Le nombre de journalistes tués dans le monde atteint en 2016 un record depuis dix ans. Depuis début janvier, près de 150 sont décédés dans les conflits ou, pour 20 Brésiliens, dans l’accident d’avion récent en Colombie, selon un rapport publié mercredi à Genève.
L’année 2016 a encore été « très difficile pour la sécurité des journalistes », a affirmé le secrétaire général de la Presse Emblème Campagne (PEC) Blaise Lempen. En moyenne, 2,8 journalistes ont été tués chaque semaine.
Au total, neuf décès supplémentaires ont été observés par rapport aux 135 de 2015. En dix ans, plus de 1200 travailleurs des médias ont été tués.
Des journalistes sont décédés dans 31 pays en 2016 et de nombreux autres sont portés disparus ou encore ont été arrêtés. Sans prendre en compte l’accident d’avion en Colombie, l’Irak est le pays le plus dangereux avec 16 victimes. Il devance la Syrie, avec 14 tués. Suivent l’Afghanistan, où la situation s’est détériorée, et le Mexique avec 12 journalistes décédés et le Yémen avec 9 tués.
Deux tiers des victimes ont été constatés dans des pays en conflit. Sur les cinq dernières années, la Syrie est le pays le plus touché avec au moins 100 décès parmi les travailleurs des médias.
La PEC appelle la communauté internationale à renforcer la protection des journalistes, à mener des investigations sur les crimes et à « lutter avec beaucoup plus de fermeté contre l’impunité ». Après une récente résolution approuvée au Conseil des droits de l’homme, elle demande des mesures concrètes. La présidente de la PEC Hedayat Abbel Nabi a souhaité notamment une conférence internationale pour une convention contraignante.
Source: romandie
Les « vrais journaleux » alors ! Pas ceux qui ontla science infuse sur les plateaux de tv .
Devinez quelle est la couleur politique de cette région en plein essor?
Pour un juge, il ne faut pas rouler en Jaguar à Charleroi…
La justice vient de renvoyer un homme victime de vols à sa propre responsabilité.
La raison : il a affiché des signes extérieures de richesse dans une zone très touchée par le chômage.
Il n’est «peut-être pas raisonnable» d’afficher «ostensiblement sa prospérité dans une région sinistrée comme Charleroi». C’est ce qu’a estimé un juge statuant sur le cas d’un homme d’affaires, victime de plusieurs cambriolages avec violences. Cet homme et sa famille sont dans une maison bourgeoise située dans un quartier défavorisé de Charleroi, au coeur de l’ex-bassin industriel wallon…
La BMW volée est retrouvée puis dérobée une seconde fois lors d’un cambriolage. En 2006, la famille est braquée à son domicile et menacée avec des armes à feu. Laurent F. est emmené à bord de sa Jaguar et abandonné dans une zone industrielle, vêtu uniquement d’un pyjama.
La famille décide alors de déménager et s’installe cette fois dans la très prospère province du Brabant wallon…
La juge estime qu’ «il n’est peut-être pas raisonnable» d’attirer l’attention en circulant en Jaguar et en vivant dans une belle maison, «dans une région sinistrée comme l’est celle de Charleroi».
«Comme si à Charleroi, il fallait rouler en Trabant, se promener en training [des baskets] ou habiter une maison délabrée, pour être en sécurité ou être irréprochable»…
Un peu comme les policiers, les militaires, les pompiers, et j’en passe, ils ont tous un métier à risque. Quand on s’engage, on connait les risques
Comme dans les cités.
Faut pas laisser sa Jag dehors.
Erdogan a fait explosé les quota…
Pas étonnant de se prendre une balle quand votre métier est Celui de vendeur de soupe