La dette sur marge (Margin Debt) sur le New York Stock Exchange (NYSE) correspond au montant d’argent que les investisseurs empruntent pour acheter des actions. Or, selon les dernières données, la dette sur marge sur le New York Stock Exchange (NYSE) (argent emprunté pour acheter des actions), vient d’atteindre un nouveau sommet historique à 580,945 milliards de dollars en Novembre, en hausse par rapport à son sommet de 561,444 milliards de dollars du mois d’Octobre. La dette sur marge a bondi de 19,5 milliards de dollars en 1 mois.
Plus la dette sur marge augmente et plus la chute des actions sera importante s’il y a un sell-off (vente massive), car avec un tel effet de levier, la moindre baisse pourrait entraîner un effet domino et donc un effondrement des marchés actions.
Jim Rogers: « Nous sommes à la veille du pire krach boursier qu’on n’ait jamais connu » Egon Von Greyerz: « Croyez moi si vous le voulez, mais un krach gigantesque est imminent. »
Pour la 2nde fois en 100 ans, cet indice dépasse le niveau qu’il avait atteint avant le Krach de 1929 David Stockman: « Tous les sept à huit ans, il y a une correction des marchés de l’ordre de 40 à 70% »
Attention car en cas de chute des marchés, les appels de marge créeront une contrainte supplémentaire à la baisse sur les investisseurs qui dans la panique voudront couper leurs pertes en vendant d’autant plus vite que l’effet de levier jouera contre eux.
Goldbroker propose une solution simple et sûre pour acheter de l’or physique et parer à la crise
GoldBroker, pour un stockage sécurisé en nom propre hors du système bancaire de vos métaux précieux.
Egon Von Greyerz: « Les raisons d’investir dans l’or et l’argent physique »
Goldbroker propose une solution simple et sûre pour acheter de l’or physiqueGoldBroker: Stockage sécurisé en nom propre hors du système bancaire de vos métaux précieux.
[AMAZONPRODUCTS asin= »2914569661,2865532321,2914569823,2297004788,2915401233″ partner_id= »busbb-21″ locale= »fr »]
C’est toujours ahurissant de voir (à travers tous ces schémas) à quel point la situation actuelle dépasse de loin celle des 2 crises passées (dotcom et subprime), et ce sur tous les plans.