L’appel de Grigny: 150 maires demandent un fonds d’urgence pour les quartiers défavorisés
Ce lundi à Grigny, dans l’Essonne, 150 maires de la France entière étaient réunis en « états généraux de la politique de la ville », durant lesquels ils ont appelé le gouvernement au « sursaut » et à une « réponse nationale » en faveur des quartiers populaires. « Si la situation ne change pas, les quartiers populaires pourraient sombrer dans l’abîme ». C’est le constat que font les dizaines de maires de France. Mais, pourquoi appellent-ils le gouvernement au « sursaut », ce lundi soir ? Quelles sont précisément leurs attentes ? – On en parle avec Philippe Rio, maire PCF de la ville de Grigny. – BFM Story, du lundi 16 octobre 2017, présenté par Thomas Misrachi, sur BFMTV.
Grigny: Dans cette ville de 30 000 habitants, tous les commerces ferment les uns après les autres. La France est en faillite selon le sénateur Vincent Delahaye
Source: bfmtv
Responsable le vivre ensemble? ou le multiculturalisme? y-a-il une relation entre les problèmes de certaines communes et l’immigration? ignorer le problème n’amènera pas de solutions, nous payons l’arrosage pécuniaire de ces communes pour avoir la paix sociale et par besoin électoraliste, continuer dans ce sens ne fera qu’aggraver le problème
Enfin juste un avis
n’est-ce pas son fils qu’on retrouve au commissariat assez souvent pour des actes d’incivilité et de vandalisme afin d’obliger l’état à donner plus d’argent à la commune de GRIGNY LA GRANDE BORNE? Ce monsieur, se fout de la gueulle du monde ! j’espère que l’état (c’est à dire notre pognon à tous ) ne va encore pas cette fois ci être « raquétée » par ce maire!
Ce n’est pas plus d’argent qui règlera les problèmes : chômage des adultes, commerce et consommation de drogue, haine de la France ,paresse à l’ecole (La même que celle des autres) etc…
Rien ne sera fait car c’est le but
Mais rien se sera fait … La pauvreté des enfants en France + de 20% …
Un quartier pour lequel l’argent du contribuable est déjà beaucoup trop sollicité.
« Si la situation ne change pas, les quartiers populaires pourraient sombrer dans l’abîme »
Ils ont sombré depuis longtemps.
trop tard le mal est fait