Dix ans après l’éclatement de la crise, le déficit de l’État est encore près de deux fois supérieur à celui de 2007. À Bercy, on appelle ça « laisser une maison en ordre ».
La Cour des comptes remettra le 3 juillet au Premier ministre son audit sur les finances publiques du pays. En attendant, le rapport sur le budget de l’État publié mercredi offre un excellent aperçu. Si Michel Sapin s’est félicité en début d’année d’avoir « particulièrement bien tenu les dépenses », le constat des magistrats est tout autre.
C’était le 17 janvier. Une éternité. Le ministre des Finances d’alors, Michel Sapin, et son secrétaire d’État au Budget, Christian Eckert, tenaient une conférence de presse pour se féliciter des bons résultats de la gestion financière de l’État en 2016 : une baisse de 1,5 milliard d’euros du déficit en un an, à 69 milliards. « Le sérieux dans la gestion budgétaire permet cette année encore de poursuivre le rétablissement des comptes publics, tout en assurant le financement des priorités du gouvernement », se félicitait le premier, qui s’enorgueillissait de laisser « une maison en ordre, une maison impeccable ».
Quatre mois plus tard, c’est un tout autre constat que dresse la Cour des comptes. Le rapport sur la gestion de l’État publié mercredi estime que « la réduction du déficit par rapport à la loi de finances initiale résulte, pour l’essentiel, des comptes spéciaux ». « En retraitant les dépenses exceptionnelles (…), le déficit budgétaire 2016 reste supérieur à celui de 2013 », révèlent les magistrats. Le constat est accablant : depuis trois ans, aucun effort n’a été apporté pour réduire le déficit de l’État, qui représente à lui seul 90 % du déficit public.
Pour comprendre l’état dans lequel l’ancien gouvernement a laissé les finances de l’État, il faut comparer point par …
La seule chose qu’il a jamais remonté en 5 ans notre président mimolette, c’est sa braguette quand il sortait en catimini de chez julie gayet, et même ça j’en suis plus si sûr!
ils s’en tapent puisqu’ils n’ont pas d’obligation de résultat dans leur mandat et si quelqu’un se plaint, soit la justice ferme les yeux ou cela prend… 25 ans pour l’affaire Karachi par exemple … ils sont déjà vieux alors d’ici là ils seront plus de ce monde
Des tripoux ces canards boiteux
des nuls et ca va continuer
Tout l’art d’une loi scélérate dont les bénéficiaires sont toujours les mêmes et la méthode identique, le ticket racket : loi et paf une grosse prune. Et pour qui les sous sous ?
Le harcèlement de administration continue :
La loi anti-fraude impose aux entrepreneursde posséder un logiciel de facturation sécurisé et certifié. Les micro-entrepreneurs n’échappent pas à la règle.
Pendant ce temps là ça spolie sec les caisses des autres, pour que ces escrocs puissent vivre grassement à la retraite.
A quand un logiciel obligatoire comparant les systèmes de retraite qu’on rigole ou son financement … qu’on rigole en plus ?
En cas de contrôle, et d’absence de mise en conformité, une amende de 7.500 euros est prévue par l’administration.
7500 !
que 7’500 ? mince ils jouent la séance de torture dans l’assassinat des commerçants.
Dans ma petite rue 30% des commerces ont fermé et j’en connais 4 qui ne renouvelleront pas leur baux.
Autres inducateurs qui devraient plaire à Jovanovic, les panneaux 4×3, ces énormes panneaux publicitaires en bord de route, sur un axe de 40’000 véhicules jours de 20 km, cela fait plus de 8 mois qu’il y a plus de nouvelles affiches, les vieilles ont fini par tomber au pied quand ce sont pas les panneaux eux-mêmes qui sont au sol… à part cela tout va bien selon les merdias subventionnés, Magikmacron est dans la place
les pourris ils rackettent jusqu’à plus soif