispositifs d’information parallèle, pour reprendre le contrôle de leur avenir. La lettre confidentielle de Géopolitique Profonde fournit ainsi des analyses interdites ailleurs. En complément, la défense contre les CBDC devient un acte de souveraineté individuelle.
Vers une recomposition mondiale des pouvoirs ?
Nous assistons à une transformation du monde, aussi souterraine qu’irréversible. L’émergence des BRICS, le recul du dollar, la défiance croissante envers les élites occidentales et le basculement des opinions publiques sont autant de signes de la fin d’un cycle géopolitique. La France, si elle veut éviter la marginalisation, doit se réinventer. Mais pour cela, il faudra briser les chaînes idéologiques imposées depuis des décennies.
En ces temps troublés, il est capital de comprendre les enjeux réels et d’adopter une stratégie personnelle de résilience. Des plateformes alternatives proposent déjà des moyens concrets d’échapper à la normalisation numérique : dire non à l’identité numérique, c’est déjà reprendre une part de liberté. Et pour aller plus loin, accéder à des sources confidentielles d’information est indispensable, comme avec la lettre privée d’alerte.
… Les États-Unis ne sont plus unis. Barack Obama entre de nouveau en scène, non plus en pacificateur, mais en stratège de l’affrontement. En appelant à la résistance contre Trump, il confirme que la guerre civile froide américaine est désormais chaude. Derrière les slogans démocratiques, une opération idéologique de grande ampleur cherche à verrouiller l’avenir politique du pays. Ce conflit dépasse les clivages partisans : c’est une lutte pour le contrôle du récit mondial.
Trump, quant à lui, avance à découvert. Entre réticence à intervenir en Ukraine et volonté de briser les schémas néoconservateurs, il incarne une rupture stratégique qui effraie autant qu’elle fascine. Son dilemme est clair : céder, c’est trahir sa base ; résister, c’est risquer l’isolement. Chaque décision est une mèche potentielle dans une poudrière déjà instable.
Et pendant ce temps, la France s’enlise. Incapable d’affirmer un cap souverain, elle subit la domination du système euro-atlantiste. Ce dernier, derrière ses masques de modernité et de droits humains, poursuit un projet destructeur des identités et des racines. Une mécanique froide, cynique, où l’homme n’est plus qu’un rouage. Mais le monde bouge, les lignes se fracturent, et certains peuples se lèvent.
Jusqu’où ira cette guerre invisible ? Les cartes sont en train d’être rebattues.
François Martin, Serge Ferderbusch, Nicolas Conquer, Alain Escada et Nicolas Stoquer vous attendent nombreux en direct sur Géopolitique Profonde.
